[MISE A JOUR] Certaines de vos histoires ne sont pas validées car les passages sont trop longs. Pour une meilleure lisibilité, merci de mettre des passages courts, et de préférence inventés par vous et non pas générés pas Chat GPT… C’est plus sympa 😉
Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement. Le passage ne doit pas être trop long.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet. Evite d’utiliser un site d’intelligence artificielle : on veut tes textes à toi !
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Avec ou sans filtre
Fin du chapitre 1 et début du chapitre 2.
6h35. Le réveil sonne. Je me lève et vais me préparer. Je prends ma douche et m’habille (jogging Nike orange et tee-shirt Adidas gris). Je descend déjeuner et me force à manger une madeleine. Je me parfume et je mets mes chaussures (nikes blanches), puis prends mon sac et mon téléphone. Je sors et marche jusqu’à mon arrêt de bus. Ce matin, j’ai mis de l’anti-cerne : je ressemblais à un zombie. Mon portable sonne. Je suppose que c’est Louise ! Mais non : expéditeur anonyme.
Tu as aimé ma petite plaisanterie hier ? Sache que si tu ne fais pas ce que je te dis, je te ferai pire.
Oh mon Dieu…
Tu vas raconter à tout le monde que Louise sort avec trois garçon en même temps : tu vas aussi faire courir la rumeur qu’elle s’est fait refaire le nez ; tu révéleras son pire secret, qui, au passage, est qu’elle a encore une tétine, et en guise de bouquet final, tu vas la planter : tu vas lui dire que ça te dégoûte qu’elle soit comme ça et tu vas lui dire qu’elle doit rester dans sa poubelle. Bisous;)
Les larmes me montent aux yeux.Je ne peux pas lui faire ça ! Pas à Louise ! C’est ma meilleure amie ! Comme si il avait entendu mes pensées, le mystérieux messager me renvoie :
N’hésite pas une seule seconde :
– de une, Louise te ment : elle n’est pas ton amie.
– de deux, si tu ne le fais pas, il t’arrivera pire…
Chapitre 2 : La plongée dans l’enfer.
Je sors de la salle d’étude, la boule au ventre. Je tiens dans mes mains cinq affiches envoyées par le textoteur (j’ai décidé de l’appeler comme ça) dans le genre gros titres de journal :
Tout sur Louise Gyfat !
J’ai tellement honte de me dire que je vais faire ça… L’affiche contient ce message :
Ne tombez pas dans les filets empoisonnés de la reine de cœur : savez vous qu’elle sort avec trois garçons à la fois ? Eh oui, elle n’est pas la fille parfaite que vous pensez !! Mais attendez, il faut savoir que si elle s’attire toutes les bonnes grâces des garçons du collège, c’est évidemment parce qu’elle s’est fait refaire le nez ! Mais ça n’est pas le pire… Je ne souhaite à personne de finir marié avec Louise : elle a encore une tétine ! A quatorze ans !!! Alors, méfiez-vous avant de l’aborder dans les couloirs !
On voit Megan, plus jeune d’au moins 5 ans, accroupie, en train de jouer avec des cailloux. Puis une voix retenti :
« Hé la petite, viens par là que je t’attrape. »
Au début j’ai cru que c’était affectueux mais quand la caméra a commencé à filmer une fille plus âgée d’environ 3 ans aux cheveux noirs corbeau tressés accompagnée d’un garçon au boucles blondes courant vers elle d’un air menaçant j’ai compris que ce n’était pas la cas.
La fille attrape la petite Megan par le col et la plaque contre un mur tandis que le garçon sort une dague de son pantalon. Les larmes commencent à perler dans les yeux de Megan, se reflétant dans le soleil de cette journée qui même à travers la caméra, semblait chaude.
La fille remonte Megan sur le mur, la forçant à la regarder dans les yeux, les jambes de celles-ci étant justement au niveau du menton de la fille. Megan se débat mais en vain, la fille ne bouge pas d’un millimètre.
« Ok alors maintenant la morveuse tu va te clamer et tu va vider entièrement tes poches. »
Megan s’exécute à regret. Elle sort de sa poche des billes, des cailloux et un morceau de pain à moitié grignoté.
« Non je suis sûre que tu possède plus que ça, on t’a vu voler du chocolat à l’épicerie tout à l’heure ! »s’exclame la fille visiblement très en colère.
Le garçon blond serre son poing, prêt à frapper si Megan n’avoue pas. Soudain un voix retenti derrière eux :
« Ça suffit les gars calmez vous ! C’est pas elle qui a volé, et puis vous en avez pas marre de traumatiser des gosses ? »
Le garçon qui avait parlé avait les cheveux châtains foncés formant une sorte de petite crête sur sa tête et le visage maculé de terre et parsemé de taches de rousseur. Ses yeux noirs étaient… pénétrants.
« Tais toi Léandre, on fait juste notre job là ! »répond la fille agacée.
« De quel ‘’job’’ est ce que tu parles Juliette ? Lâche là tout de suite ou je dis que Maxence à une dague ! »
Le supposé Maxence tressaillit.
« Non Léandre tu ferais pas ça quand même ? Je croyais qu’on étais tes meilleurs amis »dit il.
« Oui oui, c’est vrai mais je n’aime pas trop vous voir violent comme ça je vous rappelle que ça ne sert à rien on vit dans le quartier le plus pauvre de ce minuscule pays alors autant se serrer les coudes ! »
Personne ne répond, puis Juliette relâche Megan qui les observe fixement de ses grands yeux ambrés.
« Qu’est ce que tu as toi ? Allez va t’en, dégage tu sers à rien ! »
Sans un mot, Megan pars et trébuche sur les cailloux, s’écorchant le genoux.
