Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
chapitre 2: en scène
Quand j’ai appris la nouvelle j’ai couru le dire a ma mère elle a sauté de joie et ma prise dans c’est bras , elle était si heureuse pour moi moi aussi j’étais heureuse mais surtout extrêmement choqué . Ma mère a appeler mon père et mes grands-parents ,puis le soir on a fêter sa , j’ai eu le droit a tout mes plats préféré je l’avoue j’était extrêmement stresser mais le repas ma fait décompresser . Le lendemain quand je suis arrivé a l’école je les dit a tout le monde même les profs était choqué mais le principal le savait déjà car avant de nous prendre ils faut aller demander au principal si on peut rater les cours pour aller tourner et le principal a le droit de dire non si on na pas de bonne note heureusement pour moi je suis une des meilleurs de la classe . Le tournage ne commencé pas avant deux semaine mais plus le jour J arrivé plus j’était stresser être entourer de personne que tu ne connais pas sa me met toujours dans un état de stresse pas possible heureusement que tous les autres acteur sont des enfants d’ailleurs je vous ai pas raconté l’histoire du filme ? C’est l’histoire d’une petite fille ( Jade) qui vit avec ses parents qui sont trèsssssssssss riche mais aussi très stricte , elle vient de déménager et elle rentre dans une nouvelle école et elle va se faire plein d’amis et elle ne va faire que des bêtises même en compagnie de ses parents car elle en a marre de vivre sous les règles de ses parents . En faite j’ai un peu hâte d’être sur le plateau .
Le journal d’une enfant star
Chapitre 1 : Le début de ma carrière
Moi Alice Legrand une petite fille de 8 ans en CM1 comment c’est possible d’avoir eu le premier rôle dans une série alors que je n’est jamais joué ?
Pour reprendre depuis le début j’adore le théâtre j’en fait depuis le CE2 mes parents me disent souvent que j’ai les yeux qui s’illumine quand je regarde un filme qui me plaît, depuis la première fois que j’ai fait du théâtre je n’est qu’un seul vrai rêve je veux devenir actrice pas pour des pièces de théâtre non actrice de cinéma vous vous rendrez compte être H24 sous les feux des projecteurs les gens qui viennent vers toi dans la rue pour avoir un ortographe c’est pas cool sa et en plus le meilleur pour la fin LA RICHESSE !!! Avoir des voitures de luxes des milliards de Villa nan mais sérieux les Noël de star sa doit être tellement cool ! C’est pour sa que ma mère a commencé à me faire passé des castings mais malheureusement j’ai toujours était refusé non par ce que je suis nul au contraire je suis la plus doué de mon groupe ( c’est notre prof qui me la dit ) mais par ce que il ya plein d’autres personnes qui passe le castings donc il y a très peu de chance d’être choisie mais je n’abandonne pas tout se que je veux c’est de passer au moin une minute dans un filme ou dans une série et d’avoir quelques répliques quoi jusqu’au jour où j’ai passé un castings pour jouer dans un filme pour enfants et vous connaissez la suite , j’ai eu le premier rôle.
OMG j’adore cette histoire surtout que sa parle de théatre
je suis d’accord cette histoire est juste géniale
~Avancer: Chapitre 9~
Je range le piano dans sa boite puis je m’installe sur le lit de Gaby. Ce dernier s’installe à côté de moi puis prend son pc portable et l’ouvre. Enfin il me lança:
-Bon on se regarde quoi comme série ?
-Friends ?
-Classique, simple, efficace tout ce que j’aime. dit-il en rigolant
-Qui n’a jamais vu cette série !!!
-T’imagine il y a des gens qui n’ont jamais rigolé aux blagues de Joe, n’ont jamais vu Phoebe jouer de la guitare…
-Arrête arrête je vais faire un arrêt cardiaque
Il se mit à rire et je l’accompagna. Puis, il lance enfin la série. Il pose son pc sur sa table de chevet puis il s’allonge près de moi. Il m’encercla de ses grands bras et me serra du plus fort qu’il puisse. On était allongés dans son lit, en position cuillère. Je sentais son souffle dans mon cou. Au bout de plusieurs heures, je me retourne vers lui tout en restant dans ses bras. Il s’était endormi… Je regarde chaque détail de son visage. Ses bouclettes tombent délicatement sur son front, ses sourcils sont en bataille et ses lèvres, rosées, sont gercées. Puis il ouvre les yeux. Et je me plonge dans ce vert si profond… Il avait de tout petits yeux. Je commence à m’écarter car cette proximité va me faire rougir mais Gaby me serre plus fort puis il chuchote:
-Reste avec moi s’il te plait
-Gaby je vais devoir y aller ma mère va m’en vouloir si je rentre trop tard…
Gaby se lève, il me regarde. Je détourne le regard. Mes yeux se posent sur la fenêtre. Il faisait nuit… Gaby regarde lui aussi la fenêtre.
-Je vais te raccompagner.
-Non t’inquiète pas je vais demander à ma mère de venir me chercher au bout de la rue.
-Ok bah je viens avec toi au bout de la rue jusqu’à ce que ta mère arrive.
-Si tu veux chat
-Chat ? Gaby me regarde d’un air curieux
-Désolée c’est sorti tout seul. dis-je avec un petit rire gêné.
On descend les escaliers. Il m’ouvre la porte et je sens le froid glacial de dehors caresser mes bras nus. Je commence à grelotter. Gaby l’a remarqué. Il commence à enlever son sweat nike bleu et je vois son t-shirt se soulever laissant ses abdos à la vue de tous. Je détourne rapidement le regard. Qu’est-ce qui me prend ? Je l’ai déjà vu des tonnes de fois torse nu à la plage… Cette atmosphère est bien trop romantique. Gaby me tends son sweat.
-Non t’inquiète pas ça va. Dis-je avec un grand sourire.
-Prends le tu grelottes ! insiste Gaby en mettant le sweat contre ma poitrine.
-Mais il va être beaucoup trop grand pour moi !
-Bah au moins t’auras chaud ! Moi je vais prendre un autre pull et je vais aller chercher ton cadeau.
-Bon ok si tu insistes… Merci mon Gaby
J’enfile son sweat. Il sentait la fraise et la pastèque. Tout comme Gaby… Son sweat est effectivement trop grand… Mais honnêtement, je m’en contre fiche. Gaby redescend avec un pull gris et le carton du piano. Il fit un petit sourire. Ses yeux verts se posèrent sur moi. Il m’examine puis ouvre la bouche. Il dit enfin:
-Key…
A suivre….
A moins que le chapitre 10 ne vous tente pas…??
OH PUNAISE C’EST BEAUCOUP TROP ADORABLE CONTINUE !!!! 😭
C’est trop bien !!!!! C’est trop mignon !!!!🥹
C’est trop bien !! C’est trop mignon !🥹 la suite stp
La suite stp !!!!!!!
Pitiéee la suiiiiite mon cerveau déraille !!!! Il imagine Gaby dire à Key qu’il s’est lui aussi mit en couple pendant l’été. Pourquoi je suis aussi négative ?????? Stp donne moi tort (ça se dit ça?)
Juste. Le chapitre 10 ne me tente pas, il me faut le bouquin en entieeeeeer !!!!!! (J’rigole le chapitre 10 c’est inévitable)
Une fille soucieuse12/05/2024 13:44
Chapitre 1
Il faisait noir , l’orage grondait à l’extérieur. Il était proche. Maman m’avait toujours dit de ne pas craindre le tonnerre et les éclairs mais je n’y pouvait rien. Je me retenait d’aller demander à ma sœur cadette, Caroline, si elle aussi craignait les orages. Mais elle se moquerait de moi à coup sûr. Une lumière vive pénétra dans ma chambre, plus de lumière. Même ma veilleuse ne fonctionnait plus. J’éclatais en sanglots. Papa et Maman ne devait toujours pas être revenu de leur soirée entre amis. Alors, je courus jusqu’à la chambre de Caroline. Tant pis si elle se moquait de moi, je voulais que tout ça s’arrête c’est si ridicule à 12 ans presque 13 de craindre un simple orage. Quand j’ouvrirai la porte de chambre de ma sœur je fut aveuglée par une lumière rouge surnaturelle. Et là, je le vis. Une toute petite chose rouge semblable aux démons de contes de fées s’en prenait à Caroline ! Terrorisée j’attrapais la gourde violette posée sur son bureau. Elle était pleine et donc lourde. Parfait ! Bien que paralysée par la peur je m’écriait quand même
» Attention je suis armée ! »
Évidemment ça n’était pas une arme. La créature se retourna tout de même et me fixa de ses yeux rouge sang. Ils roulaient dans leurs orbites, comme une danse endiablée qui ne s’arrêterait jamais. Je ne parvenais pas à détourner le regard, était comme hypnotisée. Soudain, ses yeux arrêtèrent de tourner et je m’écroulais, le charme rompu. J’eu juste le temps d’entendre ma sœur hurler avant de m’évanouir.
Ch 12 : Je n’ai plus les mots…
– Pa.. Pardon ? G-Gale Stone ?
– Oui. Euh… ça va ? T’es tout blanc !
– C’est pas possible… je murmure.
– River ?! Hey ! Ça va ?
– Je… Ton père… il a disparu il y a 15 ans..?
– Oui. Comment tu le sais ?
– Gale Stone…
– River tu me fais flipper là ! Qu’est-ce qu’il y a avec mon père ???
– Finn…
Finn me regarde avec insistance. Et soudain je vois. Ses yeux verts… les mêmes que ceux de mon pèr… heu mon géniteur.
– Finn… Je répète.
– Oui !?
– On a le même père.
– QUOI ??!!!!!! Tu me fais une blague là ??!! Hein ? Dis moi que oui s’il te plaît…
– J’aimerais bien… mais… je suis aussi son fils… on est demi-frères.
-… Non… c’est pas possible… il doit y avoir une erreur…
J’aperçois une larme rouler sur sa joue. Pas une larme de tristesse. Une larme de rage amer.
– Il avait donc une double vie !
– Oui sinon on aurait pas le même âge.
– Il a osé faire du mal à nos mères… Cet enfoiré…
– Finn… il y autre chose… Skye m’a assuré que c’est le proprio de la boulangerie d’Edwardville…
– Ça voudrait dire qu’il est toujours vivant…
Je hoche la tête.
Finn baisse la tête. Une ombre masque ses yeux mais je peux voir un sourire se dessiner sur son visage. Un sourire de vengeance.
***
J’ai du rentrer plus tôt que prévu pour aider Maman à ranger la maison. On a des invités ce soir. Sur le chemin, j’appelle Hanna en lui expliquant en détail ce qu’on à découvert.
– QUEL ENFLURE TON PÈRE ! Sans vouloir te vexer bien sûr, River.
– Je partage ton avis.
– Je me sens mal d’avoir suspecté Finn… le pauvre… – t’en fais pas, Hanna.
– Keï’! Hurle mon amie.
– Oui ? Répond une voix en arrière plan.
– L’enquête est close, je t’expliquerai.
– Oh… déjà ? Je m’amusais bien moi !
– Les filles, j’ai une autre enquête pour vous. Celle de mon père. Je propose.
– Ouiiiii !!! Répondent elles en choeur.
– Skye aussi est dans le coup !? Demande Keï’ qui s’est visiblement approprié le téléphone de sa cousine.
– Oui !
– Trop bieeeeen je l’admire tellement ! Elle est géniale et incroyable belle !
– Je trouve aussi. Je réponds en souriant.
Wouaaaah, j’adore! 😁C’est vraiment trop génial comme histoire ! Je suis sûre que si tu l’envoyais à une maison d’édition, elle serait éditée, et je l’achèterais direct! 😃
Ooouuups 😵💫 j’ai oublié d’aller à la ligne à un moment. Rectification :
« – Je me sens mal d’avoir suspecté Finn… le pauvre…
– T’en fais pas, Hanna. »
BEAUCOUP MIEUX ! J’espère que la suite vous plaira ! 🫠
LA SUITE !!! STP C’EST URGENT !!!
bisous<33
Je suis choquée 😱 !!! La suite stp !
les filles , j’ai des problèmes partouts , tout le temps , je me fais du mal et j’ai des crises d’angoisses ou j’entends la voix d’un hommes qui compte sans jamais s’arreter et en plus j’ai un tic tac insupportable qui hantes mes nuits .
je vais plus voir mon père , mes soeurs me detestes , ma mère aussi , chez moi je ne me sens pas chez moi , je suis toujours reculée par rapport a ma meuilleur pote , je complexe , j’angoisse et j’ai le coeur brisée depuis 5 mois.
alors je fais quoi ?
ma vie est détruite .
j’ai plus rien .
alors je fais quoi ?
EST CE QUE JE CRAQUE ET JE M EN VAIS ?
EST CE QUE JE REJOINS LE CIEL ?
JE FAIS QUOI ?
désolée mais je trouvais pas le service d uregnce ..
Appelle un numéro d’urgence. Si c’est trop dur, parles à un adulte du collège.On est avec toi 🫶🏼🫶🏼🫶🏼
Ch 11 partie 2 : Hanna et Keï’ détectives en action
Le lendemain au collège, après le cour de math, Hanna me lance un sourire en me voyant arriver, qui retombe aussitôt lorsque Finn se pointe. Skye fronce les sourcils, et se gratte le menton l’air de réfléchir. Je suppose qu’elle est au courant pour l’enquête. Une fille ressemblant à Hanna, en plus petite, vêtue d’un pantalon cargo beige et d’un haut blanc s’avance vers nous.
– Salut Hanna, On se retrouve chez moi après les cours pour tu-sais-quoi…
– T’inquiètes pas Keï’ j’ai pas oublié. River ? Voilà ma cousine, Keï’.
– Salut Keï’ merci de m’aider avec Hanna pour le…
– Le tu-sais-quoi ! Me lance t’elle avec un sourire. Enchantée, River.
– Enchanté aussi ! Je lui répond.
La sonnerie retentit.
– Dernier cour ! Lance Shay.
– Oui ! Enfin ! Ajoute Finn avec un sourire adressé à Shay.
Bientôt, Shay est aussi rouge que ses baskets.
– Ouah… t’as vu son sourire… il est trop craquant…Me chuchote t’il avant de tourner dans le couloir.
Je n’ai jamais vu Shay aussi amoureux. J’espère qu’on ne va rient découvrir de bizarre sur Finn…
***
Les cours ont pris fin il y a une demi-heure. Je suis affalé sur le canapé du salon, l’ordi posé à côté. Ingram est ouvert. Finn a une page avec une petite quantité de followers. Je scrute rapidement ses photos à la recherche d’informations à son sujet. Mais il me parait plutôt réservé. Je soupire en rabattant l’écran.
– Riveeeeer ! Viens m’aider à rentrer le liiiiinnge !
– J’arrive Maman !
***
Je passa toute la soirée à réfléchir. À quoi ? Je ne sais pas. A 22h45 précisément, je reçut un message.
Finn : Salut River. J’aimerais te parler samedi. Viens au parc ok ?
River : Parler de quoi ?
Finn : Faire connaissance.
River : Ok je serai là. Salut.
Finn : Super. À demain.
Le samedi, je rejoins Finn au parc après avoir aider maman avec la maison comme d’habitude.
J’aperçois Finn sur un banc. Je m’assois à côté de lui.
– Salut River. Content que tu sois venu. On se connaît pas assez, j’aimerais que ça change.
– Salut. T’as raison. Je lui répond.
Après avoir passé une heure a avoir parlé du dernier match de hockey, de nos plats et nos matières préférées, Finn me pose une question intéressante.
– Au fait… tu habites ici… qu’est-ce que tu faisais à Dustown ?
Je suppose qu’il doit être au courant. Je lui répond donc franchement.
– Je cherchais des indices sur mon père. Il a disparu quand j’étais bébé.
– Ah, désolé… moi aussi j’ai perdu mon père. Ma mère m’a donné son nom à elle plutôt que celui de mon père.
– D’accord. Comment s’appelait ton père ? Je lui demande.
– Stone. Gale Stone.
Ohlalala je sens la suite ! À mon avis les 2 vont avaoir le même père vit la suite !
Gale Stone que c’est étonnant… OH PTN JE VIENS DE COMPRENDRE LE « c’est comme un frère »… Bah oui du coup hein.
Mais ça m’a fait trop rire la tenue vestimentaire que tu as décris pour keï’ c’est exactement le genre de tenues que je met H24 mdrrr
Bisooous <33
Chokbar. Mais c’est incrrrrrrrr !!!!!!!!
Coucou ! Je suis nouvelle sur ce site et j adoooore
Écrire .
Donc je n ai nis numéro de chapitre ni titre au petit texte que je vais vous écrire et dites moi si vous aimez bien, comme ça je donnerai un titre et toit et je ferais une suite, un début etc..
Bon allez , on commence
Chapitre je sais pas combien de je sais pas quoi ( :
Son doux parfums de framboise envahissait mes narine .
Je pouvais sentir son souffle sur ma nuque et ses grands yeux vert posés sur moi .
– ouvre les yeux , souffla t il .
Mes paupière se levèrent lentement , dévoilant , entre les deux mains jointe de Sammy, un petit paquet à fleurs roses .
Je souri
L emballage était rafistolé et jonché de petits morceaux de Scotch.
– c est … merci sammi .chuchotais je . C est trop gentil .
Sammy esquissa un sourire de contentement .
– ouvre le . Me proposa t il .j espère que sa te plaira…
Il m adressa un clin d œil et me tendit le paquet .
Nos index s effleurèrent un cour instant et un léger frisson me parcouru .
Mon cœur battait à tout rompre .
Je sentais un vent frais sur mes joues en feu et sur mes lèvres séches.
Les volets entrouvert de sa chambre laissaient passer le la fraîcheur d une soirée d été et la chaleur des rayons orangés d un soleil couchant .
Je mordait nerveusement ma lèvre inférieur tout en déchirant méticuleusement le papier rosé .
La petite frimousse d une peluche à poils blancs me fit glousser .
– c est trop mignoonnn !!! M exclamai je . Merci !!!
– heureux de te voir sourire . Glissa Sammy.
Alors que j observait encore le petit ours poilus au grands yeux émeraudes et aux petites pattes grises , Sammy s à prochain lentement de moi .
Je levais la tête alors qu’il se penchait vers moi
Mon front et son menton entrèrent en collision si brutalement qu il fût propulsée en arrière.
S ensuivis un fou rire incontrôlable.
Il s était assis et se frotait le front .
Son rire rauque se mêlait mes gloussement incontrôlables .
J avais enfui ma tête dans mon pull afin de me clamer , mais entendre Sammy pouffer étais d’un amusement si profonds que j’en pleurais désormais de rire .
L
La suite ?
Ou pas?
Ouiiiii !
LA SUITE STP c’est juste incrr <33
Coucou voici le best of Nevermoor que vous m’aviez demandé. J’espère qu’il vous plaira.
⚠️Ceci est un livre d’auteur. Ce n’est pas moi qui ai inventé le scénario
Best of
Nevermoor
Présentation des personnages avant de commencer :
Hawthorne Swift : meilleur ami de Morrigane depuis son arrivée à Nevermoor. Son pouvoir : il montes les dragons comme personne.
Cadence Blackburn :amie de Morrigane ? Peut être… Pouvoir :Hypnotiseuse. C’est un gros handicap car son pouvoir fait que personne ne se souvient d’elle. Sauf Morrigane qui est une personne si spéciale…
Francis, Ana, Taedha, Mair, Harchan : camarades de classe de Morrigane. Ne sont pas tellement amis.
