C’est l’auteure du livre culte « Journal d’une princesse » et une fille… très bavarde ! Après ses révélations sur son métier dans le dernier numéro de Julie, Meg Cabot te raconte d’autres aspects de sa vie d’écrivain

 

1) Est ce que tu as fait des études spéciales pour devenir écrivaine ?

Mes professeurs m’ont expliqué que seul un tout petit pourcentage d’écrivains parviennent à gagner leur vie juste en écrivant, et qu’il me faudrait beaucoup travailler pour faire partie de ces personnes ! Donc j’ai étudié l’illustration pour les livres d’enfants, car il me semblait que j’étais meilleure en dessin qu’en écriture ! J’ai obtenu un diplôme d’arts graphiques et j’ai déménagé à New York à l’âge de 22 ans. J’ai alors travaillé à NY en tant qu’illustratrice, mais je ne gagnais pas assez d’argent pour payer mon loyer, alors j’ai aussi travaillé comme surveillante dans un pensionnat. Quand les étudiants avaient un problème avec leur colocataire, ils venaient me voir ! Tous mes livres avec le personnage d’Heather Wells sont basés sur cette expérience. Mais je continuais à écrire en secret. J’ai écrit “Le journal d’une princesse” et le premier roman de la série Mediator en travaillant au pensionnat.

 

2) Raconte moi comment tu travailles chaque jour.

J’essaie d’écrire tous les jours de 11h du matin à 18 heures le soir, avec une pause pour déjeuner. J’écris sur mon lit car je déteste les bureaux… maintenant que je ne suis plus obligée de travailler dans un bureau ! Je commence la journée par relire ce que j’ai écrit la veille. Tous les 2/3 jours, je relis tout depuis le début. Quand j’ai commencé un livre, je ne m’arrête plus jusqu’à ce qu’il soit terminé ! Et quand il est fini, je fais une pause… et je commence le suivant ! J’adore mon travail.

 

3) Tu as des habitudes, des petites manies quand tu écris ?

Je commence chaque journée avec une grande tasse de thé Earl Grey avec du lait : c’est ma petite habitude ! J’aime écrire sur un ordinateur portable. J’en ai un pour écrire, et un pour aller sur Internet, faire des recherches, aller sur les réseaux sociaux – parce que j’ai peur des virus ! J’ai perdu des livres entiers à cause de virus donc je ne vais jamais sur Internet avec mon ordinateur pour écrire.

À suivre…