Chapitre 2
Jade
Je me contemple dans le miroir serti d’or et d’argent. Tout le monde me trouve belle mais pas moi. Mes longs cheveux noirs, tout comme mes yeux sont mornes et sans aucune vie. Je rêverai d’avoir la même chevelure d’un roux flamboyant que mon amie, Lola. Devant ce gigantesque miroir je ressemble vraiment à une pauvre tâche d’encre égarée, qui s’étend au fil des années. J’ai peur. Oui, j’ai peur. Même très peur. Cela fait 11 ans que ma mère est morte. 11 ans que je suis montée sur le trône de l’Idyllique Reine à la place de ma défunte parente. À l’époque j’avais 5 ans, je me voies encore pleurer sur le lit funéraire et des gardes royaux, m’arracher au corps froid de ma mère. 5 ans, c’est beaucoup trop jeune pour monter sur un trône. Et pourtant, c’est ce qui est arrivé. Je n’ai passé qu’une semaine dans ma robe noire de deuil. Tout était noir en moi, et tout l’est encore, même si je donne l’impression du contraire. Il ne m’ont laissé qu’un mois, avant de poser cette maudite couronne sur ma tête. Avant, elle était bien trop grande et trop lourde pour moi, je m’empêtrai dans mes robes et ne savait pas comment satisfaire les besoins de mes sujets. Aujourd’hui, je me suis habituée aux robes et la couronne dorée qui ceint mon front me sied parfaitement. On ne peux pas vraiment dire que je suis heureuse mais, je fais comme si de façon à ce que tout le monde soit content. Je tourne sur moi-même et m’observe sous toutes les coutures. Ma nouvelle robe en soie blanche, recouverte d’un pourpoint en velours violet est très belle. C’est mon cadeau d’anniversaire de la part de Sally, ma gouvernante. Elle a dû payer une fortune et travailler deux fois plus dur pour l’avoir ! Je suis épatée. Je compte la remercier chaleureusement plus tard. Je teinte mes lèvres et mes joues de rouges, de rose et de paillettes pour cacher ma pâleur. Je couvre mes ongles d’une couleur orange corail qui s’assortit bien avec ma couronne. Je suis enfin prête à partir saluer ma cour. La saluer mais pas seulement.
Incrrr! Je veux la suite!!!!!
Prologue
La prophétie disait qu’à l’aube d’une après midi d’été, sur une Terre inconnue de l’Homme, une grande Reine accoucherais de deux enfants. Le jour et la nuit, le soleil et la lune, le yin et le yang, le ciel et la terre. La légende disait que l’une serait la destruction, et l’autre la régénération. L’une serait une meurtrière, l’autre une Reine puissante, plus puissante encore que sa génitrice. Mais ce qui effraya la Reine, c’est que la prophétie et la légende étaient d’accord sur un point : les jumelles seraient l’exact opposé l’une de l’autre. L’une aurait du sang royal, l’autre pas du tout, ce qui était en principe physiquement impossible. L’une aurait des pouvoirs magiques, et l’autre n’en aurait aucun.
Mais quelle sorte de pouvoirs ? La Reine tourmentée observa attentivement ses filles. L’une pleurait, l’autre la fixait méchamment de ses yeux gris perçants. La reine ne souhaitait aucune de ces enfants, et elle ne souhaitait encore moins que la prophétie se réalise. Malheureusement il lui était presque impossible de savoir quelle serait la jumelle à qui accorder sa confiance. À un détail près. Ce détail poussa la Reine a jeter à la mer l’autre enfant. Cette enfant se perdit dans les vagues, surement noyée.
Chapitre 1
Enora
J’existe depuis maintenant 16 ans. Oui, aujourd’hui c’est mon anniversaire et pourtant, je suis seule. J’aime la solitude. Je me cache dans la forêt juste à côté de chez moi depuis ce matin. Là, je suis en train de me baigner dans un lac dont je suis presque la seule à connaitre l’existence. En principe j’ai interdiction formelle d’y aller mais je n’écoute jamais les autres, c’est comme ça, je l’ai décidé. Dans la vie il n’y a que moi qui compte. En tout cas dans ma vie. Je sors du lac, trempée jusqu’aux os et fait des ricochets à la surface de l’eau. 17 rebonds ! Je contemple mon reflet dans l’eau : mes yeux gris, mon teint pâle, mes pommettes hautes et saillantes, mes longs cheveux noirs corbeaux que je noue en une natte chaque matin depuis que mes cheveux sont assez longs, mes lèvres rouges et gercées, mes doigts longs et fins, et puis, la courbure de mes oreilles auxquelles j’ai attachées une chaîne en or. Mes oreilles ne sont pas comme celles des autres, elles sont légèrement pointues à leurs extrémités ce qui me fait ressembler à un personnage de conte de fées. Ce que je ne suis pas, évidemment. Moi, les autres me voient plus comme une rebelle, orpheline depuis la naissance qui a été recueillit par le foyer pour enfants perdus de mon village. Je suis celle qui est méchante, agressive, qui s’attire tout le temps des ennuis, et surtout, que personne n’égale dans le domaine du combat. Je fais mordre la poussière à toute personne qui me cherche.
Soudain, un craquement de branche se fait entendre. Les buissons bougent et je bande mon arc qui m’accompagne partout. Si c’est un animal je le tue. Si c’est un humain…ça dépend, mais je pourrais le tuer, surtout si il est armé, je ne chercherais pas à comprendre, ça c’est sur.
J’adore ton histoire! Elle est géniale!!
6.
Le lendemain, j’ai sauté de mon lit et me suis habillée en hâte. Je n’avais qu’un empressement : retrouver Megan et tout lui raconter. Car non, je ne comptais pas lui cacher ce qui se tramait et je comptais lui apporter mon soutien si besoin. De plus, personne n’a dit que toute cette histoire était un secret.
En arrivant dans le hall du collège, je me suis précipitée vers la porte, bousculant Lucas au passage.
J’ai trouvé Megan aux casiers, en train de rassembler ses cahiers, tout en roulant les yeux en écoutant des pimbêches raconter n’importe quoi. Je fond sur elle à tout vitesse
« Megan ! Megan, hier, hier le ,maire et la prof ont parlé de toi dans ton dos, ils veulent montrer aux autres des images de ce qui s’est passé chez toi ! »
« Wow, Camille je comprends rien reprends ton souffle. »
« Le maire et Madame Latin se sont parlés hier soir. Le maire à dit qu’il avait reçu des plaintes concernant ton traitement de faveur, il veut montrer à notre classe ce qui t’es arrivé et il veut qu’on décide si tu as le droit à ce traitement ou pas ! »
« Heu… ok… j’ai pas tout compris mais bon, je suppose que je dois faire avec puisque je ne peux pas m’opposer au maire »elle avait essayé d’adopter un air décontracté mais sa mâchoire s’était crispée et elle transpirait le stresse. De mon point de vue, elle avait tout compris.