Francis est cuisinier, Ana est chirurgienne, Mair est polyglotte, Taedha fait des combats et Harchan sait voler les objets des gens sans qu’ils le remarquent tout en jouent du violon.
Noëlle Devero : méchante avec Morrigane mais n’est heureusement pas dans sa classe.
Heloïse : n’est pas dans la classe de Morrigane mais n’arrête pas de la martyriser.
Basy Charletown : mentor de Cadence. N’aime pas Morrigane et fait croire à tout le monde qu’elle est dangereuse et qu’il ne faut pas lui faire confiance.
Lambès : amie de Morrigane. Prédit se qui va se passer dans à peut près une minute. Peut voir plus loin mais c’est trop dangereux. Est souvent dans sa bulle.
Jupiter Nord : mentor de Morrigane. C’est le monsieur à la barbe rousse qui est venue la chercher. Il est témoin. Cela signifie qu’il perçoit les gens sous un autres angle. Par exemple, il peut voir des halos colorés sur les gens. Un halo vert sur les doigts signifie que la personne à des problèmes d’argent. Un halo violet signifie conflit familiaux ou problèmes d’héritages ect…
Jack Nord : neveu de Jupiter. Est également témoin mais préfères porter un cache œil pour voir comme tout le monde.
Fenestra : énorme chat qui parle et qui est de la taille d’un éléphant. Peut parfois se montrer dure et difficile mais à un gentil fond.
Passage drôle:
Morrigane est assise avec ses 8 amis. Enfin depuis le début de l’année elle se sent à sa place. C’est l’heure du déjeuner. Elle meurt de faim ! Hawthorne s’assoit à côté d’elle.
« Pfff. J’en ai marre de devoir apprendre à parler les dragon ! Moi je voulais apprendre à les monter comme un chef ! Mais l’entraineur dis que il faut montrer le respect qu’on porte à notre dragon en lui parlant. »râla t’il.
« Mais tu montes déjà les dragons comme un chef ! »tenta de le rassurer Morrigane.
« Tu parles. Tout à l’heure j’ai dit à mon dragon : DKYU NOS KARLOGD’’ et il n’a même pas eu la politesse de répondre ! Même pas un petit : DRVRAG KORBTU. »
Mair manqua de s’étouffer.
« Je ne sait pas ce que tu crois que : DKYU NOS KARLOGD’’ signifie mais je ne pense pas que ça soit polie de dire à un dragon : j’ai un hachoir à viande chez moi’’ ça ressemble légèrement à un menace non ? »
Hawthorne grommela et Morrigane s’esclaffa.
« Et je ne sait pas se que tu espérait que le dragon te réponde mais ça m’étonnera qu’il te dise : tes yeux sont aussi brillant qu’un pied. »
Cette fois Morrigane cracha son lait par les narines.
« Hé bien cher hachoir à viande, je pense qu’il vous sera utile de faire des progrès dans la langue des dragons. »le taquina t’elle
« Tu sais Hawthorne, le truc le plus utile à apprendre dans la langue des dragons qui te servira durant toute ta vie, c’est : NEERAN DOONAS FLAURE’’. »
« Ah d’accord merci Mair. »
Une fille passa dans le couloir et Hawthorne lui cria :
« NEERAN DOONAS FLAURE ! Au fait ça veut dire quoi ? »
« T’as une tête de cul. »répondit il le plus sérieusement du monde.
Tous s’esclaffèrent.
Passage magique :
C’était noël, il avait énormément neigé. Même ce gros chat de Fenestra avait été surprise à batifoler dans cette neige si parfaite et blanche. Quelqu’un frappa à la porte de Morrigane.
« Entrez ! »
Jack ouvrit la porte.
« Morrigane il faut que tu fasse un choix ! Décidé ton camp maintenant ! »
Un peu plus tôt, Jack avait annoncé à Morrigane, qu’un spectacle de Noël avait lieu tous les ans à Nevermoor. Le père noël et un certaine reine de noël s’affrontaient grâce à la magie de noël ce qui finissaient en un magnifique spectacle fait d’étincelles et de paillettes argentées. Le peuple doit ensuite voter pour la meilleure prestation. Si la reine de noël était élue, elle promettait de la neige et du feux dans toutes le cheminées. Si c’est le père noël il promet des cadeaux et un beau sapin pour tout le monde.
« Attends Jack je réfléchis il y a quelques heures je ne connaissait même pas l’existence de la reine de noël ! »
Plus tard, elle alla trouver Jack dans sa chambre.
« J’ai fait mon choix. Je choisi le père noël. »
« Ah bon ? Très mauvais choix. Le père noël est juste un gros balourd qui peut à peine rentrer dans son traîneau. Alors que la reine, elle est si gracieuse, si élégante, si magique, si belle… »
Jack avait des étoiles dans les yeux.
« Ah la la, vous les garçons, vous êtes tous les mêmes. Et Jupiter c’est pareil ! Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre ! Non mais ! Le père noël n’est pas un gros balourd et en plus, les cadeaux c’est mieux qu’un pauvre feux de cheminé ! »dit Morrigane en tirant la langue et en fermant la porte.
Quand vint la nuit de cette soirée pleine de magie, toutes les personnes assistants à cet événement devaient s’accoutrer du mieux qu’il pouvait avec la couleur de la personne qu’ils voulaient soutenir.
Hawthorne est toute sa famille quoi soutenait le père noël, donnèrent un ruban rouge à Morrigane pour montrer qu’elle soutenait le père noël. Jack et Jupiter quant à eux, étaient habillés avec des chapeaux et écharpes vertes.
« Regarde toi Jack, avec ton chapeau vert tu as une tête de brocoli ! »dit Morrigane en riant.
« Et toi ? Un pauvre ruban rouge pour soutenir le père noël ? Avoue que tu regrettes ton choix… »
« Cessez de vous chamaillez vous 2 »s’écria Jupiter.
Le spectacle commença. La père noël arriva sur son traîneau lançant un fine poudre dorée qui réchauffa tous les spectateurs. Ce fut au tour de la reine de noël de faire son entrée. Elle débarqua sur un immense dragon de glace et fit un sourire si charmant au petites personnes intriguées que Morrigane en fondit sur place.
« Je te l’avait dit qu’elle était incroyable ! »lui souffla Jack.
Morrigane ne lui répondit pas car un pluie de neige d’or et d’argent se mit à voler doucement vers eux. D’un claquement de doigt, le père noël fit apparaître dans le main de chaque habitant, un torche. Et d’un clin d’œil en direction de Morrigane elles s’allumèrent toutes simultanément.
La reine de noël fit apparaître un pingouin de glace qui fit des figures pour impressionner le père noël et au passage les gens assistants à ce magnifique spectacle. D’un coup le pingouin se mit à marcher et distribua de petites chaufferettes. Tout à coup, toutes les lumières s’éteignirent. D’un souffle, le père noël avait comme endormi la ville. La reine de noël entama un chant, que toute la ville reprit en cœur. Soudain, un grand et majestueux phœnix de feux s’éleva dans le ciel. Ce moment était le plus magique. Jack donna un coup de coude à Morrigane.
« J’avais oublié de te la dire mais, tous les ans c’est pareil. Le père noël et la reine de noël se réconcilient. Au programme de la neige, des feux de cheminée, des beaux sapins verts et des cadeaux pour tous le monde ! »
Tous le monde était content. Des cris de joie fusaient de partout dans le rues. Rouge et verts étaient mélangés. Jack et Morrigane échangèrent rubans et chapeaux. Plus de camp n’existait et c’était ça, la magie de noël.
Démonstrations d’amitié pour celui là je ne peut pas mettre la meilleure car sinon c’est un spoile) :
Morrigane venait d’apprendre son pouvoir. Elle avait le même que ce dangereux démon qui, 10ans auparavant, avait failli détruire Nevermoor. Elle comprenait que les autres soient choqués mais pas au point de la harceler. Ne comprenaient ils pas que c’était aussi dure pour elle d’être vue comme un personne dangereuse quoi ne sait pas se contrôler ? Morrigane fut interrompue dans ses sombres pensées. Quelqu’un venait de lui souffler à l’oreille :
« Sale Wundereur t’es dangereuse t’as rien à faire ici dégage ! »
Cadence qui marchait à côté d’elle avait tout entendu.
« Mords toi la langue ! »lui cria t’elle.
Cette exclamation fut suivi d’un gémissement sonore.
La petite Ana venait d’assister à la démonstration de pouvoirs de Cadence et n’approuvait pas du tout :
« Cadence, tu sais bien que tu as interdiction de te servir de tes pouvoirs tu pourrais être renvoyée ! Je devrais peut être même avertir ta professeure principale… »
Cadence roula les yeux. Tout le monde se calma car ils avaient tous vu Héloïse et sa bande s’approcher. Ils se campèrent vers Morrigane.
« Je vous avez bien dit qu’elle était dangereuse ! Regardez ces petits yeux noirs furibonds. C’est juste un sale petite vermine. »dit elle en approchant son visage de celui de Morrigane.
« Moi aussi je suis dangereuse tu veux voir ? »dit calmement Cadence.
« Moi aussi je suis dangereuse. Si vous voulez je sais magner la massue et le bazooka comme personne ! »s’exclama Taedha qui venait juste de se pointer derrière Morrigane et qui avait tout de suite compris la situation.
« Moi je sais diriger les dragons comme énormes comme vous n’en avait jamais vus ! Et en plus, ils crachent du feux ! »s’écria Hawthorne.
« Et moi j’ai des champignons empoisonnés chez moi alors gare à vous ! »dit Francis plutôt timidement.
« Si vous voulez je peut venir chez vous la nuit et vous voler tous ce que vous avez de plus cher. »rajouta Harchan.
« Et moi, je peux vous découper en deux avec un scalpel ! »s’exclama Ana.
Cette dernière déclaration laissa tout le monde bouche bée. La si timide Ana qui avait été élevé par des bonnes sœurs et qui connaissait toutes les règles de bien séance par cœur. C’était si improbable de la voir avec une telle rage. Morrigane fut si émue de voir tous ses amis autour d’elle comme pour la protéger. Même ceux qui n’avait rien pu dire.
J’espère que ça vous a plu. Ça me ferai très plaisir que vous me répondiez dites moi ce que vous en avez pensé. Est ce que ça vous a fait rire ? Si oui quels passages ? Est ce que ça vous a ému ? Si oui quels passages ? Est ce que cet extrait vous a donné envie de lire ce livre ? Est ce que vous voulez que je fasse autre chose en rapport avec ce livre ? Si vous avez des idées dites les moi et si vous n’en avez pas dite moi simplement si vous voulez que je fasse autre chose en rapport avec ce livre et je trouverai les idées toute seule. Merci d’avance pour votre coopération 😘♥️😉😊
Ch 11 partie 1 : Hanna et Keï’ détectives en action.
J’actionne la poignée de la porte, enlève mes chaussures et monte dans ma chambre.
Je m’installe à mon bureau, et commence mes devoirs. Mon téléphone sonne. Une fois. Deux fois. Où est-ce que je l’ai mis ? Trois fois. Il est dans la poche de ma veste. C’est Hanna, je décroche.
– Salut Hanna.
– Hey River, j’ai besoin de te parler de quelques choses.
– je t’écoute.
– Je suis avec ma cousine Keï’ et nous avons parlé de Finn. On le sens pas ce mec, il cache quelque chose !
– Oh.
– On a fait des recherches sur lui sur internet et que dalle ! Rien ! Nada ! Zéro !
– Oui j’ai compris Hanna.
– Bref on voulait te prévenir. Fais gaffe avec lui. On le connaît pas bien. Et Shay aussi doit faire attention, je sais bien qu’il le kiffe mais on ne sait pas qui il est sous ce masque de beau garçon parfait.
– Je sais Hanna, mais Finn me semble familier… comme si nous nous connaissions depuis toujours…
– Keï’ m’a dit qu’elle fera d’autres recherches. Elle est super forte en enquête et a une intuition de génie !
– Super ! Tu le remercieras de ma part.
– Oui ! On te tient au courant. J’ai un babysitting qui m’attend, à plus !
– Salut et bonne chance !
Je raccroche. Il est vrai que je ne connais rien de Finn, à part qu’il habite chez sa mère. Mais… j’ai comme un sentiment de l’avoir toujours connu… comme un frère…
J’adooooooooooore toujours autant ton histoire ! En plus c’est trop sympa d’avoir mis une julienaute dedans. J’ai hâte de découvrir la suite! 😁
J’adore !!! (Comme d’hab mdrrr)
Même si ça me perturbe d’avoir mon surnom dans l’histoire j’aime toujours énormément. J’espère que Hanna et keï’ trouveront le truc louche chez Finn !!
Et Shay faut qu’il se trouve quelqu’un d’autre !!! (Si il a besoin, aux etats-unis ((et en france aussi Y.<33 !!)) les gens qui sont sur les terrains de basket sont plutôt bg il pourrait aller y faire un tour mdrrr)
ET NON C'EST PAS COMME UN FRR C'EST UN MANIPULATEUR !!!!!!!!!!!!!!
Bisooous <3
Oh merciii, (les basketeurs hein ?😏🤣) <3
(raaah tu peux pas savoir ils sont juste ✨incroyable✨ ((Y. jtmmm<3)) c'est abusé)
Je kiffe toujours autant!!! La suite s’il te plaît! C’est sympa qu’il y ait keï !😉
Chapitre 8
Après ce qu’elle venait d’apercevoir, Alyssia ne pouvait se rendormir. Elle passa la tête par la porte de sa chambre et vit que ses 2 camarades s’étaient endormies. Elle décida donc de poursuivre, si elle y arrivait cette silhouette. Elle descendit à la hâte le grand escalier qu’elle montait et descendait à longueurs de journées. Elle fila a toute vitesse dans le couloir plein de carrelage glissant. Ses pieds nus prenaient froid mais elle s’en fichait. Elle ne pourrais pas penser à autres chose si elle ne tentait pas sa chance de découvrir un phénomène paranormal. Depuis toute petite, avec son presque 160 de QI elle ne pensait qu’a la science. Mais il n’y a pas si longtemps, un question lui était venue subitement à l’esprit : pourquoi la science n’expliques jamais les raisons qu’on les gens de croire au paranormal ? Et elle n’avait pas trouvé de réponse. Ni dans les livres, ni dans les journaux et même pas dans les documentaires. Elle continua à courir au risque même de se faire prendre. Elle serai punie si cela arrivait mais… ces gens n’étaient pas ses parent. Peu importe si elle les décevait de toute façon s’était leur boulot. Elle couru sans s’arrêter. Arrivée à un angle mort elle prit un virage contrôlé et sentit un courant d’air froid. Elle fut forcée de s’arrêter dans sa course car, il y avait des barreaux. Du sol au plafond. Elle regarda en face d’elle, sur environ 1 mètre, le couloir continuait avec seulement de la terre comme sol. Et après la terre, des barreaux aussi. À ce moment là, elle eut la peur de sa vie. Un ombre non identifiée fonçait sur elle, encore plus vite que ne courait la silhouette blanche auparavant. L’ombre se rua sur les barreaux. Alyssia fut soulagé de constater que cette chose était faite de matière et ne passait pas non plus les barreaux en face d’elle. Ouf ! Pas encore de surnaturel en vue ! Mais, pour sa défense, on pouvais s’attendre à tout dans cet endroit bizarre… L’ombre leva la tête et le rayon du soleil levant illumina sont visage. Ses boucles blondes et sont sourire argenté apparaissant procurèrent un petit peu de joies à Alyssia en cet instant.
« Ah salut. Je… hum c’est trop compliqué de t’expliquer le pourquoi du comment je me retrouves ici mais… J’espère que je ne t’ai pas fait trop peur en courant n’importe comment… »dit Ayden.
Il avait les joues rouges. Alyssia n’arrivait pas à savoir si c’était parce qu’il avait couru ou… autres chose.
« Non ça va ne t’inquiètes pas. »répondit elle sereinement mais en mentant un petit peu quand même.
« Ah ouf. Je ne veut faire peur à personne moi. »dit il avec un petit rire gêné.
« Non ne t’inquiètes pas ça va… de toute façon je sens qu’aujourd’hui va être une journée riche en émotions. »répondit elle avec ce qu’elle espérait être de l’humour.
« Pourquoi ça. »
« Oh c’est assez long à expliquer. »
« J’ai tout mon temps ! À moins que tu ne veuilles pas me parler sous prétexte que je suis un inconnu. »
« Non ce n’est pas ça ! C’est juste que…hum… Oh désolée je dois y aller je pense qu’il est bientôt l’heure de petit déjeuner ! Je ne voudrais pas le manquer malgré ce goût j’ai une faim de loup. J’espère que quand je vais arriver le créneau ne sera pas déjà terminé ! »
« Quoi quel créneau ? Excuse moi je ne comprends rien ! Reste 5 minutes s’il te plait ! J’ai besoin de ton aide je me suis perdu ! »
Alyssia était sur le point de repartir mais elle se retourna se souvenant de son état le premier jour.
« D’accord je t’aide mais pas plus de 5 minutes ! En plus je ne connais pas la partie des garçons. Donc pour les repas il y a un créneau. Bon déjà on ne mange pas le midi. On a juste petit déjeuner et diner.
Pour petit déjeuner il y a une heure ou il faut être la tu ne peut pas le prendre n’importe quand. Le matin tu peux te présenter au comptoir à partir de 8H et tu as jusqu’à 9H pour finir ton petit déjeuner, qui, soit dit en passant n’est vraiment pas bon, sinon tu es de corvée pendant une semaine tu manges des restes, si il y en as, et tu ‘’cuisines’’ avec la cantinière. »
« Beurk ! » lâcha Ayden.
« Oui je sais. Bon après je ne sais pas trop ce que font les garçons mais demande à tes camarades de chambre ! Il faut vraiment que j’y ailles désolée. »
« Non attends ! Je sais que tu ne sais pas comment je peux retrouver mon chemin. Mais merci de m’avoir expliqué le reste. Tu es vraiment gentille. Est-ce que tu penses que tu pourrais rêve en Irak m’aider dans quelques jours ? »
Alyssia commençait à s’impatienter. Mais elle finit par avoir de l’empathie envers lui et se radoucit.
« De rien c’est normal que je t’aides, mais je suis nouvelle je ne peut pas t’apporter autant d’informations que tu ne le souhaiterai. Si tu veux mes camarades de chambres sont des habituées je peux tenter des les convaincre de venir t’aider ici. »
« Hum… C’est extrêmement gentil mais… non merci. Je préfères que ce point de rendez vous et cette complicité reste entre nous. J’espères qu’on deviendra vite amis. Disons, retrouvons nous pour faire le point dans 1 mois ? Tu en dis quoi ? »
Alyssia se sentit rougir.
« Heu oui pourquoi pas ? »
Et elle se sauva.
« Au fait tu t’appelles comment ? »criât Ayden pour qu’elle entende bien.
« Chut ! Ne cris pas on va se faire punir ! Et je m’appelle Alyssia. »
« Oh pardon. Et tu as un très joli prénom ! À bientôt. »
Alyssia accéléra le pas pour se rendre à la cafétéria. Elle n’avait plus beaucoup de temps pour manger. Elle s’en rendit compte en voyant Charlotte sortir en tenue de nuit de la cantine et monter dans la chambre pour aller s’habiller avec l’horrible tenue qu’on les forçait à porter.
Charlotte ouvrit la bouche, puis la referma. Elle s’était sûrement abstenu de lui demander ou elle était passé. Alyssia mangea en vitesse et fila s’habiller. Dans le couloir, juste devant l’escalier, elle trouva visiblement toutes les filles du pensionnat à la que- leu- leu. Elle interrogea Charlotte qui était dans les dernières le la file avec Sofia.
« Aujourd’hui c’est jour des douches. Va vites chercher ta tenue je te gardes une place et t’expliques après. »
Alyssia fit ce qu’on lui demanda et fila prendre ses affaires. Elle trouva Cadence étendue sur son lit lisant tranquillement un livre.
« Bah Cadence tu prends pas ta douche ? »
« Je l’ai déjà prise. »
« Ah d’accord tu as de la chance. Bon il faut que je files Charlotte m’attends. »
« Je ne t’aie jamais demandé de rester ni de m’adresser la parole. »
Alyssia ne releva pas car Charlotte lui avait déjà expliqué que c’était sa façon d’être. Elle redescendit encore une fois l’escalier. Rejoignit Charlotte qui lui tendit un bout de tissus épais.
« Ici il n’y a pas de serviette. Celui qui déniche de quoi s’essuyer a part du papier toilette peu s’estimer heureux. Plusieurs d’entres nous ont trouvé. Mais pas toi parce qu’on ne t’as rien expliqué. Désolée. Mais du coup je te passe ce vieux bout de tissu que j’utilisai avant d’en avoir trouvé un nouveau. Ne t’inquiètes pas il est propre. Prends le c’est bientôt à notre tour. Et profites bien de cette douche car on a le droit d’en prendre une une fois par semaine. Les autres jours le pensionnat n’es pas alimenté en électricité. »
Alyssia avait tout compris et ne posa pas de questions. Elle pris sa douche et suivit le conseil de Charlotte. Elle en profita sans penser à rien. Après s’être habillée elle se sentait mieux et de meilleure humeur. Elle remonta dans sa chambre puisque rien d’autre n’avait été prévu pour le moment. Elle demanda à Cadence ou elle pouvait se procurer un livre comme elle.
« C’est pas si simplement que ça. Ou tu as eu un comportement exemplaire pendant un an et une nonne te donne accès à la bibliothèque pendant une journée entière. Soit tu te balades dans les couloirs pour trouver la bibliothèque au risque de te faire prendre oui de te perdre. Ou tu voles on ne sait pas quel livre à une prof et tu t’arranges pour le rendre avant qu’elle ne s’en aperçoive. »
« Et toi tu as fait quoi Cadence ? »intervint Charlotte la connaissant elle n’était pas très rassurée.
« Devines. »dit elle un sourire s’étirant sur ses lèvres fines et blanches.
Charlotte se pinça l’arête du nez ayant bel et bien deviné que Cadence avait évidemment choisi la 3eme option. Alyssia renonça à l’idée de prendre un livre. Puis la journée passa sans encombres. Et vient le moment de dormir. Alyssia se coucha. Elle n’arrivait pas à dormir. Cela faisait au moins 2H qu’elle essayait. Elle n’arrêtait pas de penser à Ayden, et, à sa grand surprise, avait plutôt hâte de le revoir…
Oui je sais cette suite est un peu longue….J’espère que ça ne vous as pas trop ennuyé… J’aimerais beaucoup avoir vos retours par rapport à cette histoire qu’il l soient positifs ou négatifs ! Bisous 😘
Likez si vous aimez 👇Et n’hésitez surtout pas à me répondre !
Ouhhhhhhhh troppp chouuuuuu.
Hâte d’avoir la suite…
Merci
STPPPP fait la suite j’en peux plus d’attendre !!!!!! ( ps : continue comme sa )
Hello alors désolée j’ai mis longtemps pour sortir ce chapitre par manque d’inspi et aussi parce que j’ai beaucoup de devoirs… Désolééééeee j’espère que ça vous plaira 🙂
~Avancer: Chapitre 8~
Gaby m’entraîne alors dans la maison. Nous nous dirigeons vers sa chambre. Sa sœur, Liana, ou Lili pour les intimes, âgée de dix ans, me souria et me dit un petit “salut” que son frère n’entendit visiblement pas puisqu’il continuait de me tirer par le bras. Passant à côté d’elle sans lui prêter la moindre attention. En temps normal, Gaby ne passait pas devant sa sœur sans lui faire un câlin ou lui parler de tout et de rien. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait… Gaby et moi sommes arrivés devant la porte de sa chambre. Il se tourne vers moi et me dit après m’avoir longuement scruté:
-Ferme les yeux, déclara-t-il tout sourire
-Pourquoi ? Tu veux me montrer quoi ? dis-je étonnée.
-J’ai quelque chose pour toi…Allez fermes les yeux !!!
-Euh d’accord…
Je me laissa guider par la main de Gaby. J’entendis ce dernier ouvrir la porte de sa chambre en nous y entraînant. Il me serra la main et dit d’une voix tremblante:
-C’est bon tu peux ouvrir les yeux.
-D’accord.
J’ouvre alors les yeux. Je vis un rectangle enroulé dans un papier cadeau. Surprise, je me retourne vers Gaby, les sourcils froncés. Je ne comprenais pas. Gaby me fit signe de l’ouvrir. Alors je m’avança vers le cadeau. J’ai pris le paquet qui était plutôt lourd. J’ai jeté un regard inquisiteur à Gaby. Puis je dit d’une petite voix:
-Mais pourquoi tu me fais un cadeau ?
-Ton anniversaire c’était cet été et j’ai pas pu être là pour t’offrir ton cadeau… Comme on dit: “mieux vaut tard que jamais”. J’espère que ça va te plaire.
-Merci Gaby. Tu étais vraiment pas obligé tu sais !
-Arrête key !!! C’est un cadeau ! Ouvre vite !!
-Raah je t’aime trop toi tu le sais ça ?
-Moi aussi ma p’tite key.
Je m’empressa d’ouvrir le colis si joliment emballé. Je pris la boite qui mesurait environ un bras et demi de longueur. Il y avait écrit “Yamaha” dessus. J’ai de suite compris. Sans pour autant ouvrir le carton. Je lève la tête vers Gaby.
-Gaby… Me dit pas que…
-Ouvre et tu verras !!
J’ouvre alors la boîte. Un magnifique clavier de piano en sortit. J’avais des étoiles dans les yeux mélangées aux larmes, mon cœur battait vite.
-Alors ça te plait ???
Je saute dans les bras de Gaby. Il m’enlaça à son tour et ses grandes mains se posèrent sur mes côtes. Il sentait bon. Un mélange de fraise et de pastèque. Je reste dans ses bras un moment à inhaler son odeur. Je me sentais bien près de lui.
-Gaby… Je….
Je t’aime Gaby. Je fais tout pour me le cacher par peur de briser notre amitié. Je n’ai jamais aimé quelqu’un aussi fort que toi. Tristan ne me plaisait pas… du moins pas autant que toi c’était une solutions que j’ai trouvé pour t’oublier. Mais tu sais quoi ? Ça n’ a pas marché. Tu es dans ma tête matin et soir. Tu es le seul à qui je peux me confier le seul qui est présent depuis des années. Mais tout ça je ne fais que le penser… Jamais j’oserais te le dire car notre amitié est plus importante.
Alors je repris:
-Je sais pas quoi dire à part Merci… Je t’aime tellement
-Moi aussi je t’aime ma keï’
Un Chapitre 9 ou pas???
La suite svp ! C’est trop bien
Oui s’il te plait un chapitre 9 !!!!!!!!!!!!!!!
AGENT :
Chapitre 2 :
Intriguée, j’ouvre la lettre avec précaution. Elle est scellée à la cire, ce que je trouve très joli. Une fois ouverte, je lis ce qui y est écrit.
« Chers habitants du 7, Rue Mysta, Hestra.
Nous avons le regret de vous informer de la soudaine et malheureuse disparition de Mme Éléane Dipter, survenue ce jeudi après-midi à quatorze heures trente précises. Nous sommes dans l’obligation la plus formelle de vous présenter toutes nos condoléances car, il y a de grandes chances qu’elle ait été tuée lors de sa mission où aspirée dans le néant alors qu’elle s’apprêtait à revenir.
Sur ce, nous vous souhaitons le plus grand bien et vous offrons 10 000 suls de dédommagement.
Cordialement, La Société de Règlementation Magique Inter-Dimensionnelle. »
Je relève la tête, tremblante. Je n’arrive pas à croire ce qui arrive. Je suis accroupie au sol, pétrifiée. Je me relève et pose la lettre sur le buffet, où elle aurait dû rester. Je suis prise de tremblements si violents que je dois me rasseoir sur le canapé. Je suis si bouleversée que je ne me rends pas compte que les minutes passent. Ma mère a disparue. Ma mère a disparue. Ma mère a disparue. Ma mère a disparue. Ces mots tournent en boucle dans ma tête depuis une heure.
Qu’est-ce que je peux faire ? Je n’ai que quatorze ans, après tout. Je me lève du canapé et fais les cents pas dans mon salon. C’est alors qu’une pensée pourtant évidente me traverse l’esprit. L’agence ! Je dois m’y rendre immédiatement. Ils doivent pouvoir entreprendre des recherches pour la retrouver, j’en suis convaincue.
Je me tourne vers la pendule. Vingt-et-une heure. Mes yeux se baignent de larmes. Chaque minutes compte, ma mère pourrait… je n’oses même pas finir ma phrase. Impossible. Elle doit forcément être en vie, quelque part, coincée dans un endroit où elle ne peut pas être sondée par l’agence.
Je décide d’établir un plan afin d’avoir une idée de comment procéder. J’ai du mal à me concentrer, mes pensées dérivent sans cesse. Au bout d’un moment, épuisée, je finis même par m’endormir. Enfin, je crois, car, vu les cernes que j’ai le matin en me réveillant, j’ai l’impression d’avoir fait dix nuits blanches d’affilées.
Je rassemble mes cheveux en un chignon mal fait. Je me soucie peu de mon apparence en général, mais là, il paraîtrait évident à n’importe quelle personne que sauver ma mère est plus important qu’un chignon bien fait. J’enfile rapidement des habits puis sors précipitamment de la maison. Il doit être déjà tard car plusieurs personnes circulent dans la rue. Je n’irais pas en cours aujourd’hui, je me rendrai juste à l’agence.
Je sais à peu près où se situent les bureaux de la SRMID, car ma mère m’y a emmené une fois, lorsque j’avais huit ans. J’étais malade et aucun de mes voisins ne pouvait me garder ce jour-là. Ma mère m’avait bien expliqué qu’elle risquait son poste et que je devais, dans tous les cas possibles rester calme. La journée s’était bien passée, fort heureusement.
Après quinze minutes de marche, j’arrive enfin aux bureaux. Un grand bâtiment grisâtre m’accueille. D’innombrables fenêtres se font suite et parcourent toute la façade du bloc.
De nombreux agents entrent et sortent de l’immeuble, tels des fourmis dans une fourmilière.
Je me faufile au milieu de la foule pour entrer dans l’édifice. L’intérieur est somptueux, une grande mosaïque recouvrant le mur en face des portes. Elle représente un homme, sûrement le créateur de l’agence, au milieu de sept portails, qui montrent la connexion aux autres mondes. D’innombrables plantes grimpantes colorent les murs. Je me dois d’avouer que l’ensemble est plutôt beau.
Les autres agents semblent insensibles à la beauté de cette entrée. Ils marchent tous d’un pas rapide afin de rejoindre leurs bureaux.
A ma droite, de grandes arches de pierres se dressent par dizaine. Ce sont les portails. L’un d’eux est entouré de quatre agents. Il porte le nom d’Ostradus. La dimension en guerre. Je comprends mieux pourquoi il est surveillé. C’est alors que je remarque un autre portail sous surveillance, celui pour la Terre.
Je me disais bien. Ils ont divisé leur planète en « pays » et maintenant ils se font la guerre entre eux. Ça montre toute l’intelligence des Terriens. Malgré tout, j’ai très envie d’aller visiter la Terre, ma mère m’a raconté ses voyages et ça a l’air très chouette là-bas. Je sens des larmes couler sur mes joues. Ma mère.
Je me dépêche de me rendre vers l’accueil. Une jeune femme au chignon serré est postée derrière son bureau. Je m’approche d’elle.
— Bonjour, heu… madame ?
L’agent relève la tête de son ordinateur. Tout comme les voitures, les ordinateurs sont réservés aux gens privilégiés, ou à ceux qui ont de l’argent. Comme la SRMID est la première agence au monde, elle est pleine aux as et peut se permettre de payer des ordinateurs à ses agents.
— Je viens pour demander un service à la SRMID…
— Hum. Et quel est-il exactement ?
— En fait, j’aimerais lancer une enquête pour disparition.
Les larmes me montent encore aux yeux. La femme me tend un mouchoir avant de m’indiquer que, pour lancer une enquête, il faudrait que j’ailles voir le directeur du département des recherches. Je la remercie puis pars vers les ascenseurs.
Un jeune homme qui ne doit pas être plus vieux que moi me demande l’étage où je me rends. Je lui indique puis nous entamons la descente. L’agence est peu haute, vu de l’extérieur, mais plus de vingt sous-sols se font suite. Alors que nous arrivons au cinquième, le jeune homme se tourne vers moi. Il a de beaux yeux noirs mais ses cheveux gras laissent à désirer.
— Tu… s’élance-t-il, enfin, vous allez au département des recherches ?
J’acquiesce. Il fait une petite moue. Je n’ai pas envie de parler, et je pense qu’il l’a remarqué. Tant mieux. Étage treize, quatorze, quinze ! Je me précipite en dehors de l’ascenseur et cherche une pancarte indiquant le bureau. Je la trouve rapidement et suit le chemin indiqué.
Une fois que j’arrive devant le bureau, je toque. Une voix grave me répond d’entrer. Je m’exécute vite et ouvre la porte.
Le bureau est petit, aucune fenêtre n’est présente. Logique vu que nous sommes sous le sol. Les murs sont jaunâtres et le bureau est marron. Un vieil homme est assis sur une chaise, en face du bureau. Il a une petite barbe mais sont front est dégarni. Il me fait signe de prendre place en face de lui. Ce n’est que lorsque je m’assoie que je me rends compte que deux gardes du corps sont postés à ses côtés.
— Bonjour, mademoiselle… ?
— Dipter. Saelya Dipter.
— Dipter… ce nom me dit quelque chose.
— Ma mère travaillait ici, monsieur.
— Aaah, oui, cette chère Éléane ! Et qu’est-ce qui vous amène donc ici
Mademoiselle Dipter.
— En fait, j’aimerais déposer une demande d’enquête car elle a, enfin, ma mère a…
Les mots restent coincés dans ma gorge. Je me retiens avec mal de pleurer.
— Disparue ? Finit-il.
J’acquiesce. Je n’ose pas relever la tête de peur qu’il refuse ma demande.
— A vrai dire…. Nous avons tellement de demande d’enquêtes que nous ne pouvons nous permettre d’accepter la vôtre.
Je comprends la présence des gardes du corps à cet instant précis. J’ai envie de tout casser.
AGENT
Chapitre 1 :
Je sors de chez moi pour aller rejoindre Anaé, une amie. Dans la rue, les maisons s’alignent, toutes semblables, ternes. Aucune fleur dans les jardins. Les avis de recherche se multiplient depuis qu’une guerre a éclatée dans la dimension d’Ostradus.
Ce sont surtout des agents de la Société de Règlementation Magique Inter-Dimensionnelle, la SRMID, où travaille ma mère. Ils travaillent pour règlementer la magie dans les dimensions qui en ont, l’interdire là où elle n’a pas lieu d’être, trouver des informations dans les dimensions avancées où encore chercher des moyens d’unir des mondes, comme le fait ma mère sur la planète Terre.
Je traverse la moitié de la ville en marchant. Arrivée au parc, je cherche mon amie. Je la trouve, assise sur un banc, en train de lire. Nous discutons de tout et de rien pendant plus d’une heure lorsqu’une alarme retentit.
« Il est dix-neuf heures trente, couvre-feu dans trente minutes, il est dix-neuf heures trente, couvre-feu dans trente minutes. Nous rappelons à nos chers habitants que le couvre-feu instauré permet de veiller à ce qu’ils restent en sécurité. »
Je me tourne vers Anaé. Il faut que je rentre chez moi. Nous nous disons au revoir puis je pars. Comme je ne suis pas rassurée, je presse le pas pour rentrer chez moi. Une fois arrivée à la maison, je regarde l’heure. Vingt heures. Pile à temps. La télévision s’allume et le message se répète, sur un fond sombre.
« Il est vingt heures, c’est le couvre-feu, il est vingt heures, c’est le couvre-feu. Nous rappelons à nos chers habitants que le couvre-feu instauré permet de veiller à ce qu’ils restent en sécurité. »
Au même moment, ma mère entre, essoufflée.
— Ouf ! Je viens de me faire contrôler par deux soldats, ils n’étaient pas commodes ! S’exclame-t-elle en retirant son écharpe. Ça va Saelya ?
— Oui…
— Au fait, tu te rappelles que demain, je repars en mission ?
Je marmonne une réponse et m’assoie sur le canapé. Ma mère m’observe, les bras ballants. Elle fronce les sourcils.
— Tu es triste que je ne sois pas là demain, c’est ça ?
Je hoche la tête pour confirmer ce qu’elle vient de dire. Demain, c’est la rentrée. Et, comme chaque année depuis que j’ai cinq ans, elle ne sera pas là. Elle s’excuse, encore une fois, puis m’informe qu’elle a un cadeau pour moi. Elle me tend un paquet rectangulaire.
Je regarde le paquet rectangulaire entre mes mains, curieuse. Ma mère s’assoit à côté de moi sur le canapé, son doux regard se posant sur moi.
— Je sais que ce n’est pas facile pour toi, ma chérie. Mais je veux que tu saches que je pense toujours à toi, même quand je suis loin, dit-elle doucement.
Je lui adresse un faible sourire, touchée par ses mots. Avec précaution, je déchire l’emballage du cadeau, découvrant un livre relié de cuir orné de feuilles d’or.
— Merci, maman. Il est vraiment magnifique, murmuré-je, les yeux brillants d’émotion.
Elle me serre dans ses bras avec tendresse, pourtant, une pointe d’inquiétude persiste dans mon esprit. Ma mère part en mission demain, dans un monde en proie à la guerre et à l’instabilité. Et cette fois-ci, je ne pourrais pas être sûre de sa sécurité.
Le reste de la soirée se déroule tranquillement, tandis que nous mangeons des pizzas.
Mais alors que la nuit s’installe et que les étoiles scintillent timidement à travers les nuages, l’inquiétude persiste dans mon cœur. Je ne peux pas m’empêcher de me demander ce que demain me réservera, et si ma mère reviendra saine et sauve de sa mission.
Comme il est tard, je monte dans ma chambre. Ma maison se situe sur deux étages, le salon et la cuisine au rez-de-chaussée, ma chambre et la salle d’eau au premier et celle de ma mère au deuxième.
Ma mère me dit toujours que ma chambre est trop peu décorée pour une fille de mon âge. Elle est peinte en blanc et quelques affiches terriennes sont accrochées au mur. Sur l’une d’elles, on peut voir une tour pyramidale en fer, que les terriens appellent “Tour Eiffel“. Ma mère me l’a ramené de « Paris », une ville où elle s’était rendue pour le travail. Je trouve que c’est très bizarre.