« Si tu veux on peut aller voir Madame Latin pour savoir ce que le maire à finalement décidé. Tu pourrais essayer de t’arranger pour que tout ne soit pas divulgué… Je te promets qu’on va trouver une solution ! »
Elle m’a sourit mais j’ai bien vu qu’elle était au bord des larmes. Je l’ai prise par le bras et je l’ai emmené voir notre prof.
« Madame, il vous a dis quoi le maire au final ? »
« BONJOUR, Camille. Le maire a effectivement pris une décision. »elle nous adresse un sourire désolé. Ça ne sent pas bon. Elle poursuit :
« Hier soir il m’a envoyé un mail disant qu’il ne reviendrais pas sur sa décision point final et que Megan se débrouillerai toute seule. Au sujet de certaines scènes de violences, les élèves ne seront pas obligés de regarder si ils ne préfèrent pas. Je ne peux plus rien faire, je suis sincèrement désolée. »
« Et, quand devrons nous…nous ‘’informer’’ ? »
« Dès que vous aurez cours avec moi. C’est-à-dire dans 1H. Megan, le maire requiert ta présence pour nous expliquer certaines choses.»
À peine sortie de la classe Megan s’effondre dans le couloir. Elle plaque les mains sur ses yeux et très vites, celles-ci sont trempées de larmes. Je ne sait pas trop quoi lui dire alors je lui tapote l’épaule et je l’aide à se relever. Je me demande bien ce qui la met dans un état pareil…
1H plus tard…
Nous nous asseyons tous dans la salle de classe. Madame Latin nous explique ce qui va suivre. Quelques élèves sortent de la salle ne souhaitant pas particulièrement assister à ça. Nous avons 2h pour regarder une partie de ce film. On peut l’interrompre à tout moment pour poser des questions.
Le vidéo projecteur s’allume. L’image est de mauvaise qualité et les couleurs sont ternes.
Mon cœur tambourine dans ma poitrine. J’observe Megan à sa table, à coté de Lucas qui à l’air assez mal à l’aise lui aussi. Megan a la tête dans les mains et est secouée de spasmes. La pauvre elle ne va vraiment pas bien, et, quand je vois Louis très décontracté en attente du démarrage du film, j’ai envie de lui balancer un objet, n’importe quoi, à la figure.
Le film commence…
Perdue dans mes pensées je ne percevait que des bribes de conversations, comme quoi, Megan avait un traitement de faveur par rapport à ses camarades, qu’elle était au collège, que tout ça devait cesser bla-bla-bla… J’ai sursauté en entendant mon nom.
« Camille tu en pense quoi toi ? »
« Hein ? De quoi ? »
« Jeune fille il va falloir que tu apprennes à écouter » m’a dit le maire
J’ai pesté intérieurement.
« Pardon monsieur pouvez vous répéter s’il vous plaît ? » J’ai dit de ma voix la plus mielleuse possible alors qu’en vérité je les détestait tous dans sa famille. Je ne sais même pas comment j’ai pu être amie avec sa fille.
« Bon écoutez tous, je me suis entretenu avec le dirigeant de l’ancienne ville de Megan. Vous savez donc que Megan n’a pas vécu normalement. Et bien, il se trouve qu’ils possèdent des images de ce qu’elle et d’autres gens ont dû affronter. Je propose de me les procurer et de les montrer à ta classe Camille, ensuite ça sera à vous tous de juger si Megan doit avoir une traitement de faveur ou non. »
‘’Quoi ? Des images ? Mais ils sont fous ou quoi ? Elles sortent d’où ces images ? Ne me dites pas que Megan a été placée sous surveillance toute sa vie quand même ?’’
J’ai mis un certain temps à répondre au maire puis finalement j’ai dit :
« Non. »
« Quoi non ? »
« Non il ne faut pas fair ça. »
« Mais enfin Camille tu ne peux pas t’opposer au ,maire comme ça ! Et puis tu n’es que déléguée je ne suis pas sûre que ton avis compte beaucoup… »s’est interposée Madame Latin.
‘’Nan mais elle en met du temps à réagir celle là ! Et puis comment ça je ne suis QUE déléguée ? On fait tout le temps appel à moi et à la moindre opposition j ne compte plus ?’’
« Mais Madame réfléchissez ! Ce n’est pas vous qui, à l’arrivée de Megan avez dit qu’elle avait eu certains traumatismes et qu’il fallait la ménager ? Et maintenant vous voulez lui remettre ça sous les yeux ? Vous êtes tous des grands malades c’est pas possible ! » `
Et je suis sortie en claquant la porte.
Edaline tu veux bien devenir ma BFF ??
Je veux bien 👍. (Ne t’étonne pas is a un moment j’oublie parce que j’ai la mémoire très courte).
Tkt c juste que je trouve qu’on a bcp de points communs alors je le disais qu’on pourrais devenir BFF !
Encore la suite du chapitre 1 (c’est toujours pas fini mais le prochain passage finiras ce chapitre)
A la fin de mon année de CM1 nous avions donc décidé de changer d’école de musique. Ce qui pour moi a au passage m’a aussi en partie décidée à changer d’instrument. Car en changeait facilitait l’entrée dans un orchestre.
J’avais envie d’un cuivre et il se trouve que dans l’école de musique en questions il y a juste de l’euphonium et de la trompette (on peut faire du trombone mais c’est aussi avec le prof d’euphonium et puis mon père faisant du trombone j’avais pas hyper envie de jouer du même instrument que lui). Je pense que inconsciemment j’avais déjà choisi l’euphonium (ce qui est en partie expliqué par le fait que je préfère le médium grave).
Mais avant de continuer arrêterons nous un instant car je suis sure que vous vous demandez ce qu’est un euphonium! Je vais vous faire deux explication le première trouvée dans un dictionnaire et la seconde rédigée mon même.
Dictionnaire: « (musique) Instrument de musique de la famille des cuivres doux. Il est parfois appelé tuba tenor, bien que sa tessiture soit celle d’un baryton. »
Je crois que je peux assez facilement parier que ça ne vous avance pas beaucoup. Voici donc mon explication (elle est un peu plus longue mais bien plus précise et plus claire (en théorie)).:
C’est un instrument de musique de la famille des vents plus précisément un cuivre. Ça fait partie de la même famille que les tubas (qui comprend: tuba, euphonium, saxhorn baryton, saxhorn alto (plus généralement nommé « pichotte ») bugle) il a une tessiture (= note qu’il peut jouer) médium, grave. Etymologiquement euphonium signifie: euphonium= tuyaux nium = qui sonne bien, qui est harmonieux ce qui rend donc tuyau qui sonne bien/ tuyau qui est harmonieux. C’est un instrument avec un son assez “rond” que l’on retrouve dans plusieurs types d’orchestres (ex:harmonie, brassband, grand ensemble de cuivre et de percussions…) ça ressemble beaucoup au tuba mais c’est plus petit (reprenez la couverture du livre un instant… et oui sur la couverture il y a un euphonium! A présent je pense que v’est a pleurés claire… Non?