Je ferme la porte. Un miroir y est accroché. Je m’observe. Je suis plutôt petite pour mes quatorze ans. Mes cheveux brun clair tombent sur mes épaules en épaisses boucles. Mes yeux verts brillent.
Et merde, mon pouvoir s’est encore déclenché. Je serre les poings pour éviter de déclencher une catastrophe naturelle. Une tulipe pousse sur mon bureau, puis une autre sur mon armoire. Alors que je m’efforce de les arracher, trois autres apparaissent sur mon lit. Je me précipite vers la salle de bain et ouvre le robinet. Je baigne mon visage d’eau. Une fois calmée, je m’essuie le visage. C’est la seule manière pour moi de calmer mon pouvoir.
En tant que mage élémentaire de la Terre, je possède l’un des quatre pouvoirs les plus difficiles à maîtriser. Le feu, l’eau, l’air, et la terre. La magie élémentaire est une des plus rare au monde, en tout cas, dans ma dimension, Divitae. Dans certaines régions, il parait même que les enfants qui manifestent de la magie élémentaire soient élevés au rang de dieux tant ces pouvoirs sont rares. A l’inverse, il existe des peuplades qui pensent que les mages élémentaires sont des démons, et qui exterminent n’importe qui qui montre ces pouvoirs.
J’habite sur Eda, l’île la plus au nord de Divitae, et, heureusement ici, les avis me sont plutôt favorables. Par soucis de sécurité, ma mère me conseil quand même de cacher mes pouvoirs, ce que je fais à merveille.
Enfin, j’enfile un pyjama puis me couche, appréhendant la rentrée de demain.
Lorsque je me réveille le lendemain, je trouve un mot de ma mère m’informant qu’elle est déjà partie. Il est sept heures, le couvre-feu s’est terminé il y a trente minutes.
Je m’habille avec un jean, un sweat et une paire de bottines. J’attrape mon sac que j’avais soigneusement préparé la veille et verrouille la porte d’entrée.
Comme je dois me rendre au collège à pied car les voitures sont réservées aux gens privilégiés, il faut que je parte en avance. Le trajet prend environ quinze minutes, avant que j’arrive à destination. Le collège est un vieux bâtiment, sûrement un des plus beaux de la ville.
La journée passe rapidement. Anaé et moi sommes dans la même classe, où nous retrouvons d’autres amies. Nous avons les mêmes professeurs que l’année dernière à part en langues, où nous découvrons Mme. Guichon, une prof très sympathique et dynamique. Cette année, pour la première fois, je vais apprendre l’Etrasme, une langue parlée dans plusieurs mondes. Alors que la prof nous demande de sortir une nouvelle feuille, la cloche sonne. Nous rangeons précipitamment nos affaires et sortons du collège.
Anaé par vers la moitié nord de la ville, à Hestra Nord tandis que je me rends vers la partie sud-ouest. Une fois rentrée chez moi, je m’empresse de téléphoner à ma mère, comme à chaque fois qu’elle part en mission. Ça sonne. Une fois. Deux fois. Trois fois. Au bout de la cinquième fois, le répondeur se déclenche. Je lui laisse un message en lui demandant de me rappeler dès que possible. Je ne m’inquiète pas, ce n’est pas la première fois qu’elle ne décroche pas tout de suite et, c’est une agente très qualifiée.
Je me rends dans la cuisine en quête de nourriture. Je trouve un récipient dans lequel des restes de repas sont contenus. Ma mère a dû le laisser à mon intention. Je les réchauffe au four puis, j’allume la télé pour ne pas manger dans le silence. C’est alors que l’alarme post-couvre-feu retentie. Je me souviens que le facteur a dû passer et me rue vers la boîte au lettre traversante. Une petite enveloppe m’attend. Je la prends et la pose sur le buffet, cela doit être pour ma mère.
Une fois le repas fini, je prends une douche et enfile mon pyjama. Alors que je vais chercher un livre en bas, je remarque de nouveau l’enveloppe. Je la retourne puis regarde d’où elle provient. De l’agence de ma mère.
Salut ! J’ai une question pour La_nonyme :
Est-ce que tu veux bien que je t’évoque par ton nom (ou par ton surnom) dans mon histoire comme étant la cousine d’Hanna puisque que tu suspecte Finn d’être un gars louche ?
Si oui peux-tu m’indiquer ton âge et ton surnom s’il te plaît ? (Tu peux très bien inventer, mais j’aimerais que tu représente un personnage.)
Ça me ferait vraiment plaisir !
Ciao 🤟🏼⚡️
Oui avec plaisir 🙂 Mon surnom et mon âge son déjà connus du site donc cela ne me dérange pas du tout de les partager ^^
Donc j’ai treize ans et mon surnom c’est keï’ 🙂
D’ailleurs quel age ont les personnages ? Ils sont aux lycée non ??
Bisous <3
Merciii trop cool !
Oui ils ont entre 15 et 17 ans. Donc l’équivalent du lycée en France (l’histoire se passe dans le Tennessee aux États Unis.)
~ nnjhj,n ~chapitre 1
L amour .
synonyme de liberté et de fiérté .
il peut se dire heureux ; il peut se dire toxic .
des hommes capable , il y en a peu , certes , mais il y en a .
il faut seulement chercher au bon endroit .
Eden soupira .
Elle passa une main dans ses longs cheveux bruns et se mordilla la lèvre inférieure .
– bah ne t endors pas non plus !
eden sursauta .
chris , un des nombreux surveillant de son collège ,s’était glissé dérière son épaule .
-je ne m’endors pas … grogna eden , mais je ne vois toujours pas pourquoi c’est moi que l’on foutue en retenue …
chris sourit
– oui , c’est vrai que si un élève frappe un autre élève c’est forcément l’autre qui doit etre puni …
– mais je ne l’ai pas frappé ! contesta Eden .
La vie en tant que monstre
CHAP 10 :
À ce coussin si moelleux… bon il fesait un peu froid mais dans l’ensemble, tout était parfait jusqu’à se que …
– AHHHHHH
Laurelle avait eu très mais alors TRÈS mal. Tellement mal qu’elle n’osa pas ouvrir les yeux. Mais elle voulait voir qu’elle personne était entrée en trombe dans sa chambre… Peut-être son père… sa mère… Inaya ou bien Sidonie… mais non…
– Ouvre les yeux demoiselle.
Laurelle s’ éxécuta. Et elle vu surprise…
Elle était pas dans sa chambre… et ce n’était pas quelqu’un de sa famille qui se tenait devant elle.
Elle était à l’hôpital et c’était une infirmière… décidément…
– Qu’est-ce que je fait…
Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase que…
– Oh ma petite sorcière tu es sûre ça va… oh mon petit cœur j’ai eu tellement peur…
– Tu vas bien Laurelle ?
– Oh tu m’as fait tellement peur ma Lau ’.
– Et … ma Lau’ c’est mon surnom.
– Pas trop fort les filles…
Sa mère, Sidonie, Oli, Praline et son père avait parlée respectivement et la regardait comme un cas désespéré.
Sa mère l’embrassa puis dit :
– On va te laisser avec tes copines et …
– Avec Biana avait dit Sidonie.
Son père lui donna sa boule de poil violette.
Sa mère l’embrassa une dernière fois puis, elle entraîna Sidonie et son père vers la sortie.
– Laurelle…
– Expliquer moi ce qui c’est passé.
Praline se mit à lui dire :
– Tu es tombé dans mes bras et… tu… tu ne respirait plus… alors on a appelé le samu des croisés. On savait pas trop si il fallait t’emmener chez le samu vampire ou celui des sorcière… bref tu es resté 2 jours dans le coma. Nos parents nous ont punies et tes parents… nous ont fait la morale…
Oli se mit à pleurer.
– On est vraiment désolé…on aurait pas dû…
– Ce n’est pas grave…
– Non c’est pas ça…
Cette fois, c’était Praline qui commencé à fondre en larmes…
– Quoi dites les filles…
– Dis lui toi… les eaulément pleurent moins que les sorcière…
– OK.
Praline se lança
– Ta mèche…
Elle lui tendit un miroir. Laurelle se regarda devant et … oh non… sa mèche avait disparu…
La mèche symbolisait le fait que tu avais des pouvoirs magique. On perdait tous sa mèche à un certain âge. Souvent entre 50 et 60 ans. Mais la mèche de pouvoir pouvait disparaître suite à un accident ou … à une forte abusation de pouvoir. Celle de Laurelle était violette. Quand une mèche disparaissait c’était que…
– Oh non… je … je… je n’ai plus de pouvoir…
Ooooooh nooooooon la suite stp j’ai peur de se qui va se passer…
Ch 10 : Nouveaux sentiments
Finn vient d’emménager chez sa belle mère, à côté du collège. Sa mère et sa belle mère se sont rencontrés il y a cinq mois et ont décidé d’emménager ensemble. Finn intègre donc notre école aujourd’hui.
En entrant dans le bâtiment, ma bande et moi accompagnons Finn chez le cpe, M Garey.
– Finn Hokyster, tu es en 2nd 3 ! Avec Hanna et Shay !
– Cool ! S’écrit t’il en faisant un clin d’œil à Shay. On va bien rigoler tout les trois !
Shay rougit. Hanna fronce les sourcils, l’air pensive.
Jozz Skye et moi nous dirigeons vers le couloir Dali.
À peine entrés en classe, Alex me gave déjà.
– Eh Skye ! Je fais une soirée ce soir, tu viendra ?
– Cool ! On va bien s’amuser, Hein River !? Se réjouit elle.
– Attends, non. TOI tu es invité mais pas ton chien ! Rit il.
La colère bout en moi. J’ai parfois des pulsions violentes et j’essaie de me contrôler. Je ne craquerai pas, il n’attend que ça.
– Pas mal la vanne, Alex.
– Tais toi, chien.
Inspire, expire. Je reste calme. Skye me regarde étonnée de me voir si zen. Je lui souris.
– Du coup Princesse, tu viens à la soirée ?
– Non. Et ne m’appelle pas princesse ou ça va chauffer pour toi, Alex Fager.
Après les cours, Skye et moi nous éclipsons derrière le skate Park, un coin tranquille où jamais personne ne va.
– Tu m’as étonnée aujourd’hui, je ne penserais pas que tu resterais sans réagir…
– Et oui ! Que veux-tu ? Je suis plein de surprises !
Elle rit.
– River, Je t’aime.
– Tsss… je t’aime bien plus.
– Ça m’étonnerait !
Je lui prends les mains et l’embrasse doucement.
Elle rit et m’embrasse à son tour.
– HO LES AMOUREUX !
Je sursaute.
– Jozz ! T’abuses mec !
Il éclate de rire et Skye rougit.
– Les gars, j’ai entraînement de basket, Finn a hockey et Hanna fait du babysitting ce soir. On s’arrache ! À demain les potos ! Lance Jozz.
– A demain Jozz. Répond Skye.
Nous sortons de notre cachette et saluons nos amis.
– Oh ! J’avais oublié le DM ! Je l’ai pas encore fait ! Je file bosser. Bisous River, salut Shay ! S’exclame Skye.
– A demain ! Sourit Shay.
– On s’appelle !
***
– Je te raccompagne Shay ?
– Ouais si tu veux.
– T’aurais pas le béguin pour Finn, toi ?
Shay vire à l’écarlate.
– Heu… je l’aime bien…
– Je le savais ! Ça se voit à trois kilomètres mon pote ! T’es pas discret !
– Tu crois qu’il l’a remarqué ?? Panique Shay.
– Non, enfin, je sais pas. Pourquoi ? C’est pas grave si il est au courant non ?
– Mais… imagine qu’il me déteste ? Ou que les gens comme moi le dégoûtent ?
– Ça m’étonnerait. Tu sais, sa mère sors avec une femme ! Et puis comment ça « les gens comme toi »?
– Ben tu sais… les gays…
– Shay ! T’es une personne comme une autre ! Et si Finn ne l’accepte pas on le renie de la bande !
– J’espère qu’il ne sera pas trop surpris…
– t’inquiète pas Mec.
Nous arrivons devant une maison délabrée, une vielle voiture rouillée est garée dans l’allée.
– On est arrivés. À demain River !
– Salut Shay !
Ohhh trop biennnn 🌺🌺🌺🌺🌺🌺
Super je t’encourages à continuer !
Bah franchement c’est juste parfait !
l’histoire est bien sénarisée bien qu’il manque quelques présisions , mais non c’est incr !!!!!!
perso , je VEUX une suite
Shay noon tombe pas dans tout ça l’amour va te faire mal…
Et en plus Finn va vraiment faire de la merde avec toi c’est suuur…
Je veux la suite s’il te plait !!!
Besoin vital River !! Ma dose de… Comment s’appelle ton histoire ? bon bref t’as compris ^^’
Ah oui c’est vrai c’est une histoire sans titre ;—;
Désolée pour le temps que j’ai mis à poster ce chapitre ! Dites moi ce que vous en pensez svp ! Ça m’aiderai me soutiendrai et me fera plaisir si vous répondez que sa soit postitif ou négatif !
Chapitre 7
Il était environ six heures et demi du matin. Cadence fut réveillée par une petite voix perdu montant dans les aigus et raisonnante parvenant du hall d’entrée.
« Euh, quelqu’un ? S’il vous plait ! Je… je sais qu’il est tôt mais euh j’aurais besoin d’aide. »
Cadence descendit les marches 4 à 4 suivi de Charlotte et Alyssia qui elles aussi avaient été réveillées.
« Je me demande ce qui lui prends de crier comme ça à une heure pareille. » Ronchonna Cadence.
« Cette personne à besoin d’aide ! Tu l’as entendu on ne peux pas la laisser comme ça. » s’exclama Charlotte
Soudain, Cadence s’arrêta net. Charlotte lui rentra dedans mais Alyssia avait réussi, elle, a garder sa place. Elle ne compris pas tout de suite pourquoi les filles regardaient la porte d’entrée avec un air si bizarre. Et soudain, la petite lumière s‘alluma dans sa tête. Elle avait déjà remarqué à plusieurs reprises que pas un seul garçon n’était présent dans l’établissement. Et qui se tenait sur le pas de la porte ? Bingo ! Un garçon. Il avait un petit sourire gêné ce qu’il faisait ressortir son appareil dentaire argenté. Il tenait une grosse valise vintage à la main. Il avait un grand sourire aux lèvres. Elles étaient rosées. Il les étira en un charmant sourire qui creusa de petites fossettes.
« Bonjour je m’appelle Ayden. Je suis terriblement désolé de vous avoir réveillé de si bon matin. Je viens d’arriver après de longues heures de voyages et je cherche le bâtiment du NAMENOT réservé au garçon. Je me doute bien qu’il ne se trouve pas ici puisque vous êtes des filles. Alors, auriez vous l’amabilité de m’indiquer le chemin à prendre ? »
Alyssia se sentit rougir. Comment un garçon si bien élevé pouvait il atterrir dans un pensionnat ? Et surtout celui-ci !
« Suis moi. » Charlotte dis simplement ceci.
Elle mena Ayden jusqu’à un couloir sombre.
« J’ai interdiction d’aller plus loin mais toi tu peux par contre c’est tout droit. »
« Merci beaucoup ! Au plaisir de vous revoir ! »
Alyssia était sur le point de dire quelque choses mais…elle se sentait observée. Et pas qu’elle Charlotte et Cadence aussi avait l’air d’être en plein malaise. Elles levèrent toutes la tête. Dans le cagibi de l’escalier se trouvait une petite fille. Sa peau était très pale et dénuée der taches de rousseurs malgré ses cheveux roux tirants sur le auburn et ses cernes étaient aussi apparentes que celles de Cadence. La fillette les observait sans rien dire.
« Elle s’appelle Monika. Elle ne parle jamais et se contente d’observer nos moindre fais et gestes c’est pour ça qu’elle a atterrit dans l’aile ouest. »dit Cadence qui avait compris qu’Alyssia n’était pas rassurée.
« On devrait retourner dormir »prononça Charlotte, brisant ainsi le silence qui régnait.
Les autres la suivirent sans un mot. Charlotte s’endormi et Cadence comptait on ne sait quoi. Alyssia resta à se retourner et se retourner dans son lit. Allait elle revoir ce garçon un jour ? Allait elle sortir d’ici un jour ? Et Monika ? Comment un petite fille pouvait elle tenir le coup dans ce genre d’endroit ignoble alors qu’une adolescente y peinait ? Tous ceci était plus qu’étrange. Cadence se retourna d’un coup. Elle ferma les yeux. Alyssia pensa qu’elle aussi allait replonger dans le sommeil mais elle les rouvrit brusquement.
« Alyssia, tu as une énorme araignée dans les cheveux. »
Alyssia n’avait pas peur des araignées. Elle l’a pris dans ses mains.
« J’aimerais la jeter par la fenêtre. »expliqua t’elle.
« Et, ou est ce que tu vois une fenêtre toi ? »
Malheureusement, Cadence avait raison. Il n’y avait pas de fenêtre dans la chambre au grand désarroi des 3 filles. Alyssia lâcha l’araignée car celle-ci bougeait dans sa main. Elle n’avait pas peur des araignées mais il y avait une limite quand même ! Sauf que l’araignée, eu la fabuleuse idée de tomber sur Charlotte. Celle-ci dormait. L’araignée commença à courir sur son visage quand elle s’arrêta sur son nez. Et là Charlotte se réveilla comme par hasard… Elle hurla se leva et s’agitât dans tous les sens. Ce qui ne fit qu’aggraver la situation. L’araignée resta entortillée dans une mèche de ses cheveux. Charlotte sortit précipitamment de la chambre de la chambre et tomba nez à nez avec Sofia.
« Oh non… »marmonna Cadence.
Alyssia n’eut pas besoin de lui demander pourquoi, elle eut la réponse immédiatement.
« Une araignée ! »Sofia courut jusqu’à sa chambre.
« Julia ! Julia ! Fais quelque chose ! »supplia t’elle sa sœur.
« Je ne vois pas pourquoi je ferais ça pour toi… Grandis toi-même Sofia ! »bougonna l’intéressée
Cadence finit par en avoir marre et rentra dans la chambre. Alyssia ne savait plus ou se mettre mais décida tout de même de rester auprès de Charlotte. Celle-ci s’immobilisa net.
« C’est bon ? Elle est partie ? »
Alyssia n’eut pas besoin de lui donner la réponse puisqu’une grosse patte velue se dressa devant les yeux de Charlotte.
« Alyssia, élève la moi, enlève la moi, enlève la moi ! »s’égosilla t’elle
« Pour ça j’aurais besoin que tu arrêtes de bouger… »
Charlotte fit ce qu’on lui demanda. Alyssia prit délicatement l’araignée dans ses mains.
« Je suis désolée Charlotte je n’ai pas fait exprès… »
C’est là que Julia se décida enfin à intervenir. Elle tapa dans la main d’Alyssia ce qui fit tomber l’araignée.
« Encore heureux que tu ne l’aie pas fait exprès ! »
Puis elle l’écrasa avec sa chaussure.
« Oh non la pauvre. »geignit Charlotte.