C’est là que vous me demandez: comment tu connais l’euphonium?
Et bien premièrement mes parents étant musiciens et jouants dans un orchestre (moi aussi mais pas à ce moment là) ils connaissaient l’euphonique
Deuxièmement leur chef d’orchestre jouant de l’euphonium mes parents savaient qu’il y avait des cours d’euphonium a l’école de musique de Saint-Martin d’Hère.
Je connaissais donc déjà l’euphonium mais je n’avais pas encore essayé. C’est donc ce que j’ai fait pendant les portes ouvertes. Et ça m’a vraiment plus (la privé je suis actuellement engraissé de faire des études de musique).
Dé la première année j’ai pu jouer dans un orchestre et jouer ensemble était encore mieux que ce que j’avais imaginé. La deuxième année j’ai commencé à jouer dans deux autres orchestres et depuis je joue toujours dans plusieurs orchestres (ce n’est plus les mêmes mais la n’est pas l’important). Les débuts dans certaines orchestres ont étés dures mais ils m’ont tous fait progresser d’une marinière ou d’une autre.
C’est au cours de ma deuxième année d’euphonium au que j’ai commencé à vraiment avoir envie d’en faire mon métier.
Puis est arrivé ma troisième année au cour de la quelle j’ai passé mon examen de premier cycle d’euphonique (normalement ça ce fait en quatre ans mais vu que j’avais déjà fait de la musique et que j’avais un bon niveau je l’ai passé cette année la.
Mais parlons un peu du solfège parce que sinon il’ n’y auras plus aucune chronologie.
Message à team Missouri et onibaï (désolé je suis pas sure que ça s’écrive comme ça)
Est ce que tu pourrai remettre les deux premier chapitres de ton histoire parce que je les trouves pas 😭😭😭😭😭😭 et que ton histoire a l’air trop bien.
Ahh heu d’accord ! Que les 2 premiers chapitres ou les 4 premiers ??
Coucou
Je peux retrouver les deux premier donc tu n’es pas obligée de les lettres mais en vrai ça peut m’arranger que tu les t’émettent tous parce que comme ça ce seras plus simple.
PS: tu as lu mon histoire? Si oui elle t’as plus?
Bah dsl je voudrais pas passer par une feignante mais sa va me prendre bcp de temps de remettre tt les chapitres de mon histoire dsl…
Et ton histoire je l’ai lue oui ! Elle m’a pas mal plus ! Après par être tt à fait honnête c pas le style d’histoire que je préfères l’as par contre je trouve que tu écris trop bien !!
Coucou
C’est pas grave je me débrouillerai mais du coup il faut que juste que tu remette le 1 et le 2 par ce que je les ai pas trouvé.
Et je peux tout à fait comprendre que c’est pas le style d’histoire qui t’interesse.
Coucou les filles:
Voici la suite de mon histoire. (C’est un tout petit passage parce que sinon ça coupait au milieu d’un truc important)
Lyra histoire d’un euphoniumiste suite du chapitre 1:
Enfin je suis dans ma chambre, après avoir finis de manger et éclipsée discrètement puis je suis allée me préparer.
Maintenant je vais finir de me présenter parce que je suis sure que vous n’attendez que ça.
Avant que mon père ne m’appelle j’allais dire que ou sa peut paraître prétentieux mais je me trouve parfaite.
Maintenant je vais enfin vous parler de musique parce que au final dans cette histoire le reste on s’en fiche un peu.
Il faut savoir que mes parents sont musiciens.
Ma mère est clarinettiste et maintenant elle a vraiment un bon niveau vus qu’elle a moins besoin de faire : taxis, de nous faire faire nos devoirs, jouer avec mon frère et moi, faire la police, faire à manger pour quatre, faire la lessive…
Elle a vraiment le temps de bosser sa clarinette.
Mon père est tromboniste. Il est vraiment doué. Maintenant je joue mieux que lui mais
longtemps je l’ai admiré car je le trouvais vraiment fort. Depuis qu’on habite dans une maison (ça fait à peu près treize ans) il passe une grande partie de son temps libre à faire du trombone (ça qui explique ma capacité à faire a peu près tout et n’importe quoi avec du trombone en fond sonore (quand le pavillon du trombone est à deux mètre de soi c’est vraiment en fond sonore?) se qui s’avère plutôt pratique).
Et même si quand je jouait (quand j’ai commencé la musique) il me faisait beaucoup de remarques et que ça m’a beaucoup énervée je sais sur il fait ça pour m’aider.
Mais bon revenons à moi car c’est quand même mon histoire et mon parcours musical et à mon humble avis c’est également ce qui vous intéresse le plus.
J’espère que ça vous plait toujours. Hésitez pas à laisser un commentaire si vous avez des questions.
5.
Hier soir quand je suis rentrée des cours, j’ai directement consulté mon ENT pour voir si j’avais des devoirs ou des messages. Effectivement, j’en avais un de Madame Clontrant et il était plutôt alarmiste :
Nouveau message de : Madame CLONTRANT Estelle Il y a 16 minutes
À : Mademoiselle Camille Défougères
Objet : Urgent, viens tout de suite dans mon bureau !
« Bonsoir Camille, navrée de te déranger mais tu es priée de te rendre en salle des professeurs dès que tu auras reçu ce message (ne fais pas semblant de ne pas l’avoir vu q’il te plaît c’est vraiment important)
Au plus vite,
Madame CLONTRANT »
Oui là mais que se passait il encore ? Pff je n’avais surement pas le droit à mon moment de répit après le collège, non, il fallait que j’y retourne. Je me lève à contrecœur et demande à mon majordome de m’y conduire. J’arrive devant le collège, prends mon courage à deux mains et entre. Ça faisait assez bizarre de voir cet endroit vide. Je suis allée devant la salle des profs et j’ai toqué doucement.
« Entrez ! » Dit la voix de Madame Latin (madame Clontrant au cas où ça ne serait toujours pas compris)
Je pousse la porte.
« Ah tu es enfin là Camille ! Je voulais te parler au sujet de Megan. Je sais pertinemment qu’elle n’est pas très bien intégrée dans la classe et j’ai quelques questions à te poser. Ensuite nous nous entretiendrons avec le maire de la ville si tu es d’accord. »
‘’Pas très bien intégrée ? Ça c’est le cas de le dire’’ ai-je pensé ‘’ Le maire de la ville ? Un entretien ? Au sujet de Megan ? Oh non, le maire de la ville c‘est le père de Lisa…’’ tout à coup j’ai commencé à regretter d’être devenue déléguée. Et puis le ‘’si tu es d’accord ne me laissai pas vraiment le choix enfaite…
« Je vous écoute. » J’ai dis d’une voix rauque après de longues secondes de réflexion intense pour mon petit QI.
« Déjà, Megan t’aurais elle parlé de son passé ? Tu as dû remarquer aussi certaines blessures sur son corps, t’as t’elle déjà expliqué leurs origines ? »
« Heu non, non Megan ne m’a rien dit et heu, au sujet de ses blessures je ne sais strictement rien… »
En vérité j’étais perdue. La prof sous entendais t’elle que Megan n’avais pas qu’une seule blessure et qu’elles avaient une cause particulière ?
« Très bien Camille, elle t’as donc surement expliqué qu’elle est tenue au secret pour le moment ? »
« En effet. J’ai essayé de devenir son amie mais elle reste plus ou moins inaccessible… »
« Je comprends Camille, c’est vraiment gentil de faire des efforts pour elle et je suis fière que tu prennes ton rôle au sein de la classe au sérieux. Maintenant laisse là aller vers toi ou vers les autres par elle-même. » `
J’ai manqué de m’étouffer avec ma salive. ‘’Vers les autres ? C’est une blague ? Je devrais peut être lui parler du possible harcèlement que subit Megan à notre prof principale… Non, pas tout de suite, je vais d’abord voir comment évolue la situation. Je ne suis pas une balance.’’
Me retrouver dans cette posture soulignait parfaitement l’ambiguïté de ma situation.
Puis, trois coups ont été frappés à la porte. Trois personnes sont entrées. Le maire, accompagné de sa fille et de sa femme.
Non mais sérieusement ? Elles étaient obligées de venir ces deux là ? Le timing parfait pour me rendre aigrie en moins de 2 secondes. Lisa m’a jeté un regard lourd de sens et j’ai senti ma poitrine se serrer. Très honnêtement j’avais envie de pleurer. Pas de tristesse, mais de colère. J’étais soûlée je voulais juste rentrer chez moi et regarder Netflix sur mon canapé. J’en avais marre de ma classe ingérable, marre de devoir aider les autres, marre de supporter les regards de cette peste, marre de l’insistance de ma prof, marre de me retrouver entraîné dans les histoires sur lequel je n’avais absolument aucun pouvoir, marre que mes parents ne soient jamais là et encore moins quand on a besoin d’eux, marre de devoir tout gérer tout seule.
Coucouuuuuu ✨✨✨
CHAPITRE 3
Notre maison est à spacieuse et luxueuse de la banlieue parisienne. Ma chambre est plus grande que celle à Washington. Iris me raconte ses journées à l’école de danse.
Ce matin, c’est enfin la rentrée. Je fais le chemin avec Stella, c’est sa mère qui nous y emmène en voiture. Je pousse la porte de la salle de classe. La professeur de mathématiques, une jeune femme blonde avec des yeux noisettes, nous demanda de nous présenter devant toute la classe. C’est Stella qui commence :
– Je m’appelle Stella Evans. Mon père est diplomate et ma mère est la cousine du duc de Cambridge. Avant je vivais aux USA. J’ai un frère de 17 ans, William, et j’adore le patinage artistique.
Stella parle avec une telle assurance, j’aimerais tant lui ressembler. Je m’avance à mon tour et commence à parler :
– Je… Je m’appelle, Lily Smith, balbutiai-je. Je… J’ai 13 ans et mon père est diplomate.
Je suis rouge de honte. Madame Martin, la professeur m’indique la place où je dois m’asseoir et à Stella aussi. Je suis assise entre deux filles : Oksana, une fille de diplomate ukrainien, et Sophia, une fille de diplomate d’espagnol.
Au self, je m’assois à côté de Stella. Elle même assise à côté d’Anastasia, fille de diplomates russes, et James, un fils de diplomate hollandaise et d’homme d’affaire danois. Stella ne me prête plus attention, elle s’est trouvé de nouveaux amis, elle n’a plus besoins de moi. Elle chuchote à l’oreille de ses nouveaux amis quelque chose que je n’entends pas, mais que je devine. Et je suis sûre qu’elle se moque de moi.
Coucouuuuuu✨✨✨
CHAPITRE 2
-Ma Lily, reprend ma mère. Nous allons en France.
Quoi ? La France ?
-En vacances ? je demande.
-Non, ton père a trouvé un travail de diplomate en France, il paye mieux que celui aux Etats-Unis et comme ça il peut recommencer à travailler !
-Mais c’est trop bien, dis-je.
Je ne subirais plus ces moqueries !
-En plus, le père de Stella aussi a eu ce poste. Elle sera donc dans ton collège ! renchérit ma mère.
Mon visage s’assombrit, j’essaye tant bien que mal de sourire.
Stella, sans doute de peur de se retrouver seule en France, me propose de manger avec sa bande. J’accepte, et je souris. On ne se moque plus de moi, au contraire.
Le soir, je prépare ma valise. Je ne peux pas prendre tous mes meubles, seulement des objets et des vêtements. Je rassemble tout. Quitter cette chambre et ces meubles me rend un peu triste, un tout petit peu. Les nouveaux habitants sont venus nous aider. C’est un couple avec trois enfants, la dernière me fait penser à Samantha, j’essuie une larme discrète.
Le trajet en avion dure neuf heures. De quoi s’ennuyer. Et en plus, mon téléphone n’a plus de batterie. Super. Pour fêter son nouveau travail, mon père a acheté trois billets en 1ère classe. Les sièges sont confortables, la nourriture bonne et l’avion très propre. Je suis assise à côté de Stella, elle m’adresse un sourire :
-Je suis vraiment désolée Lily, dit Stella. J’ai agi vraiment bêtement. Je voulais avoir l’air cool, être populaire. Ne pas être avec quelqu’un qui n’avait plus autant d’argent que les autres . J’aurais dû choisir ton amitié plutôt que la popularité. Je suis vraiment désolée.