« Ohlala… tu voulais t’en débarrasser oui ou non ? »
« Oui… Mais ce n’était pas la peine de l’ecraser… »
« Ah oui et tu voulais qu’on en fasse quoi ? On la garde et elle pends des œufs et on se retrouve avec des quarantaines d’araignées ? »
Charlotte marmonna quelques chose d’incompréhensible. Puis toutes retournèrent se coucher pour les brèves minutes de sommeil qui leur restais. Alyssia tarda à rentrer dans sa chambre. Elle ne savait pas si s’était sous le coup de la fatigue mais elle aperçut, en bas de l’escalier, un silouette blanche passer à toute vitesse…
Merci de votre soutien bisous 😘
Dites moi si vous voulez la suite
Ouahhh trop bien.
Bien sûr que je veux la suite 🌺🌺🌺🌺
Merci
Désolé je me suis trompé de pseudo. Pour cette histoire mon pseudo c’est Gaga
Tkt j’avais compris
JE L’A-DORE ! ✨✨😭
Merci beaucoup ! Le chapitre suivant est en ligne sous le pseudo : Gaga bisous 🥰
Merci bcp
Salut ! Désolé pour le retard de ce chapitre ! 😓J’étais grave oqp et j’avais pas d’inspiration… Mais la voilà ! Merci de commenter like si ça vous plaît
Chap (5?)
La nuit recouvrait toute la ville de son voile étoilé . Le bruissement du vent dans les feuilles ressemblait à des hurlements. Peut être bien qu’il s’agissait vraiment de hurlements.La rue de l’épouvante paraissait encore plus effrayante que la veille.Juste derrière le manoir, James attendait. Il jetait des regards stressés à sa montre toutes les deux minutes. L’ombre du manoir qui recouvrait la chaussée semblait être la silhouette d’un serpent inquiétant. James jetait des regards en biais de tous les côtés. Soudain il distingua une silhouette qui s’approchait en sifflotant . Il pris peur de nouveau, et dans sa tête raisonna encore le refrain « cris coup de feu, cris coup de feu ,cris coup de feu ,cris coup de feu » . James avait de nouveau du mal à respirer. Il ressentait son cœur battre dans sa poitrine et menacer de s’évader de son thorax.
– James, qu’est-ce que tu fais ?
James ouvrit les yeux, devant lui. La silhouette était devenue plus distincte. Ce n’était que Kamanda qu’il attendait depuis tout à l’heure. Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle lui saisit la main et l’entraîna vers le manoir . Les deux adolescents durent enjamber des barrières et des barricades montées par la police pour accéder au jardin. Une fois leur petite séance de gymnastique effectuer, la jeune fille demanda à James:
– Comment on entre maintenant ?
sans un mot, le garçon, la dirigea vers la porte par laquelle il était entré la fois précédente. Il passa en dessous de la planche et son amie le suivi. Ils arrivèrent dans la pièce circulaire. Kamanda secouait la tête dans tout les sens , ne savant plus ou donner de la tête. Elle remarqua une silhouette faite au scotch sur le sol .
– c’est sans doute la marque du corps de Nightmare. souffla James d’une voix presque inaudible.
Le jeune homme aperçu une autre trace au sol.
Il dit alors:
-et là, c’est sans doute celle de John.
Tandis que Kamanda fonçait, James lui avait du mal à s’approcher. Il avait quand même des témoins du meurtre . Mais le fais pas ta poule mouillée !moqueur de Kamanda lui fit ravaler sa peur. la jeune fille s’accroupie à côté de la trace de Nightmare . Elle est sorti alors de son sac à dos, un sachet de gants dont elles tendit une paire à James qui les enfila comme elle saisi, alors un appareil photo ,qui ,le pensa James sortait de nulle part et commença à photographier la silhouette en scotch. Et l’alluma alors la lampe de son téléphone pour renforcer la lumière que lui créerait déjà la lampe frontale effleura de ses doigts, une tache de sang qui était au niveau de la tête de la silhouette. James remarqua le parapluie noir qui était toujours posé dans le même coin.
– C’est ça ! C’est ce parapluie là qu’il m’a pointé
Kamanda se rapprocha d’un bon du parapluie, et comment ça à l’examiner. Elle soupira
– Il a rien de spécial ce parapluie !
Mais elle le photographia quand même . Ils monterent ensuite à l’étage . Au premier il y avait une chambre de jeune fille à l’abandon . « Sûrement celle de la fille sur la photo au rez de chaussée » se dit James. Kamanda s’était déjà avancée dans la pièce . La chambre était rose et très bien rangée malgré la couche de poussière qui recouvrait le mobilier en bois . Sur des étagères , était posés des figurines de classiques Mangas comme sailor moon , saint seiya ou encore dragon ball. James interpella son amie.
– Regarde ce que j’ai trouvé !
Survint mur était épinglé une multitude de posters de chanteurs : Michael Jackson , Spice girls , Céline Dion etc .
– Et voici ce que j’ai déniché! lui repondit elle en désignant une dizaine de magazines et une sorte de petit carnet rouge à carreaux
il s’installèrent sur leur sac de couchage pour inspecter leurs trouvailles ils feuilletèrent les magazines, ils relevèrent des informations étranges
– Dans celui là il parlent du « nouvel album The Colour Of my Love de Céline Dion » sauf qu’il date de 1993.expliqua Kam , Et la date du magazine est du de la même année
– Bizarre …murmura James , Et dans celui-ci c’est le scandale de l’annonce du vitiligo de Michael Jackson qui est au centre de l’attention.
Les deux adolescent se regardèrent longtemps en silence avant que James décide de parler
– Et si on regardait dans se carnet ?proposa-t-il
Le petit cahier rouge à carreaux portait une petite étiquette sur lequel était inscrit le nom Liliya Kim. Secrètement, Kamanda était persuadé que ce cahier qu’on tenait toutes les réponses à leurs questions. Ils commencèrent leur lecture.
« Lundi, 2 septembre 1992
Salut moi c’est Liliya et j’ai eu 12 ans aujourd’hui. C’est cool je pense . Bref toute ma famille est venu me voir du _ »
– Zut ! maugréa James ,il y a des lettres effacées !
– C’est pas grave !assura son amie , on devineras au fur et à mesure du texte je pense
« … il y avait même papy ! C’est lui qui m’a offert ce cahier. Il était avec garçon qui devait avoir deux années plus que moi et un autre de mon âge . Le plus vieux s’appelait Jim et l’autre John .. »
Amanda et James sursautèrent d’un coup.
– Elle a écrit …
– John . Ça veut dire que l la propriétaire de cette chambre et de ce carnet, et John se connaissaient ?
Pour toute réponse , Kamanda, esquissa un sourire .
– Je sens que cette enquête est bien plus difficile qu’elle ne le paraît…
J’ avais posté une histoire et elle a disparu 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Le masque.
Chap 1
Mélissa courut dans le couloir, le ventre vide. Elle voulait oublier, oublier ce qui s’est passé. Mais on ne peut pas échapper à ce qu’on est. Oui, car Mélissa est différente; et elle n’est pas la seule.
Elle repensa aux événements qui s’était produits une heure avant…
-Mélo, Mélo ! Attends !
Ce surnom, il n’y avait qu’une personne qui l’appelait comme ça. Aurélia Charbinho. 4C. Sa meilleure amie depuis la sixième. Mélissa était seule et Aurélia fut la seule à se tourner vers elle.
-Attends, ch’te dis ! Vazy arrête de me faire la gueule !
Mélissa continua de marcher, la tête rentrée dans ses épaules.
-Mélo ! Déso.
Et elle lui prit le bras.
Elles s’étaient disputées. Les deux BFF aimaient se taper des délires, du genre « Aurélia mets des kleenex dans son soutif ! » ou « Mélo a déjà galoché son poster Daniel Radcliffe ! ». Mais là Aurélia était allée trop loin : elle a avoué que Mélissa suçait toujours son pouce ! Et c’était vrai ! Ce fut le froid entre elles depuis.
-C’est bon Au’ , je vais arrêter de toutes façons.
Mélissa surnommait affectueusement son amie « Au' ».
Laura, la surveillante préférée d’Aurélia appela leur classe pour manger.
-Ah c’est à nous. Tu te souviens du poulet tex mex beaucoup trop épicé ? Ça puait dans les toilettes, hein Mélo ?
Ce fut un fou rire. Mélissa et Aurélia étaient vraiment les meilleures amies du monde. Une belle complicité s’était formée depuis leur rencontre.
Ensuite, il y eu un problème dans la file du self, un élève avait grugé et c’était un débat interminable.
-Ptain, Au’ j’ai option arts à 13h ! Je vais arriver en retard !
-Vu comment t’es une intello, ça m’étonne pas que t’ai pris une option, Mélochou !
Mélochou était une variante de Mélo.
-Toi vu comment t’es… Comment t’es… Comment t’es belle…
-Heu Mélo, ça va ?
Mélissa s’avança, ensorcelée.
-J’ai trop envie de… te plaquer contre un mur…
Ce qu’elle fit sans hésiter. Elle l’embrassa sur la joue puis sur la bouche. Caressa ses cheveux. Enfin quand elle arrêta, Aurélia sembla afficher une moue de dégoût.
-Mélo… Je…
Elle ne put terminer sa phrase, son amie était en train de sortir du self en courant.
Mélissa sortit de son souvenir, elle courait toujours comme si sa vie en dépendait malgré les appels récalcitrants de son ventre, sans jamais se retourner.
J’ADORE TON HISTOIRE et j’aime trop ton pseudo aussi <333
Continueeee <33
Trop bien ! Ça ne serait pas une variante de heartsopper par hasard ?
Ouahhhhh incrrr je peux l’enregistrer ?
Oui, avec plaisir 😊
(Les filles, c’est moi qui m’appelle He@rtstopper sur le pad) et oui Team Mitsuri+Obanaï ❤️, c’est un peu une variante de la saga Heartstopper.
J’ai trop hâte de voir la suite !
La suite ce weekend 🤙🤙🤙❤️🔥❤️🔥❤️🔥🎉🎉🎉🎉💕💕
En fait entre les cours et les devoirs j’ai pas trop de temps 🫤😕
Où est celle qui dit dans le Julie d’août est arrivé trouvé mon pseudo !!!merci de me répondre 🙏🏻🙏🏻🥹🙏🏻🙏🏻
Ch 9 partie 2 : rattraper mes rêves.
Dans le bus en direction de chez nous, Finn et moi faisons connaissance.
-Tu sais, ta copine a besoin de temps, laisses la toute seule pour le moment.
Je n’écoute que d’une oreille, je sais que Finn a raison, mais je n’arrive pas à me faire à l’idée de laisser Skye.
-Hey ! Tu m’écoutes ?
– Excuses, Finn. Je m’en veux…
-C’est normal. Tu l’aimes. Elle reviendra vers toi je te le promets.
-Mmhh…
-Aller optimise !
-Mouais.
– Tu sais quoi ? On va faire un jeu. Tu dois me décrire physiquement, et je ferai pareil pour toi. Ok ?
-Ok… Hum t’es assez grand, châtain, cheveux bouclés, taches de rousseur… pull large et blanc, short bleu ciel de skateur, et t’as des Jordan aux pieds.
-Et mes yeux ?
-Mmhh… verts.
-Pas mal. Pas mal. A moi. T’es plutôt grand aussi, brun bouclé, t’as de magnifique yeux bleus et un sourire éclatant ! Tu portes un t-shirt blanc et un jean bleu, t’as des baskets noires, et une sacoche noire.
-Exact.
Le bus s’arrête. Et on descend. J’envoie un message à Skye.
Moi : Salut ma Skye. Je me suis comporté comme un imbécile aujourd’hui. Je m’en veux vraiment. J’espère que tu vas mieux…. Et que tu pourras me pardonner…❤️🩹
Je t’aime fort. 🦋
J’ai une réponse presque immédiate.
Skye 🦋: Coucou River. Désolée d’être partie comme ça. J’ai juste besoin d’être un peu seule. On se voit demain.
Je t’aime aussi 🫶🏼
Je souris. Finn s’en aperçois puisqu’il me donne un coup de coude.
-Alors ? C’est qui qu’avait raison ?? C’est Bibi !
Je rigole.
– Toi tu vas plaire à mes potes !
– Cool ! On se voir demain River !
– Salut !
Le lendemain, Je rejoins ma bande devant l’école après avoir eu un moment avec Skye. J’aperçois Finn au loin.
-Finn ! On est là !
-Hey ! Salut !
Finn est particulièrement bien habillé aujourd’hui. Ses yeux pétillent plus que jamais et son sourire est magnifique.
-Les gars,
– Et les filles ! Me coupent Skye et Hanna.
– Oui je recommence. Les filles, les gars, je vous présente Finn.
-Salut ! Lancent Jozz, Hanna et Skye.
Tandis que Jozz pose une tonne de questions à notre nouveau frère, Shay reste bouche bée et l’observe en rougissant. Je m’approche de lui et lui donne un coup d’épaule.
-Bah alors Shay qu’est-ce qu’il t’arrive ? Je lui demande avec un ton plein de sous entendus.
– Hein ? Heu rien…
– Mais bien sûr…
Shay n’a jamais essayé de cacher qu’il est gay. Il y a quelques années, je le surprenais souvent en train de regarder les garçons lycéens avec Hanna à la sortie des cours. Et là, c’est clair que Finn lui a tapé dans l’oeil.
Hmmmmm vraiment Finn je sais pas pourquoi je le sens absolument pas !!!
Mais Shay✨ mama je l’adore <33 Mais je pense qu'il va souffrir a cause de Finn c'est sur…💔😔 Et je pense aussi qu'il va essayer de voler Skye à River… Bah oui sinon c'est pas drôle 😑😂 Et en plus Finn il y connait rien aux meufs justement faut faire ce que River à fait !! Tu lui envois un message d'excuses et un p'tit truc mignon !!!
Hâte de lire la suite <33
J’avoue La_nonyme sa tient la route.
Et toi tu poste la suite quand ?
Sinon j’aime tjrs autant River 🤩🤩
Bientôt bientôt désolée du retard ^^’
J’aime bien la façon dont tu te fonds dans l’univers de mon histoire.
J’espère que la suite te plaira autant !
J’ai oublié de préciser mais je pense que « Finn » va tenter de voler Skye
Ch 9 partie 1: rattraper mes rêves
Je suis idiot, stupide, un imbécilité, un incapable, tout ce que vous voudrez. J’ai rendu triste ma petite amie en ne pensant qu’à moi.
-Skye !!! Reviens Skye ! S’il te plaît, pardonne moi…
Pas de réponse. Elle court. La nuit tombe et nous sommes toujours à Dustdown. Maman va me tuer.
Soudain, Skye monte dans un bus. J’accélère.
-Non Skye attend moi !
Dans mon élan, je percute un garçon.
-Excuse moi. Je m’excuse.
-T’inquiète pas grave, heu… tu cours après cette fille ? Me demande t’il en désignant le bus.
-Eh bien oui… c’est ma petite amie, mais je me suis comporté comme un gamin aujourd’hui…
– Eh t’inquiètes, vieux. Première dispute c’est ça ?
Je confirme en baissant la tête. De toute façon, le bus est déjà parti.
– Tu sais t’en verra d’autres ! Au fait, je suis Finn
– River.
Hmmm je le sens pas ce Finn…
Et merci pour la suite <333
On verra bien…
De rien ^^
OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! Ton histoire est encore et toujours géniale !!!!!
Merci !
Je kiffe !!!! La suite stp stp !!
Elle est en ligne !
Merci pour ton soutien !
ENFIN LA SUITEEE
Ct long dis donc…
Je rigole…🤣
Bravo à toi c tjrs aussi incroyable 🌺🌺🌺
Continue comme ça 🩷
Aaaahh😅 oui les cours et toujours les cours hein ! 😂
Merci bcp et oui promis <3
Je comprends 😉
La vie en tant que monstre
CHAP9 :
– A L’AIDE ! À L’AIDDDDDEEEEEE !! AYEZ PITIÉ ! IL Y A QUELQU’UN ?
Laurelle ne fesait que de crier mais rien…
– À l’aidddeeeee …
Sa voix commencer à se fatiguer… et il n’y avait toujours personne. Cela allait faire 30 minutes qu’elle devait être là… dont 20 où elle se tenait de la main gauche. Sa main la moins forte… elle avait mal mais elle n’avait pas assez de force pour se hisser.
Elle continua de crier jusqu’à ce…
…
– Laurelle ! LAURELLE
– C’est de ta faute
– Non la tienne
Laurelle se mit à l’écoute
– À l’aiddeeeee.
– LAURELLE
Les voix – ou plutôt les personnes – se penchèrent au dessus de la croisée.
– LAURELLE
– Oli, Praline oh je suis désolé mais s’il vous plaît aidez-moi.
– Tu n’as pas à t’excuser. C’est nous qui… commença l’eaulément.
– après les excuses.
– Et arrête de faire ta cheffe je te signale que si tu aurais pas commencé à parler de moi, Laurelle ne serait pas là.
– Ouais et pourquoi j’ai parlée de toi ? Parce que tu n’as pas pu te retenir de venir.
– Et c’ est pas une dictature ici
– ” Oh c’est pas une dictature ici ”
Praline savait parfaitement imiter les voix des autres.
– ARRÊTE JE SUIS AUSSI L’AMIE DE LAURELLE
La concernée en avait marre. Tellement marre que…
– AHHHHHHHHHH
Ses deux amies se sont tus
– J’EN AI MARRE. MARRE MARRE MARRE. MARRE DE TOUTTTTT DE MA FAMILLE MAIS AUSSI DE VOUS. JE SUIS PENCHÉE AU-DESSUS DE LA MER ET VOUS, VOUS CHOISISSEZ CE MOMENT POUR VOUS DISPUTEZ !!!!!!!! ET BAH VOUS SAVEZ QUOI, C’EST DE VOTRE FAUTE À TOUTES LES DEUX. C’EST BON VOUS POUVEZ ME DÉLIVRER MAINTENANT ?
– Oui Laurelle.
L’eaulément ramena l’eau de la mer pour en faire un tapis.
– Monte dessus disait Praline. T’inquiète c’est solide.
L’ado s’ exerça.
– Téléporte toi !
Cette fois, c’était la sorcière qui avait parlée.
Laurelle le fit puis…
Voilà
Ton histoire est merveilleuse, j’ai hâte pour la suite 💗.
Coucou ! Je tenais vraiment à écrire ça bien que j’ai une histoire en cours. Que je vais continuer d’ailleurs! Ceci est la présentation d’un livre que j’aime beaucoup et que j’ai d’ailleurs déjà recommendsé à certaines d’entres vous. Bien sur ce ne sont pas exactement les mêmes mots et dialogues. Je ne connais posa tout par coeur! Et j’ai sauté des pâssages peu important car sinon ça aurai été trèèèèèèès long. Je vous laisse découvrir!
Présentation de Nevermoor
Écrit par Jessica Towsend
Elle avait seulement 10 ans 11 mois et 28 jours. Dans 3 jours elle allait mourir à cause de sa malédiction. Les enfants du merveillon meurent tous à l’âge de 11 ans. C’était leur destin. Depuis sa naissance, Morrigane Crow était inscrite dans le registre des enfants maudits.
Le soir vint. Mais avant d’aller dire adieu à sa famille, elle voulait signer le petit papier que lui avait donné ce drôle de Monsieur quand elle était allée à La Réunion importante de son père. Celui-ci lui demandait si elle voulait allier dans l’Académie « Nevermoor« .
« Si seulement je pouvais… » soupira t’elle. Elle signa avec un petit corbeau noir. Noir comme ses cheveux. Noir comme sa robe. Noir comme ses yeux. Noir comme ses chaussures.