-Ne t’inquiète pas, je te pardonne.
Nous arrivons en France à 12h (heure française). A l’aéroport, Iris, ma sœur, nous attends. Je cours et me jette dans ses bras. Elle m’a tellement manquée ! J’aimerais qu’elle ne me lache jamais.
Coucou
Voilà quelques idées de titre même si elles sont pas forcément extraordinaires :
Stella ???
Mentir?
Seule mais pas assez…
Lily , Stella, et les autres?
J’espère que ça va te donner des idées.
Par ailleurs le début de l’histoire est très chouette. J’ai hâte d’avoir la suite et de savoir si Stella sera vraiment aussi gentille une fois qu’elle se seras fait des copines en France.🇫🇷
Bisous 😘
Coucouuuuuu ✨
J’ai pas d’idées de titres donc si vous en avez dites-les moi ✨
CHAPITRE 1
Je baisse la tête. Il ne faut surtout pas qu’elles me voient. Elles s’approchent.
-Alors, comment ça va « Madame je suis riche mais mes parents ont perdu leur boulot alors je suis pauvre » ? demandent Stella et Ava, des pestes.
Ignore les Lily, ignore les. Allez, courage.
-Et la politesse ? Regarde nous au moins quand on te parle, dit Ava.
J’évite leur regard. Trop tard. Stella éclate de rire.
-« Madame je suis riche mais mes parents ont perdu leur boulot alors je suis pauvre » a un bouton ! dit-elle toujours en rigolant.
J’essaye de retenir quelques larmes, en vain.
Et voilà ce que je subis tous les jours. Je sais ce que vous allez dire : Ça s’appelle du harcèlement.
Mon père était diplomate aux USA et ma mère travaillait dans une grande entreprise de chocolat. Bref, on était riches. J’ai été inscrite dans ce collège de Washington il y a deux ans, pour mon entrée en 6ème. Mon frère fait des études à Londres et ma sœur a l’opéra national de Paris. Elle veut devenir danseuse. A mon arrivée au collège, je me suis tout de suite fait des amies : Emily, Talia, Ava et Stella. Oui, oui, avant Ava et Stella faisaient partie de mon groupe d’amies. Dans ce collège nous étions tous enfants de personnes importantes ce qui fait que je ne me sentais pas supérieure aux autres. Mais cet année, mon père a été viré. Apparemment il ne faisait pas un assez bon travail. Et l’entreprise de ma mère ne fonctionnait plus, ils ne gagnaient plus assez alors ils ont été obligés de renvoyer des employés, dont ma mère. Depuis, je suis la risée du collège. On se moque de moi dans les couloirs, les salles de cours, le self, le gymnase, la bibliothèque et même sur le chemin du retour.
Maintenant, je n’ai plus d’amis. Emily a déménagé en Grèce, Talia en Nouvelle-Zélande et lorsque j’ai annoncé à Ava et Stella le renvoie de mes parents, elles se sont moquées de moi. En plus, je n’ai aucune chance contre elles. Ava a des longs cheveux roux ondulés et des yeux noisettes, elle est de taille moyenne et est très mince. Son père est secrétaire d’État et sa mère actrice, mannequin et chanteuse. Stella est sans aucun doute la plus belle fille du collège ! Elle est grande et fine, mais pas trop. Juste comme il faut. Elle a des longs cheveux blond vénitien, presque châtain clair et des yeux bleus-gris foncés.Son père est diplomate aux USA, comme le mien et sa mère est la cousine du duc de Cambridge. Stella est de loin l’élève la plus populaire du collège. Moi, Lily, je suis moche. On me dit que je suis belle, mais je ne les crois pas. Je n’ai pas les yeux d’Ava ou de Stella, et encore moins les beaux yeux verts d’Iris, ma sœur et de George, mon frère. Les miens sont marrons, presque noirs. Mes cheveux sont bruns. Je suis la seule de ma famille à avoir les cheveux de cette couleur. Ils sont tous blonds. Je suis petite, et pas assez maigre. Si on dresse un portrait de ma famille on me prendrait pour la domestique. Ils sont tous blonds, avec des yeux verts pour George, Iris et mon père, bleus pour ma mère…. et Samantha. Tous grands, minces. Pas moi.
Samantha était ma petite sœur, on avait un an d’écart. L’année dernière, elle est décédée d’un cancer. J’ai pleuré pendant des mois. Et même aujourd’hui, lorsque j’y pense je fond en larmes.
Lorsque je rentre enfin à la maison, mes parents m’attendent.
-Lily Smith, commence ma mère.
Si elle m’appelle par mon prénom et mon nom de famille, c’est qu’elle doit m’annoncer quelque chose. Je m’assois sur le fauteuil.
Avec ou sans filtre?
Suite du chapitre 1:
Le bus arrive au collège, je descends et rejoins Louise sur notre banc habituel.
– Salut, me dit-elle en souriant.
– Coucou, répondis-je en lui rendant son sourire.
J’avais décidé de ne pas me faire déstabiliser par le message que j’ai reçu ce matin. Ce n’était sans doute qu’une erreur d’inattention, je n’ai pas d’ennemi(e) au collège. La sonnerie m’arrache à mes pensée et je vais me ranger, avec mes camarades de classe. Nous avons cours d’anglais, et c’est une matière dans laquelle j’excelle. J’ai 19,85 de moyenne en anglais. Je suis bonne élève en général. Il y a juste la physique et les mathématiques dans lesquels j’ai du mal. Ma matière préférée est l’histoire. Je m’assieds donc à mon bureau et écoute attentivement ce que dit la professeure. Quand le cours est terminé, je me lève et j’entends des personnes ricaner dans mon dos.
– Quoi ? Je leur demande.
Ils continuent à ricaner bêtement et poursuivent leur chemin vers la salle d’anglais. Même Louise à un sourire en coin en me voyant.
– Mais qu’est ce qu’il y a à la fin ! M’énervais-je.
– Tu as un chewing-gum collé dans le dos, rit Louise.
Ah, c’est répugnant ! Je file aux toilettes et tente tant bien que mal de retirer la substance collante de mes cheveux. Je n’y arrive pas ! Les larmes me montent aux yeux. J’attrape un élastique et attache mes cheveux pour cacher le chewing-gum. Je remonte à toute vitesse en salle de français et mon professeur me réprimande, parce qu’évidemment, je suis en retard. Je sens le regard des autres peser sur moi, et je frissonne. Je m’assieds, et essaye de suivre le cours sans fondre en larmes. Quand la cloche sonne enfin, j’achète une salade à la cafétéria et je vais manger aux toilettes. Je n’ai envie de croiser personne. Je mange rapidement et me demande ce que je vais faire du reste de ma pause. Nous reprenons les cours à 13h45 et il est 12h45. Je sors de mon sac mon livre préféré, Mille baisers pour un garçon, et recommence à le lire. C’est la 7eme fois que je le lis. Je l’adore. Je passe donc la dernière heure de ma pause à lire. Au moins, je ne pense pas à l’incident de ce matin…
Il est l’heure de retourner en cours. Je n’ai pas envie d’y aller… J’ai trop peur de me faire recoller du chewing-gum dans les cheveux. Qu’est ce que je vais dire à mes parents ce soir… L’après-midi se passe sans autre embûche. Quand je rentre chez moi, comme je l’avais prédis, ma mère me demande ce qui m’est arrivé. Je réponds :
– Mon chewing-gum m’est sorti de la bouche et s’est collé dans mes cheveux, Je n’arrivais pas à le décoller…
Après une grosse skincare, le chewing-gum part enfin. Je ne veux pas retourner au collège demain…
Je monte me coucher avec la boule au ventre. Je ne m’endors qu’à trois heure du matin.
Coucou
C’est trop bien!
PS: très bon choix de livre! Toi aussi c’est ton préféré ?
Oui 🥰🥰🥰
Du coup t’as aussi lu mille morceau de cœur brisé (c’est la suite) ? Il est encore plus incroyable! (Presse c’est celui là que je préfère).
Non je ne l’ai pas lu mais je compte le faire!! 😊😊
C’est juste obligatoire de le lire!!!
Avec ou sans filtre ?
Chapitre 1 : Le début de la fin.
Je m’appelle Lya, et j’ai 14 ans. J’ai de longs cheveux blonds et les yeux bleus. D’après les personnes de mon collège, je suis très jolie. Moi, je ne trouve pas. Je trouve mon nez trop retroussé, mes lèvres trop fines, mon cou trop petit, enfin je n’aime pas mon corps. La seule chose que j’aime chez moi, c’est mon petit grain de beauté en dessous de ma lèvre inférieure. Je vais au collège de la Pierre-Verte. Drôle de nom pour un collège. Il s’appelle comme ça parce que le fondateur, Daniel Graciet, possédait une pierre anormalement verte. Et ce n’était pas de la mousse. C’était sa couleur naturelle. Une anomalie de la nature. Je l’aime bien, moi, cette pierre. Elle repose sous un grand châtaignier, dans la cour de récréation. Enfin bon, pour en revenir à ma présentation, j’ai un grand frère, Quentin. Il a 17 ans. Je suis assez réservée, et je n’ai qu’une amie très proche, Louise. J’ai pleins d’autres amis mais elle est ma favorite. Il faut savoir aussi que je suis malgré moi très populaire. Mes parents sont millionnaires, et je suis celle qui lance les modes dans mon collège, je suis toujours celles qui porte des marques et qui a pleins de chaussures. J’en ai neuf paire en tout, sans compter mes deux paires de chaussures de sport. J’ai des nouveaux vêtements toutes les semaines et je possède mon propre dressing. J’ai également un magasin qui porte mon nom, c’est un magasin de vêtements. Et je n’ai pas d’amoureux. Je trouve ça inutile.
Je me dirige vers ma salle de bain, me déshabille et plonge dans ma baignoire. Je me savonne soigneusement, avec du gel douche à la lavande, mon parfum préféré. Une fois nettoyée, je me sèche minutieusement et me dirige vers mon dressing. J’enfile des sous-vêtements propres puis je choisis un top rose et un short gris délavé. J’accroche à mon cou mon collier NY, souvenir de mon séjour là-bas puis pend à mes oreilles mes créoles dorées. Je mets mes chaussures (aujourd’hui, j’opte pour mes campus roses) puis attrape mon sac Lacoste blanc. Ma mère me prépare tous les matins un bowlcake avec des flocons d’avoine et de la banane écrasée. Je le mange à toute vitesse puis je vais me laver les dents. Je finis ma préparation avec un pchit de ma brume à la vanille et ça y est, je suis prête. J’envoie un baiser à ma mère, salue mon père et tire la langue à mon frère qui me répond par un clin d’œil. J’ouvre ma porte et me dirige vers mon arrêt de bus. Je m’assied et sors mon téléphone. J’ai une notification mais le nom de l’expéditeur ne s’affiche pas. Je l’ouvre et lâche un hoquet de stupeur. Le message dit : je te déteste.
Bon. Je bloque le messager anonyme et supprime son message. Le bus arrive et je monte, prend place sur mon siège habituel et, après avoir vissé mes écouteurs sur mes oreilles, lance ma playlist préférée.
Coucou
J’aime beaucoup j’ai hâte de savoir quelles aventures vont lui arriver!
Bisous
Je voulais vous montrer la couverture que j’ai faite pour mon livre mais j’y arrive pas 😭😭😭.
Dommage 😭
Oui
Faut peut être demander à Camille si on pourrait le faire mais en attendant tu peux lire mon histoire si déstabilise pas deja fait!
Bisous
Salut les filles voilà la suite de:
LYRA HISTOIRE D’UNE EUPHONIUMISTE
C’est juste le début du chap 1:
Chapitre 1: ou je vous raconte tout:
Maintenant que je vous ai plongé dans l’histoire je vais me présenter (avant d’avancer il me faut reculer un peu sinon vous ne comprendrez pas).
Je m’appelle Lyra j’aurais vingt deux ans le vingt quatre août.
Ça fait dix-sept ans que je fais de la musique.
Ma couleur préférée c’est le bleu vert mais malheureusement les cuivres ne peuvent pas être de cette couleur là alors heureusement j’aime aussi l’éclat doré ou argenté d’un pavillon bien astiqué.
J’ai presque toujours pratique la dans et je ne compte pas arrêter. C’est même une des trois choses que je ne veux jamais arrêter.