Elle se décida enfin a descendre le grand escalier lustré de leur manoir. Le manoir des Crow.
Elle serra sa grand-mère fort dans ses bras. La grand mère de Morrigane était la seule à avoir un once de sympathie pour elle. Son père ne l’avait jamais défendue. Il se contentait d’être riche et l’argent semblait être tout ce qui comptait pour lui. Morrigane dit au revoir à sa belle mère et a son père.
« Qu’est ce qu’elle a a être aussi peut joyeuse elle ! »chuchota t’elle au père de Morrigane.
« Mon ange as-tu oublié qu’elle devait mourir à minuit ? »
« Et bien ! Il n’est que 23h ! Et j’ai autre chose a faire moi avec le Bébé qui arrive bientôt ! »
Morrigane rougit. Mais de colère ses joues étaient en feux. Ainsi donc, ils avaient décidé de la remplacer. Morrigane n’était pas la seule à être interloquée, sa grand-mère ne semblait pas au courant non plus. Mais la grande dame élégante s’absteint de commenter. Le père de Morrigane pinça les lèvres. Comme si sa deuxième épouse avait fait un gaffe. Morrigane continuait d’enrager intérieurement. Comme si des ténèbres envahissaient son cœur. Ce n’était pas la première fois. Soudain des coups lourds furent portés sur la belle porte vernie de l’entrée. Sans qu’on lui donne la permission de pénétrer dans le manoir des Crow, un bonhomme avec des cheveux roux comme sa barbe entra.
« Oh bon appétit. Désolé je suis venu chercher Morrigane je suis pressé. Allez Morrigane dit au revoir à ta famille. »
Celle-ci le regarda. Choquée.
« Oh pardon j’en oublie les convenances »dit il en retirant son chapeau.
Morrigane continua de le dévisager. Était ce à ça que ressemblait la mort ?
L’homme continua :
« Allons donc Mog dépêche toi ! Je peux t’appeler Mog ? Parfait. Prends tes affaires. »il avait fuit tous ça sans lui laisser le temps danse placer une.
« Mais monsieur, quelles affaires ? »
« Oh bon dieu nous sommes en retard ! Tout étais mis dans le déscriptif ! »
« Mais quel déscriptif ? »
« Celui que tu as signé bien sur ! »
Quand Morrigane vit l’expression de son père à l’évocation d’une signature, elle se rembrunit.
« Je n’ai rien signé du tout ! »
Avec un air malicieux, il sortit de sa poche un petit papier froissé. Avec un signature. Un petit corbeau noir.
« Comment avez-vous eu ça ? »lâcha Morrigane dans un élan de surprise qui lui était peu habituel.
« C’est un contrat Wondrous. » Cette fois ci c’était la grand-mère qui avait parlé.
« Exactement madame »renchérit l’homme qui se tourna ensuite vers Morrigane :
« Morrigane, veut tu vivre ? »
« Bien sûre que je veux vivre »dit elle sans réfléchir.
« Viens avec moi. Allez prends tes affaires »dit il d’une voix douce.
« D’acc… »
« Elle n’ira nulle part ! »s’écria Monsieur Crow visiblement en colère.
L’homme ne laissa pas le temps au père de Morrigane de faire quoi que ça soit. Il jeta un sorte de poussière comme dans les contes de fées. Toutes les personnes dans la cuisines s’endormirent. Sauf Morrigane et lui.
« Morrigane, je te le demande une dernière fois, veux tu vivre ? »le ton de sa voix était plus pressant.
« Oui »
« Alors rassemble tes affaires je t’emmene à Nevermoor ! »
« Nevermoor ? »
« ne pose pas de questions on s’en va. Ou sont tes affaires ? »
« J’en ai pas »
« Ah bon tu es sûre ? Bon et bien allons y ! »
Il tendit un parapluie à Morrigane.
« Fais comme moi d’accord ? »
Il sauta de la fenêtre. Morrigane resta la terrifiée.
Voilàààà j’espère que ça vous a plu. Je ne mettrait pàas la suite mais si vous êtes plusieurs à me le demander je mettrai le best of de mes moments préférés ou alors la rencontre de Morrigane avec ses amis que vous avez évidemment pas encore vu. Sinon dites moi si ça vous a plu que je fasse quelque chose dans ce genre.
😘
Dites moi ce que vous voulez que je fasse par exemple le best of de mes moment préféré ou la rencontre de Morrigane avec ses futurs amis. Dites moi également si sa vous a plu autrement je ne ferais plus rien àu sujet de ce livre
J’aime bien ce côté mystérieux et magique de ton histoire. Le début me fait un peu penser à L’Ile du crâne, un livre que j’ai lu en 6e. Tu as vraiment du potentiel, le peuple réclame le best of !!!!
Oui enfin ce n’est pas moi qui ai écrit l’histoire je l’ai juste remise en mots pour la faire découvrir … mais j’essaierai de poster le best of un de ses 4
Aaahhh que je suis bête, 😅 c’est un livre d’auteur, (faut que j’apprenne à me concentrer moi…) En tout cas j’aime bien ce livre et les histoires que TU as écrites ! Bref. J’aimerais bien des best of stppp
Ok je vais réfléchir pour le best of ! Par contre comment tu sais que j’ai écrit des histoires alors que je n’utilise pas le même pseudo ? Je l’ai dit à quelques filles seulement…
Hé bien tu es Gaga n’est-ce pas ? Quand tu l’as dis, je l’ai vu…
Mmmmmh donc tu es une fille! À moins que tu sois un garçon qui aime regarder les problemes des filles ? Perso je pense que tu es une fille. Tu pourrais nous le dire stp je sais que tu veux garder ton mystère et tout mais… Moi j’aimerais bien que tu nous en dises un peu plus sur toi.
Je ne suis pas quelqu’un d’important. Je ne suis que quelqu’un qui écrit une histoire. Rien de plus.
Écris trop. Ne parle pas assez. Fin du cours. Je sors. Sourire. Encore. Toujours. Être aimable. Je n’en peux plus. Je prends mon emploi du temps dans mon sac de cours. Sport, encore. On descend les marches du préau quatre par quatre. Je rigole. Encore. Sourire. Toujours. Être aimable.
— Hidy, tu viens ?
Je secoue la tête. Fini les rêveries. J’accélère le pas pour rejoindre Cassandre et Liliane. Elles rigolent.
On se dirige d’un pas trainant vers la table sous l’arbre, notre endroit. Là-bas, on y retrouve Anna-María, Héloïse et Samy. Ils ne sont pas dans notre classe, cette année. La troisième.
Je ferme les yeux, nostalgique du collège, sans qu’il ne soit vraiment fini. Nostalgique de cette année, pas encore passée. Nostalgique d’un instant que je n’ai jamais vécu. Je sens les larmes me monter aux yeux. Je secoue la tête. Fini les rêveries.
Je jette mon sac sur la table et ouvre la petite poche de celui-ci pour en sortir un paquet de gâteaux. Liliane et Héloïse se jettent dessus. Je le pose sur la table. Pas faim. Enfin, je ne crois pas.
— On a quoi après ? s’exclame Cassandre la bouche pleine.
Je lui tends notre emploi du temps. Elle plisse les yeux et hoche la tête. Sport. Encore. On parle. Les autres rigolent. Sourire. Toujours. Être aimable. Ça sonne. Encore.
On court vers les locaux de sport, pour ne pas être en retard. A quoi bon ? Ça vient à peine de sonner. Toujours à l’heure. Les élèves parfaites. Elles sont devant moi. Seule. Encore. Ça ne me gêne pas. J’aime bien. Seule.
Le prof nous dit d’entrer. C’est la troisième année que je l’ai, M. Tellui. Il n’est pas méchant. Je l’aime bien. Course d’orientation. Les filles se changent. Je n’ai pas besoin de me changer. Des gloussements. Je soupire. On sort des locaux. La 3°2 est déjà dehors. Je regarde qui est là. Soudain, éclair. Jules.
Explications. Pour faire comme les autres filles. Elles ont toutes un crush. Alors, pour s’intégrer, pareil. Je ne sais pas si je l’aime vraiment. Peut-être. La dernière fois, j’ai revu une de mes amies de sixième, Maëlys. Elle m’a dit que, elle aussi, crush sur Jules. Toutes les filles crushent sur Jules. Je pense. Mais il est gay. J’espère et, en même temps, non. Bizarre ? Tout est bizarre. Explications. Si Jules est gay, je devrais trouver un autre crush. Flemme. Mais s’il n’est pas gay, il finira par sortir avec une fille. Et si ce n’est pas moi, là aussi je devrais trouver un autre crush. Et, là aussi, flemme.
Je secoue la tête. Fini les rêveries. Les filles ont fini de se changer. On part. Course d’orientation. Le terrain est grand, on doit prendre des repères. Les cartes. C’est drôle. Cassandre et Liliane ne m’attendent pas. Je sais bien. Duo, jamais trio. Seule. J’aime bien. Seule.
Seule. Seule. Seule. J’ai beau tourner ce mot dans tous les sens, je l’aime. Pour moi, seule, c’est ma bulle. Seule, personne ne m’embête. Seule, je ne pense à rien d’autre qu’à moi. Seule, pas besoin de sourire, encore, d’être aimable, toujours. Seule, je peux pleurer, rire, crier, écrire, chanter, m’énerver, peindre, danser, me taire, lire. Seule, je peux être moi.
J’aime beaucoup
Merciii ça me fait trop plaisir !!!
C’est INCROYABLE !!!!!
Merciiiiiiiiiiiiii ♥️
Prologue,
Le Mont Mystica :
Le mont mystique était connu comme la demeure des rois mages. Un lieu de paix et d’harmonie. Un lieu où tout était beau et rose. Un lieu où chacun était libre.
Les mages étaient les personnes qui avaient la capacité de créer la magie, de donner de la magie aux mortels qui en avaient besoin !
Pendant des milliers d’années, ils ont partagé leur magie avec les mortels, qui l’ont utilisé pour construire, grandir !
Il y avait une règle que les mages avaient établi pour maintenir l’équilibre… En échange de leur magie, ils juraient de ne jamais l’utiliser pour le mal, seulement pour le bien ! S’ils l’utilisaient pour le mal, leur corps serait vidé de tout les pouvoirs magique qui les maintenaient en vie.
Il existait de nombreux types de mages, mais les six principaux étaient les mages de l’eau, Aquaris, Les mages de la Terre, Tierra, Les mages de la lumière, Lux, les mages des ténèbres, Tenebri, les mages de l’air, Arai et les mages du feu, Ignis !
Lux et tenebri surveillaient le jour et la nuit. Aquaris apportait la pluie. Ignis apportait la chaleur. Arai apportait la brise.
De cette façon, ils ont veillé à ce que, tout soit équilibré.
Il y avait un roi dont la magie avait été conférée par les mages du feu, Ignis. C’était un roi cruel, qui faisait travailler ces sujets plus dur que ce qu’ils n’étaient censés faire ! On disait que ceux à qui Ignis avait conféré leur pouvoir étaient toujours quelque peu violents, comme Ignis lui même ! Le roi promit d’obéir aux règles des mages et jura de ne jamais faire de ravage avec sa magie. Cependant, sa promesse fut de courte durée…
Après quelques années de paix, le roi chercha la guerre avec les royaumes voisins et sa magie en fut la principale cause. Mais comme les mages ne pouvaient pas reprendre leur pouvoir une fois confiés, tout ce qu’ils pouvaient faire était d’assister à la destruction.
Comme on le raconte, le roi mourût parce qu’il avait rompu son serment, et les royaumes en guerre les uns contre les autres se calmèrent ensuite.
Mais cette paix pris bientôt fin, car son fils, Navia continua le règne instauré par son père. Il fit la guerre, et tua de nombreux innocents…
Il avait le même pouvoir que son père, mais ne l’utilisait pas.
Les mages étaient dévastés, le pouvoir qu’ils avaient accordé aux mortels, était utilisé pour faire le mal. Leurs bien aimés mortels qui avaient rompu le serment pour protéger leur royaume, étaient en train de mourir.
Aquaris, le roi mage de l’eau et Lux, Le roi mage de la lumière, descendirent du Mont Mystica et rencontrèrent le roi pour tenter de mettre un terme à la folie qui se déroulait.
Mais le roi s’obstina, il refusa de faire la paix avec les autres royaumes, il fut rendu fou de rage et ordonna aux mages de partir, car ils ne pourraient jamais l’arrêter.
Les mages se mirent en colère. S’il refusait de les écouter alors qu’ils étaient raisonnables, il devrait s’occuper d’eux alors qu’ils ne l’étaient pas.
Navia avait un enfant, un héritier pour être précis. Et Navia aimait beaucoup son enfant et il voulait qu’il bénéficie également de sa magie. Mais la magie de son enfant n’est jamais venue.
Les mages ont enlevé à sa lignée la capacité de transmettre la magie de génération en génération et, par conséquent, la famille d’Obélia ne pourrait jamais avoir le pouvoir de mages.
Navia furieux de l’acte d’insolence des mages, conclut un traité de paix avec les royaumes qui le craignaient suffisamment pour marcher vers le mont Mystica. C’était ce qu’on appelait « la grande marche ». Cependant, Navia échoua dans sa mission. Il avait oublié que les mages étaient ceux qui leur avait donné les pouvoirs et, tout ceux qui participèrent, moururent…
Les mages n’étaient pas contents, même si Navia était mort, il avait réussi à causer des dégâts au Mont Mystica.
Les mages fermèrent leur demeurent aux mortels sans jamais révéler où ils vivaient, afin de les protéger. Ils s’assurèrent également que les descendants de ceux à qui ils avaient donné leur magie ne pourraient pas l’utiliser à moins d’être jugés digne. Et les mages ne furent plus jamais revus. Mais avant de se fermer aux mortels, ils firent une prophétie.
« Il y aura un mortel avec les capacités de plus d’un mage. Il sera alors accueilli dans Mystica, notre demeure. Alors, et seulement alors, nous ouvrirons à nouveau nos cœurs à vous, mortels. Jusque là, nous vous serons fermés.»
Cette prophétie était connue sous le nom de «Prophétie de la lumière» et elle a été écrite dans le «Livre de la Lumière» l’un des six livres des mages.
Les Mages ont caché les livres là où aucun mortels n’oserait les regarder.
Cependant l’un des livres, «le livre de l’eau» contenant des informations sur la façon de contrôler les éléments a été trouvé par nul autre que le fondateur de l’académie, Sir Roosevelt Castor.
Le livre était conservé en sécurité dans les chambres le plus profondes de l’académie, gardé par une puissante bête. Et le livre contenant les archives de la grande marche, la prophétie et le commencement s’appelle « Le registre de la mystique »
Il contient en tout détail tout ce qui s’est passé pendant cette période ! L’académie existe depuis plus de deux – mille ans. Elle a été fondée cent ans après la Grande marche…
Castor roosevelt a fondé l’académie dans l’espoir que l’homme de la prophétie soit retrouvé et que les rois mages reviendrait au monde une fois de plus !!!
L’académie :
L’Académie se trouvait à l’endroit où les Rois Mages auraient donné leur prophétie. Elle était entourée de nombreux arbres. C’était un endroit magnifique.
Bien que les mages n’aient pas été vus, la magie qui avait été donnée aux ancêtres leur avait été transmise. Elle était moins dominante que celle des ancêtres, mais elle était toujours là. L’académie a été créée pour les aider à éveiller ce pouvoir. Les étudiants ont reçu un enseignement approprié sur la malédiction comme on l’appelait.
C’était un pensionnat, divisé en six sections différentes.
Tout d’abord, la division de la terre. Cette division comprenait ceux qui avaient l’élément terre. La capacité de contrôler les plantes, la capacité de déplacer la terre et de soumettre les animaux. La disposition de ceux qui avaient la magie de la terre était principalement impassible. La plupart du temps.
Deuxièmement, la division aérienne. La capacité de contrôler le vent, le son et la télékinésie. Ceux de la division aérienne avaient une personnalité insouciante un peu comme Arai, le mage de l’air.
Troisièmement, la division de l’eau. La capacité de contrôler l’eau, la capacité de contrôler la glace, la division de l’eau comptait plus d’étudiants sérieux que toute autre division.
Quatrièmement, la division des incendies. La capacité à contrôler le feu, la capacité à contrôler la lave, le tempérament des membres de la division des incendies n’était pas quelque chose dont on plaisantait, ils avaient des traits similaires à ceux d’Ignis et de Navia.
Cinquièmement, la division de la lumière. La capacité de contrôler la lumière, la capacité de guérir. Lux leur avait donné cette capacité pour que les mortels puissent vivre sans se soucier des maladies. Ceux de la division de la lumière avaient une personnalité apaisante.
Enfin et surtout, la sixième division, la division des ténèbres. La capacité de contrôler les bêtes, la nécromancie et la sorcellerie. Ceux de cette division étaient
considérés comme dangereux et tenus à l’écart des autres, mais ils ne sont pas discriminés. Ils ont une personnalité quelque peu timide, comme les Tenebri.
C’était le début d’une nouvelle année scolaire et les élèves s’affairaient à sortir leurs valises de leurs différentes voitures ou bus assignés.
Lydia, une élève nouvelle à l’école, regardait fixement les grandes portes devant elle, se demandant ce que pensaient ses parents en l’envoyant dans une école à laquelle elle n’appartenait clairement pas.
« Il y a des gens effrayants ici », se murmura-t-elle.
Lydia faisait partie de la division des ténèbres et de la division de l’eau. Cela faisait longtemps que l’académie n’avait pas accueilli quelqu’un avec cette combinaison de magie, et il n’y avait qu’une seule personne qui en était dotée. Freya Roosevelt, Une descendante de Castor Roosevelt. On pensait qu’ elle était celle de la prophétie, mais il y avait encore des gens qui travaillaient avec Navia à cette époque.
Un garçon vit sa petite silhouette frêle, tremblante dans le mince manteau d’hiver qu’elle portait et s’approcha d’elle. Ses joues étaient rougies par le froid et ses poings serrés.
– Bonjour, je suis Valentin, je suppose que tu es nerveuse. J’étais trop–
– Je ne suis pas nerveuse, dit-elle en l’interrompant « J’ai peur. »
– Tu as peur? Demanda-t-il.
– J’ai peur. Tu me fais peur, dit elle en rapprochant encore plus son manteau de son corps. Tout le monde fait peur, marmonna-t-elle en baissant la tête.
Valentin la regarda étrangement.
– Une fois que vous les connaîtrez, vous n’aurez plus aussi peur. a-t-il déclaré.
– Non, dit-elle en se tournant soudainement vers lui, les yeux légèrement écarquillés.
s’ils le découvrent, ils le sauront s’ils le découvrent, je ne pourrai pas rester. Ils ne peuvent pas le découvrir. a-t-elle déclaré.
Il remarqua que ses yeux brillaient. Ce n’était pas si visible de loin, Ses yeux étaient d’une jolie nuance de rouge, effrayante, mais jolie.
Il resta là, silencieux, tandis qu’elle le regardait. Il se demandait ce qui se passait dans sa tête, qu’est-ce qui allait se passer?
Elle saisit la poignée de sa valise. « Les appareils électroniques sont-ils autorisés? » demanda-t-elle, les yeux rivés sur la neige, le souffle blanc de froid.
« Vous ne pouvez les utiliser que dans les dortoirs »répondit-il.
Elle sourit légèrement, « C’est assez bien » dit-elle.
Le professeur est bientôt arrivé et a fait l’appel des nouveaux élèves.
Lydia était une nouvelle étudiante, et Valentin ne l’était pas, ils ont donc été séparés.
Après l’appel, le professeur a conduit les nouveaux élèves à l’intérieur où les directeurs de maison les attendaient.
Il y avait au total douze maisons dans l’Académie.
La maison de Glacia et la maison d’Aquaris, de la division de l’eau.
La maison d’Ignis et la maison de Calor, de la division des incendies.
La maison de Lux et la maison de Lucere, de la division lumineuse.
La maison des Ténébri et la maison d’Hébės, de la division des ténèbres.
La maison de Tierra et la maison de Solum, de la division de la terre.
La maison d’Aire et la maison de Ventus, de la division aérienne.
Lydia appartenait à la maison des Ténébri. Elle assistait aux cours généraux, à certains cours pour ceux qui avaient de la magie de l’eau et à certains cours de magie des ténèbres.
La maison de Tenebri était peinte en noir et or, tout comme le couloir. Elle était omée de nombreux vases sur lesquels était dessinée la lune. Tenebri était aussi appelée la déesse de la nuit, et c’est pourquoi la maison de tenebri prenait vie la nuit. L’heure du coucher dans la maison des ténèbres était différente de celle des autres. La maison des ténèbres proposait également de nombreuses activités différentes..
Dans la division des ténèbres, il y avait une statue de Ténébri au centre, séparant les deux maisons.
C’est beau, n’est-ce pas? dit Mme Fiona, la maîtresse de maison. De toute façon, les cours commencent demain à huit heures et vous ne pouvez pas être en retard. Certains professeurs vous pardonneront, mais il y en a aussi qui ne le feront pas. Alors faites de votre mieux pour ne pas rater votre réveil le premier jour, mes chers élèves », dit-elle en leur donnant leurs clés
Il y avait le dortoir des garçons et celui des filles. Lydia partageait la même chambre qu’un vampire. Une créature à moitié humaine qui n’était pas très plaisante dans les livres que Lydia avait lus !
Peu après que Lydia eut rangé la plupart de ses affaires, la cloche sonna, signifiant le début du déjeuner. Elle entendit les élèves devant la porte se précipiter pour prendre place. Après s’être assurée que la situation s’était calmée, elle se leva pour partir.Le plafond de la cafétéria était plus haut que dans tout autre endroit de l’école. On y trouvait de nombreux types de nourriture et de boissons, ainsi que des tableaux des héros du passéL
– Attends de voir cet endroit la nuit. Alors tu sauras ce qui est vraiment joli, dit la fille, Au fait, je m’appelle Artemis. Comment t’appelles-tu ? demanda-elle avec un sourire si éclatant. Un sourire que Lydia voulait cacher.. Pensa-t-elle
Dans sa tentative de trouver un moyen de se présenter, elle n’a rien dit.
Artémis la regarda avec un léger froncement de sourcils sur son visage.
Lydia pensait l’avoir contrariée. Elle commença à peiner ses mots je-je… euh… LL-Ly…» bégaya-t-elle.
Ses yeux s’écarquillèrent d’inquiétude et juste au moment où elle était sur le point de demander: Est ce que ça va? des larmes avaient commencé à couler sur son visage reflétant alors ces yeux humides.
Woah! s’exclama la fille.
Je-je suis… Ly commença-t-elle mais fut interrompue par son propre hoquet…
Ok, Alors, je suis désolée. dit Artemis. « Je crois que j’ai fait quelque chose de vraiment mal ici, alors ne pleure pas.» essaya-t-elle de la consoler.
Lydia leva les yeux vers elle avec des larmes dans ceux-ci et détourna instantanément le regard. Elle renifla un peu, se réprimandant de ne pas être capable de tenir une conversation convenable avec quelqu un d’autre.
Elle a eu de mauvaises rencontres avec de mauvaises personnes et a commencé à ressentir une certaine peur envers les autres.
Elle a renoncé à essayer de dire quoi que ce soit car sa bouche stupide dirait le contraire si elle essayait de parler, alors elle a attrapé une serviette en papier et a écrit: Je suis lydia. » et la lui a donnée.
Artemis l’a lu et a ri.
Le visage de Lydia devint rouge et elle baissa encore plus la tête.
«Je suis désolée, mais est-ce que c’est ça que tu voulais dire? demanda-t-elle en essuyant les larmes de son visage. Enchantée de te rencontrer, Lydia », dit- elle après s’être calmé
Lydia ne leva toujours pas la tête et fit un petit signe de tête.
Bon, alors, je vais manger avec mes amis », dit Artemis en s’éloignant avec son plateau repas à la main.
Lydia regarda sa silhouette s’éloigner et soupira de soulagement. Puis elle remarqua le nombre de personnes présentes et son estomac se retourna.
Elle commença à paniquer. Elle se retouma pour quitter la calétéria, marchant aussi vite qu’elle le pouvait…
Pourquoi la porte est elle si loin? Pensa t’elle
Elle baissa la tête et essaya d’accélérer le pas, mais pas avant qu’une main ne lui attrape l’épaule. Ses yeux s’écarquillèrent sous le choc et elle se retourna immédiatement pour repousser la main de la personne
Elle fixait la personne avec de grands yeux et ses cheveux légèrement ébouriffés à cause de sa marche rapide. Elle haletait lourdement, sa poitrine se soulevant.
– Calme-toi, je voulais juste voir qui tu étais, dit le garçon.
Ses sourcils se froncèrent visiblement d’agacement et elle se retourna pour continuer son voyage vers la porte, mais le garçon la tenait toujours.
– Lâche moi, murmura t elle.
– Attends, attends, comment t’appelles-tu ? » demanda-t-il.
Elle retira de force sa main de son emprise et le regarda fixement, ses yeux brillant d’une nuance vive de rouge.
– Ce n’est pas quelque chose que quelqu’un comme toi mérite de savoir, dit-elle, avant de s’éloigner rapidement.
Il la regarda avec choc, tandis que ses amis se moquaient de lui.
Est-ce que vous pouvez vous taire? dit-elle sèchement en se tournant vers eux.
Artemis, qui avait été témoin de tout cela, regarda Lydia alors qu’elle passait à côté d’elle.
Alors que Lydia quittait la cafétéria, elle est tombée sur un professeur.
– Attends un peu, tu es censé être dedans, pas dehors, dit-il.
Mais lydia ne lui prêta aucune attention alors qu’elle se précipitait, courant on ne sait où…
Elle trouva bientôt un endroit isolé, un couloir de la maison de Calor. Même elle n’avait aucune idée de comment elle était arrivée là.
Elle s’effondra dans l’espace entre les piliers.
– Je suis désolée, je suis désolée, le ne le ferai plus, le ne le ferai plus. Je suis désolée». J’ai peur, renifla-t- elle. J’ai peur, j’ai peur. Tout le monde a peur. Je suis seule… » sanglota t’elle. Toute seule…
La maison de Calor était vide pendant la journée car les étudiants trouvaient d’autres moyens de passer leur temps.
Lorsqu’elle entendit le bruit des étudiants arriver, elle essuya immédiatement ses larmes, se leva et épousseta ses vêtements
Deux étudiants passèrent à côté d’elle et la regardèrent étrangement.
« Hé?» entendit-elle une voix masculine demander.
Elle s’est retournée pour voir la personne et a vu Valentin.
Incroyable ✨🤯🤩 continue !!!
Bonjour 👋
La vie en tant que monstre
CHAP8 :
– Il faut que tu choisisse… disait Praline.
– Oui et vite fait disait Oli…
Après 30m de disputes ses DEUX amies lui demander de choisir. Non mais sans blague. Comme si c’était sa priorité.
– Alors ?
De l’air, elle avait besoin d’air.
Elle se leva de sa chaise et courra à toutes vitesse.
– Bah Laurelle tu vas eu ? Laurelle ?
Qui avait parlée ? La blondinette ou l’ eaulément ? Laurelle était perdue dans ses pensées et elle ne le devina pas.
Elle ne savait pas où elle allait. Elle suivait les panneaux ” grand hall ”. Elle bouscula beaucoup de gens se qui n’était vraiment pas dans son habitude. Surtout sans dire pardon.
Quand elle prit la sortie elle ne savait pas de où elle était venue. La droite ? Ou était-ce la gauche ? Au pire elle pouvait se téléporter. Oh non elle avait oublié Oli…. elle ne pouvait se téléporter sans elle. Son père la facherait…
Elle n’osa même pas y penser. Elle pris la direction de gauche .
Elle avait trop de problème : sa mère qui la prenait pour une psychopathe, son père qui ne lui fesait pas confiance, Inaya qui s’occupait de ses affaires et Sidonie qui… était trop petite. Et maintenant, ses potes qui se bagarraient… Laurelle accéléra le pas en pensant à tous sa.
Elle ne savait pas où elle était. Dans un parc ou un jardin… elle ne le savait pas. Bizarrement, la jeune fille ne pleura pas. Elle était en colère. Et…
– Ahhhhhhhh
Oh non qu’est-ce qui c’est passé… Laurelle avait glissée. Près d’une falaise, autrement dit, elle était suspendue au dessus de la mer. Comment était elle arrivé là ? Il y avait une barrière pourtant… oh non Laurelle avait pris ça pour un banc…
Ding deng dong.
Oh non… la cloche du couvre-feu… Il était 16h30. L’heure de rester dans l’académie…
– À l’aide !!!!!!!! À l’aideee.
Elle essaya de prendre son téléphone mais elle avait peur de se mettre encore plus dans le pétrin. Pour l’instant elle avait les deux mains accrocher à la rembarde se qui était vraiment très bien étant donné la situation.
– MAIS BIEN SÛR
C’ était une croisé. Donc elle avait la télékinésie. Elle essaya pour attraper son téléphone.
– Oui je l’ai presque…
La jeune fille croyais l’avoir. Alors elle relâchant sa télékinésie. Malheureusement, le téléphone tomba et la main droite de la jeune fille se détacha de la barrière. Elle était droitière. Donc elle ne tiendrait plus longtemps. Mais elle n’avait plus de téléphone donc aucun moyen de contacter ses amies. En plus, le couvre feu avait sonner… elle ne pouvait pas non plus se téléporter. Elle n’avait appris que débout
Comment allait-elle faire ?
Cette suite est longue et j’espère qu’elle vous plairat
La suiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!
J’adore 🥰
Chapitre 6
« Arrête avec tes contes de fées ! »
La voix de Julia avait retenti jusqu’à l’étage alors même que Charlotte était sur le point de dire quelque chose qui semblait important. Toutes 2 dévalèrent les escaliers à la hâte pour aller voir ce qui se passait. Arrivées en bas elles durent jouer des coudes pour rejoindre Cadence quoi observait déjà la scène. Tout un petit groupe s’était rassemblé autour de 2 filles qui semblaient se disputer. Enfin plutôt Julia haussait le ton face à la fille qui avait aidée Alyssia à trouver la salle de classe l’autre jour. Quelque chose d’ailleurs la frappa tout de suite : le visage. L’autres fois elle se demandait pourquoi cette fille lui rappelait quelqu’un. Et bien son visage, pardon, LEURS visage sont exactement les même ! Ce sont des sœurs jumelles ! Alyssia se demandait pourquoi cela n’avait pas fait tilt tout de suite. Julia se fâchait donc contre sa sœur.
« Arrête Sofia ! Les fées n’existent pas ! Et un dénouement heureux n’existera pas pour nous ça n’est pas possible ! »
Charlotte glissa à l’oreille de Cadence :
« Ça dure depuis combien de temps ? »
« Pas longtemps vous êtes arrivées pas longtemps après le commencement. »
La sœur de Julia, qui se prénommait visiblement Sofia était au bords des larmes :
« Mais c’est pas juste ! Pourquoi on n’aurais pas le droit d’être heureuses ! »
« C’est comme ça ! Tu me soule t’en as pas marre d’être un fléau pour moi ! »
« Un…un fléau ? Et moi qui croyais que tu m’aimais vraiment. »Sofia fondit en larmes et couru jusqu’à sa chambre. Ce fut le silence. Plus personne ne dit rien jusqu’à ce que Julia commence à s’en aller. Alyssia lui barra le passage :
« Stop ! Qu’est ce qui c’est passé ? Pourquoi lui avoir dis ça ? »
« Nan mais qu’est ce que vous avez tous vous n’avez pas de vie ou quoi ? Si vous soutenez ma sœur vous vous trompez lourdement » Julia semblait de très très mauvaise humeur. La voix légèrement bourru de Cadence parvint derrière Julia :
« T’es aveugle ou quoi ? Y’a rien a faire ici alors non on a pas de vie ! »
« TU n’as pas de vie ! Figure toi que moi, j’ai d’autres trucs à faire qu’entendre des contes de fées à longueurs de journées ! »
Cadence rétorqua aussitôt :
« Ah oui ? Comme quoi ? »
Julia ne répondit rien alors Alyssia opta pour une autre tactique :
« Pourquoi ne pas laisser ta sœur croire aux contes de fées si il n’y a rien a faire ici ? »dit elle d’une voix douce.
« Mais parce qu’elle a 10 ans !!! » S’égosilla t’elle.
« A 10 il faut qu’elle fasse face à la dure réalité ! On a pas le choix ! Vous croyez quoi vous tous là ? Que la vie est belle ? Que vos gentils papa maman vont venir vous chercher ? Ce que vous pouvez être stupide ! Certains d’entres nous n’ont même plus de parents ! »elle avait dit ça sans reprendre son souffle mais malheureusement sont fort de paroles ne s’arrêta pas là :
« Et toi Cadence ? Vas y raconte à Alyssia que tes parents n’ont jamais voulus de toi. Et Charlotte, dis lui que tes parents étaient pauvres et qu’ils ont préférés ta sœur a toi ! » Quand Alyssia vit les larmes mêlées de tristesse et de jalousie perler aux coins des yeux de Charlotte, ce fut au tour d’Alyssia de voir rouge.
« Tais toi. »dit elle d’une voix blanche.
« Pardon ? »
« Tais toi ! Leurs vies ne me regardent pas ! Pourquoi tu fais ça ? T’es rien qu’une sale petite peste ! Et moi qui croyais que tu étais gentille ! »
« Et toi alors ? T’es une grosse tête a claques en fait »
Alyssia ne prit pas la peine de répondre. De toute façon Julia enchaînait déjà :
« Toi, tu fais quoi ici ? Tu fais la gentille mais c’est pas du tout crédible. J’espère que tu es au courant que tes parents ne viendrons pas te chercher. De toute façon atterrir dans l’aile ouest dès le premier jour c’était mauvais signe… »
Encore une fois, Alyssia ne répondit rien. Elle avait ressenti comme un coup de poignard.
« Qu’est ce que tu en sais ? »cette fois Charlotte avait pris la parole.
« Nan mais mêlez vous de vos affaires ! »Julia ne savait plus tellement quoi dire d’autres.
« Justement c’est nos affaires. »dit calmement Charlotte .
« J’ai rien a faire avec des nazes comme vous. »sur ce, Julia parti on ne sait ou.
Les 3 filles soufflèrent en cœur. Alyssia se rendit compte un peu tard qu’elle avait oublié de lui poser les 2 question auxquelles elle avait le droit alors même qu’elle avait pris tout le soin et la concentration du monde pour y répondre. Pas grave se dit elle j’essaierai plus tard. Il est bientôt l’heure d’aller se coucher. Elles montèrent dans leur chambre. Charlotte se coucha et s’endormi tout de suite. Mais Alyssia était bien réveillée et elle savait qu’elle n’était pas la seule.
« Elle a été vraiment méchante Julia tout à l’heure tu ne trouves pas ? »dit elle a Cadence.
« Ouais. On savait déjà tous qu’elle avait un mauvais caractère mais là… »
« Là ce n’était pas du mauvais caractère mais de la méchanceté gratuite ! »
« Les enfants sont méchants… Le pire c’est que ton n’es pas au bout de tes surprises… »
« Bon Cadence, j’évite vais aller droit au but et ne m’interrompt pas s’il te plait. Depuis que je suis arriérée ici, vous me cachez des choses et ne répondez pas à mes questions. Tout à l’heure quand Julia à reparlé de l’aile ouest j’ai complètement zappé var j’étais trop obnubilé par ce qu’elle avait dit avant. Bref, je veux au moins savoir ce qui cloche avec cette aile et que vous essayez, Charlotte et toi de répondre plus à mes questions. »
Elle respira un grand coup. Ça y’est ! Elle l’avait dit ! Cadence n’avait pas l’air plus impressionnée que ça pars sa déclaration. Elle leva un sourcil et pris son temps pour répondre :
« Eh bien, Charlotte fera bien ce qu’elle veut mais moi je n’ai pas envie de me sentir forcée à répondre. Alors bonne nuit. »
Sur ce, elle se coucha sans un regard à Alyssia qui s’endormit peut de temps après.
Le lendemain, Alyssia se réveilla d’assez mauvaise humeur. Elle se leva en bougonnant. Charlotte dormais toujours et Cadence elle l’avais réveillée à cinq heure du matin car elle avait allumé une bougie pour lire. Parce que non il n’y avis pas d’électricité dans ce trou paumé. Elle réveilla sa camarade de chambre et l’incita à se lever. Même routine matinale, le plat n’avait pas changé. Elle et Julia ne se parlait plus et Alyssia repassait en boucle la scène de la veille entre sa sœur et elle à qui visiblement elle avait décidé de l’ignorer royalement. Sofia essayait bien de lui parlait mais c’était peine perdue. Effectivement Julia avait un mauvais caractère. Autre remarque sur leur vie palpitante (ironie) elles n’avaient pas vues Cadence depuis l’aube. Ce qui arrangeait plutôt Alyssia car, de cette manière, elle pouvait poser LA question à Charlotte.
« Dis moi Charlotte, Julia à dit quelque chose e rapport avec l’aile ouest hier, pourrais tu m’expliquer ? » Cette fois elle avait été moins directe.
« Ben heu… C’est que c’est assez compliqué à expliquer et je ne suis pas sûre que ça soit une bonne chose que tu le saches. D’autant que tu n’as rien fait pour le mériter… »
« DIS. MOI. CHARLOTTE. »
« Ne te fâches pas. L’aile ouest est l’aile de tout ls pensionnèrent à problèmes. Ceux qui méritent le moins d’être écoutés. Les délinquants si tu préfères. »
Alyssia n’en revenait pas. Elle savait qu’elle n’avait rien fait pour le mériter. Elle savait aussi que Charlotte lui avait tout dis d’une traite sans lui mentir mais qu’elle ne pouvais pas lui donnera plus d’informations. La question qui se posaient à présent était : pourquoi la sage Charlotte avait elle atterrit là ? Question qu’elle ne pouvait pas poser our le moment par crainte d’abuser.
Voilà j’espère que ça vous plaira même si ce n’est pas très mouvementé
Ton histoire est merveilleuse 🤩
Merci pour ton soutien 👍 ça me fais plaisir quand on répond à chacun de mes chapitres ça me donne encore plus envie de continuer 😊😁😁😁😊
Cc je m’ennuis
La vie en tant que monstre
CHAP7:
Laurelle et Oli s’étaient téléportées vers l’académie la plus prestigieuse de France.
– Oh ma Lau’…
Praline fit un câlin à ” Lau ’ ”… c’est là qu’elle vit …
– Tu es qui toi ?