Ce que je veux faire toute ma vie c’est:
-la musique
-lire (pouvoir échapper à toit ce qui nous entoure, avoir peur pour le personnage, échapper au stresse, à la tristesse, je Sia spas comment j’aurais fait sans les livres.)
la danse (cette impression d e voler, que plus rien d’autre n’existe, l’impression de pouvoir tout faire, et puis rigoler ensemble d’un porte raté, un tour ou on est tombé, un pas plus difficile mais dont on arrivera a bout…).
J’ai une famille que j’adore mais pour l’instant je vais juste vous parler de mon petit frère. A presque 19 ans il chante toujours aussi faux et j’adore ça (même si par le passé ça m’a beaucoup énervé quand je l’entend chanter j’ai l’impression de revenir à l’époque où il n’y avait pas le stressée de réussir ou pas). Ça a toujours été mon compagnon de jeux et nous avons passé des moments formidables à faire.
Mais avec la musique nous avons eu de moins en moins de temps pour le faire jusque tout les deux on soit trop grand. Et puis qu’il y a eu les études et tout ce qui va avec.
Maintenant je vais me décrire moi.
Je suis assis grande, j’ai les cheuveux blond assez longs et je me trouve assez jolie. L’acné que j’ai eu ados a enfin disparue en laissent heureusement très peu de traces. Bref je peux paraître un peu narcissique d’où prétentieuse mais je me trouve
« Lyra a table! »
Bon je disais précédemment que j’étais libre mais c’est pas tout à fait le cas car j’habite encore avec mes parents quand je ne suis pas à Paris.
Mais bientôt j’aurais un appartement (bon avec des colons mais je serais quand même un peu plus libre qu’avec mes parents).
« Lyra qu’est ce que tu fais? A table! »
Re hurle mon pères.
Ce coup si je descend. Je m’étais perdue dans mes pensées et ça va bientôt faire dix minutes qu’on m’a appelé pour la première fois. Mais bon sa va être une bonne occasion de vous présenter ma famille. Bon vous savez déjà que j’ai un petit frère.
Ensuite il y a ma mère, elle est très gentille et je la trouve très belle. Je peux discuter de tout avec elle.
Enfin il y a mon père. Il est assez grand, il a les cheveux long et ondulés depuis déjà un moment (quoi quinze ans?) et il n’a jamais voulu que je ,un fasse des tresses je ne comprend pas pourquoi :-). Je l’aime vraiment beaucoup et je le remercie pour tout un tant de chose. Il raconte très bien les histoires.
« Lyra tu rêves? Ça fait trois que je te demande la même chose! »
En parlant du loup…
Mais bon on est quand même à table et en général c’est un endroit où on discute. Mais là avec ce qui c’est passé cette après midi je rêve un peu et c’est tout à fait normal.
« -Désolé j’étais un peu dans mes pensées tu disais quoi?
je te demandais comment c’était passé ta journée. Répète mon père.
Plutôt bien mais je suis crevée la on peut en rediscuter plus tard?
Oui bien sûr! Conclus mon père. »
Puis la discutions continue mais je ne suis plus je suis perdues dans mes pensées. ✨✨✨
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J’ai hâte d’avoir vos comentaires.
Bisous 😘
PS: j’aimerai bien que quand quelqu’un lit le passage il me fasse un retour ou alors que vous loque pour que je sache que y’a des gens qui lisent se que j’écris et hésitez pas à mettre des commentaires pour le dire ce qui vous a plus ou pas!
Ce qui m’a plus c’est que le personnage raconte le début (je sais c’est mal expliqué)
Il y a quelque chose que je n’ai pas aimé mais je ne sais pas comment l’expliquer
Cette histoire est super sinon
Coucou
Contente que ça t’ai plus.
Juste est ce que tu as vu que il y a un prologue? Peut être que sa peut remédier à ce que tu n’as pas aimé?
Bisous
Coucou j’aime toujours autant ton histoire tu as un super style d’écriture j’ai hâte de la suite
Salut! J’ai commencée à écrire un livre et je voudrais votre avis pour l’intro.
petit résumé: c’est l’histoire des disputes et crime de vengeance de la lumière et de l’ombre, dont Aïcha devra résoudre sinon c’est la vie de l’imagination qui sera mis en péril
Aïcha et les mondes (pas si) fantastiques
PROLOGUE:
Au commencement, il n’y avait que Vie, Mort et Destruction. Puis, Terre Mère, qui les avaient engendrés, donna naissance à Création. Mais Terre Mère, si fatiguée, décida de disparaître de sa forme éveillé pour sa forme de vie seconde. Elle devint ainsi la Terre. Ses enfants se disputaient bien souvent, et ils décidèrent d’aller vivre ensemble là-bas. Malheureusement, les querelles ne se réglèrent pas ; Vie et Création , ne voulant pas laisser Destruction et Mort » tout gâcher » , fusionnèrent pour devenir l’être unique nommée Lumière . Mais Mort et Destruction décidèrent, jaloux, de fusionner eux aussi pour devenir l’être Ombre. Calmer par cette puissance nouvelle, chacun créa 4 mondes.
Ombre et Lumière restèrent malgré tout sur la Terre, où ils se succédaient pour régner avec respect, créant la nuit et le jour.
Chapitre 1 (il n’y a que le début):
Aïcha est sûrement la plus grande fan des livres fantastique. L’autre jour, au grenier, elle a découvert une tonne de livre qui appartenait à ses parents quand ils étaient plus jeune. Ses 2 livres préférés devinrent Les Héritiers de Brisaine et un livre dont elle n’avait jamais entendu parler, La querelle de Respect . Par contre, elle ne comprends pas pourquoi il y a 1 petit texte de 19 lignes et que le reste soit vide .Mais bon, ce côté mystérieux en fait son préféré. Elle n’aime pas aujourd’hui. C’est la rentrée des classes et, décidemment, ça à tout d’un jour pourri. Voilà pourquoi elle n’aime pas ce jour:
– C’est l’anniversaire de mort de Loustick, son chihuahua
– On doit retourner à l’école
– C »est la fin de l’été
-Elle ne pourra pas aller sur le site des GirlsPowers
Donc, c’est un jour pourri !
Elle aimerais tant vivre une aventure.
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voilà! Maintenant, j’attends vos critiques avec impatience!!!!!!!
Acapulco la fan de lama
Rien a dire sauf que je veux absolument lire la suite!ça a l’air trop bien!
J’adore tout simplement je n’ai rien à dire 🫶❤️🔥