– Euh…
Laurelle n’eu même pas le temps de s’expliqué :
– Je m’appelle Oli et je suis la meilleure amie de Laurelle.
Oli souriait de toutes ses dents.
– Non. C’est moi sa meilleure amie.
– Oh…
– Qu’est-ce qu’elle fait là ?
Praline avait mis ses bras croisés sur son ventre.
– Euh… mes parents m’ont fait la surprise de l’inviter pour une soirée pyjama.
– Et sa mère ne pouvait pas l’emmener à 16h ?
– Euh…
Praline était vraiment très très en colère.
– Je vous entend vous savez dit Oli toujours avec le sourire.
– Ouais ouais fait pas ta victime.
– Je ne fait pas ma victime. Faire sa victime c’est quand…
– Cool je m’en fiche.
Elle regarda Laurelle d’un air implorant.
– J’avais fait un programme rien que pour nous deux et … et toi tu me ramène cette … cette sorcière.
– Eh oh… je vaut mieux qu’un eaulément.
Les deux monstres se fusillèrent du regard.
– Attend là.
Praline emmena Laurelle dans sa chambre et claqua la porte au nez de la blondinette.
Sa chambre était digne d’une princesse. Elle avait un lit à baldaquin deux places, un bureau, une coiffeuse, un coin pour son animal…
– T’aime bien hein ? Malheureusement, je ne suis pas assez performante et je vais devoir…
– Partir dit la croisée.
– Oui…
– Désolé…
Laurelle n’était pas forte pour le réconfort…
– C’est pas grave de toutes façon tu me manquer trop…
– Moi aussi.
– Bon qui c’est cette fille ?
– Oh t’inquiète, je traîne juste avec elle comme sa…
Oli ouvra la porte en trombe
– Alors comme sa je suis juste une fille avec qui tu traîne comme sa…
” Oh non ”… pensa Laurelle.
La suite est longue mais j’espère qu’elle vous plaît.
Bonjour 👋
Merci pour votre soutien.
La vie en tant que monstre
CHAP6:
– C’est comme sa un point c’est tout.
La jeune croisée était punie 2 mois d’argent de poche.
Désormais, ses parents l’emmèneront au collège. Le week-end, elle devra dire où elle va. Et elle devra respecter des ” horaires ”.
– Pfff…
La jeune fille alla dans sa chambre. Elle en avait marre. Marre marre marre.
Mais elle préfère se tenir à carreaux. Sinon, elle ne pourrais pas aller voir Praline.
…
– Ahh je suis troopp contente
Oli lui avait sautée dessus.
– Quoi qu’est-ce qui se passe ?
– Bah tu n’es pas au courant ?
– Au courant de quoi ?
– Ah mince… je ne savais pas que tes parents te fesait la surprise…
– Bon tu vas me dire se qui en retourne oui ou non…
Oli réfléchissa.
– Tes parents m’on invité samedi pour faire une soirée pyjama.
– Ohh trop cool.
Attend
– C’ est bien samedi ?
– Oui dit la blondinette
– À quel heure ?
– 14h. Trip cool non ?
– Oh nonnnnnn…
Oli parut déçue.
– Tu…tu n’es pas contente…
– Si si, c’est juste que j’avais prévue de voir…
– Praline…
– Oui…
Laurelle détourna le regard.
– Oh mais je … je peux t’ accompagné et rester dans la salle d’attente .
Laurelle ne voulait pas dire non encore une fois…
Bon… Praline comprendra.
– Oui bien sûre…
– Génial !!!
La blondinette sauta au cou de Laurelle.
” J’espère que je ne fais pas une terrible erreur ” se dit Laurelle. ” Je n’ai pas envie de perdre Praline…”
Vous aimez ? La suite bientôt 😉😉😉
Je suis captivée à chaque fois !
Salut a tous … Voici le 3 ème chapitre de mon histoire :
Chapitre 3: Nicolas
Notre mystérieux garçon avait décidé de se diriger vers la capitale , Arnadande, dont il avait souvent entendu des gens vanter ses mérites. Il trouverait surement un travail la bàs,car les Arnadandiens pouvait travailler a partire de douze ans.Et il pourrait loger quelque part avec l’argents qu’il gagnerait.
Cela faisait maintenant deux heure qu’Ernest marchait.Il s’assit prés d’un arbre posa son sac près de lui. Toute les émotions qu’il avait ressenti aujourdh’ui l’avait fatoigué et la nuit tomber. De ce fait, il bu un peu d’eau qu’iol avait emporté , croqua dans une pomme qu’il trouva dans un arbre et s’allongea . Il ferma les yeux et entra dans un someil sans rève .
Le lendemain, Ernest se reiveilla dans une position peu confortable . Ses muscle étaient endormi et endolori. Il se leva pour faire quelque pas . La chaleur était accablante et elle empéché de bouger très vite. Ernest regarda le paysage. Il s’était assi a coté de la route, sans même essayer de s’éloigner un peu. C’était une route faite de brique violette. Les arbres était magnifique , leurs feuilles vertes émeraude les rendait encore plus joli que la normale. Si Ernest se rappelait bien, on appelait cette route faites de brique violette, en bordure d’arbre vert émeraude s’appelait la route d’Irnia . Dans une langue morte que personne n’utilisé plus, cela voulait dur la route de la fortune, autrement dit de la chance. Ernest avait beaucoup étudié cette langue , qu’on appelait l’antiqua monachi , il avait réussi a apprendre quelque mot et les bases mais il n’avait jamais était aussi fort que ce qu’il voulait et il c’était décourager vite.
Il entendit soudain , un bruit derrière lui. Il se retourna et ses yeux se posèrent sur un grand homme qui fouillait son sac. Dès que l’homme aperçu qu’il avait était démasqué , il s’enfuit en courant dans la forêt. Sans hésiter une seule seconde, Ernest se lança a sa poursuite :
Eh et toi là !
Ernest courait en suivant l’intrus a travers la foret,apercevant des animal comme des renard au queue de feu élevant ses petits,un gépard avec une fourrure semblale a la nuit qui buvait dans un lac ou autre créature fantastique et mignogne . Ernest savait que ces créatures était du pipi de chat en matière de fantaisie par raport au dragon , au chimère et autre espèce mythyque . Malheuresement pour le voleur, Ernest courait vite , très vite . IL rattrapa le voleur et le bloqua devant un lac. Il avait le choix entre sautait dans le lac ou se rendre a Ernest. Il choisit la deuxième proposition et se retourna .
-M.r Le cordonier ? Cria Ernest , éttoné de le voir içi.
Appelle moi Nicolas , s’il te plait.
-Euh… OK ! Mais que faites vous içi ?
-Tutoies moi aussi s’il te plait !
Bon d’accord ! Mais répondez a mes questions cria Ernest, en bouillonant de l’intérieur , impatient de ne pas avoir de réponse .
-Je… commença Nicolas. Je suis désolé d’avoir voler ton sac. En fait, quand j’étaits sur la route on m’a volé quelque chose et…
-Et vous pensiez que j’était un voleur ?
La voix d’Ernest était plus forte, vexé qu’on pense qu’il était un voleur.
-Non, enfin, petit , je… Bégaya le cordonier.
C’en était trop, Ernest bouillonnait de l’intérieur, véxé que celui qui l’avait défendu au village le pense voleur .Il sentit soudain que son corps le lachait, qu’il ne pouvait plus donner d’ordre a ses muscles . Le tatouage en rajoutait encore. Il brilla de plus en plus fort et le corps d’Ernest se leva sans qu’il puisse rien controler. Nicolas comprit le danger et sut tout de suite ce qu’il fallait faire. Il se rapprocha d’Ernest, lutant contre un vent fort qui le pousser dans un autre sens. Il cria de toute ses fores , pour qu’Ernest l’entende :
-Ernest, je suis désolé .
Le vent s’aréta une seconde mais repris de plus belle .
-Tu n’a rien mérité de tout ça . Tu es un bon garçon… Il t’es arrivé de mauvaise chose .
Le vent se calma peu a peu et on voyait Ernest se battre de plus en plus contre ce tatouage .
– Je sais bien que c’est paroles ne changeront rien a ce que tu vis. Mais mon petit, si tu as besoin de quelqu’un , moi je suis là… Et même si tu ne le veux pas, je t’offre mon amitié.
C’est alors que le vent s’aréta. Et Ernest tomba violement a terre. Nicolas courut le prendre dans ses bras. Il était épuisé, en larme et il murmurait :
-Je veux bien de votre amitié, je le veux bien , Nicolas .
-C’est d’accord mais tutoies moi maintenant …
Salut ! Voici le chapitre cinq de crimes épouvantables.
Chap 5
Kamanda était au anges tandis qu’elle découvrait son lycée, sa main gauche serrée dans celle de James. James ,lui ,faisait l’indifférent mais il éprouvait de drôle de sensations . Ils arrivèrent devant les casiers . James sortit sa clé et Kamanda la sienne.
-James !!
Celui ci se retourna pour apercevoir la fille la plus populaire du lycée à l’autre bout du couloir. Elle était grande, rousse et avait de beaux yeux bleus clairs. Elle courut vers James qui lâcha aussitôt la main de Kamanda.
-Salut, Alice …
La jolie rousse posa ses mains sur celles de James qui allait exploser. Elle lui sourit.
– J’ai vu l’article de la gazette du lycée et je t’ai vu à la télé. Tu est tellement courageux !
– Oh non , c’est rien.murmura James,gêné
– Mais si ! Tu as assisté à deux meurtres, la nuit , dans une maison hantée ! Tu es tellement fort !
James rit nerveusement. Alice tourna sa tête vers la gauche pour apercevoir une Kamanda furieuse. Elle lâcha :
– Qui est cette gueuse ?
– Qui est cette petite poète du 19eme siècle ?rétorqua Kamanda
Les deux filles se fusillerent du regard. Pendant que James les regardaient l’une après l’autre, gêné. Puis tout à coup, Alice esquissa un sourire hypocrite et tandis sa main à Kamanda .
– Tu est nouvelle, non ? Je suis Alice ! On pourra faire plein de trucs ensemble ! Du shopping, un cinéma, du vernis .
Kamanda grimaça et souris aussi . Elle tendit sa main et repoussa celle d’Alice d’une claque. La rousse était choquée. James et elle regarderont Kamanda se désinfecter la main puis l’essuyer. Enfin elle leva un regard glacial sur Alice et lui dit méchamment :
– Ne me tends plus jamais la main sinon la prochaine fois , ce sera ta tête que je claquerais.
Et sur ses mots elle contourna Alice et se dirigea vers leur classe. James passa un salut à Alice et couru la rejoindre. Il n’eu pas le temps de l’interroger sur son comportement car la sonnerie retentit . La prof entra dans la salle . Elle était grande et brune . Elle portait de grosses lunettes rondes. Alice entra à sa suite . Le cours commença . Kamanda donna un mot à James :
Je veux enquêter sur les meurtres.Accompagne moi après les cours.
James la dévisagea, surpris.Kamanda ne plaisantait pas . Elle le regarda d’un regard dure et décider . James pensa : «décidément, cette fille est fascinante » . Il répondait oui et glissa le mot dans le sac de son amie .
Voilà ! C’est fini ! Dites moi si vous voulez la suite
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J’espère que ça vous plaira ❤️🐦🔥
Chapitre 5
Le lendemain, quand Alyssia se réveilla, tout paraissait normal. Elle se leva, réveilla les filles et elles descendirent prendre leur petit déjeuner. Comme on pouvait s’y attendre, c’était exactement la même chose que la veille. Ce n’est que quand Cadence attrapa sa cuillère qu’Alyssia remarqua qu’elle portait de curieux tissus blancs sur les mains.
« Tu t’es fait mal ou tu as juste froid aux mains ? »
Cadence compris tout de suite à quoi Alyssia faisait allusion.
« Ah, ça ? » dit elle en désignant ses « gants« .
« Non c’est juste la prof d’hier qui a décidé de changer sa punition habituelle. »
Pour faire un démonstration, elle effleura la joue d’Alyssia. Le tissu était râpeux. Très râpeux. Pour ne pas dire coupant. Et c’étai la cas. À peine Cadence eut elle retiré sa main, un fin filet de sang s’écoulas de la joue d’Alyssia.
« En vrai ce n’est pas la pire des punitions, j’ai connu bien pire… »
Alyssia frissonna à cette idée. Et un nouveau frisson la parcourue quand elle vit une multitude de gouttes de sang s’échappant du tissu en question. C’est vrai qu’elle n’avait pas pensé au fait que les mains de Cadence EN DESSOUS du tissu devaient êtres meurtries. La pauvre Alyssia venait à peine de se remettre du choc de jours passés et maintenant elle devait en endurer d’autres. Puis Cadence la regarda avec hilarité.
« Quoi ? Qu’est ce qu’il y a Cadence ? »
Les yeux brillant celle-ci lui chuchota à l’oreille :
« Au fait Alyssia, Madame Detravielle m’as pris en aparté hier, et elles m’a dit de te dire que Julia et toi seriez punie pour vos`je cite : « bavardages incesants« . Résultat vous êtes de corvée de toilettes avec moi cette après midi. »
Pour une fois, la parole dépassa la pensée d’Alyssia :
« Rassure moi, c’est une blague ? Elle ne faisait que m’expliquer deux trois trucs. »
« Non ce n’est pas une blague. Préviens miss Julia pour moi d’accord ? »
« D’accord » marmonna Alyssia.
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Cet après midi là fut loin d’être agréable. Entre les marmonnements inutiles de Julia qui se plaignait l’odeur infecte qui régnait, et le léger souci Cadence : Celle-ci avait du mal a se servir de ses mains ce qui était compréhensible étant donné ce qui les entourait. Mais le plus gros du souci était qu’a chaque fois qu’elle parvenait enfin à finir une tâche, il fallait repasser derrière car elle semait quelques gouttes de sang par ci par là ce qui faisait qu’elle n’aidais pas beaucoup voir qu’elle leur compliquait la tâche. Julia finit pas s’énerver :
« Cadence va t’en ton ne vois pas que tu fais tout le contraire de nous aider ? Comme toujours enfaite. Je ne comprends pas comment tu peux accepter de traîner avec elle Alyssia. »finit elle par dire en changeant le destinataire de ces paroles injustes. Mais Cadence répliqua tout simplement :
« Tu me laisse m’en aller et vous finissez le travail sans moi ? Pas si malin que ça de ta part Julia mais je suis d’accord. »
Julia n’eut pas le temps de répondre qu’elle était déjà partie. Quand elles eurent enfin fini le travail Alyssia fut soulagée. Elle rentra dans sa chambre et s’écroula sur son lit. Ni Cadence ni Charlotte n’étaient présente. Au moment ou elle fermait les yeux, elle remarqua que quelque chose clochait. Elle se leva à contrecœur et observa méticuleusement sa minuscule chambre. Et là, la vérité la frappa de plein fouet : ses affaires. Ses seules et précieuses affaires. La couverture de sa grand-mère, le gloss qu’elle avait pris pour se faire belle, son shampoing, son foulard, sa veste, sa robe jaune et les habits qu’elle avait emportés avec elle. Tous. Tous avaient disparus. Charlotte avait sans doute résonne ils les lui avait pris. Ou lui avait on volés ? Alyssia fondit en larmes. Ce n’était pas possible. Son père et sa mère allaient venir la chercher et ses parents ramèneraient tous les autres enfants pour qu’ils ne soient plus jamais traités de la sorte et elle allait récupérer ses affaires. La porte s’ouvrit alors que les larmes coulaient encore. Elle les essuya en vitesse mais c’était trop tard Charlotte les avaient vues. Elles se dévisagèrent et Alyssia pris la parole en premier :
« Mes affaires… »cette phrase fut dite en réprimant un sanglot.
« Je sais. »dit simplement Charlotte doucement. Pas de « je te l’avais dit« pas sympa. Simplement un je sais. Charlotte était sur le point de dire quelque chose quand…
Voilà les filles merci pour votre soutien ♥️
Quand je lis ton histoire, j’ai l’impression d’être à la place d’Alyssia, Cadence….. j’étais sur le pont se pleurer 😭 continue stppppp. Tu es géniale !
Salut 😉😉😉😉😉… Gaga ❤️
Hâte de voir la suite.
C ta vrai histoire ?
Merci 🤩
Désolé erreur technique 🤗😂😅😘
Wahou ! Merci pour les 12 likes ! C’est peu être pas beaucoup mais moi ça me ravie vraiment. Je suis très touchée que vous aimiez mon histoire. Mais par contre ce n’est pas ma vie j’ai tout imaginé.
~Avancer: Chapitre 7~
Les cours se déroulaient ensuite à peu près normalement. Je me concentrais sur les informations que nous donnaient les profs, je copiais les devoirs, je me concentrais pour ne pas penser à mes problèmes. Au dernier cours, on a eu le droit de se mettre à côté de qui on voulait alors Gaby s’est mis sur la chaise qui se trouvait à côté de celle sur laquelle je me trouvais. Je lui sourit alors. Un petit sourire mais pourtant bien présent. Il me regarda sans rien dire, sans rien faire. Il a simplement plongé ses yeux dans les miens. Je me suis sentie gênée alors j’ai détourné le regard. Gaby s’en ai rendu compte. Il a poussé mon bras avec son cahier alors je l’ai regardé pour lui dire d’arrêter puis il me fit signe de regarder son cahier. Alors je lis ce qui y était noté.
-Viens chez moi après les cours on fera le chemin ensemble
J’écris en dessous:
-Euh ok…
-Je veux juste être avec toi.
-Pourquoi ?
-Pour réconforter et soutenir ma meilleure amie (il mit un smiley qui sourit)
-T’es gentil…J’enverrais un message à ma mère après les cours.
J’étais chamboulé. Perdue dans ce que je ressentais. Je refusais de perdre Gaby, alors je m’efforça d’oublier tout ça. A la fin des cours, Gaby et moi nous dirigeons vers le portail. Il me racontait comment il avait marqué un panier à son dernier match de basket. J’écoutais vaguement.
-T’as envoyé un message à ta mère ?
-Ah oui c’est vrai j’avais zappé attends je lui envoie un message de suite.
J’envoie alors “Coucou maman ! Je peux aller chez Gaby ? On voudrait réviser on a déjà une éva qui se prépare” deux minutes plus tard ma mère me répond:
-Et donc là tu veux me faire croire que tu as une éva le premier jour ? Tu peux y aller mais avant, dis-moi la vraie raison mon chat.
-Chagrin d’amour Gaby veut que je vienne chez lui pour en parler.
-D’accord tu me raconteras ça ce soir et ne me mens plus ça ne sert à rien tu peux tout me dire.
-Merci maman. Je t’aime (j’ajouta un émoji coeur)
-Moi aussi
Je me tourne vers Gaby puis je remarque qu’il avait lu nos messages. Je n’étais pas en colère. Il connaît mes parents depuis tout petit et de même pour moi. Je ne sais pas pourquoi mon coeur me joue des tours. C’est sûrement parce qu’on est très proche et qu’on se dit tout. Oui ça doit être ça on est meilleurs amis les autres m’ont perturber avec leurs histoires d’amour entre nous deux. Et puis l’histoire avec Tristan m’a pas mal chamboulée.
On arrive devant sa maison. Gaby posa sa main glacée sur la mienne et me dit:
-Faut que je te montre un truc incroyable !
Le contact de nos mains entrelacées fut différent de d’habitude…Mais je ne sus expliquer pourquoi.
Et voilà. Désolée avec les cours j’avais oublié de poster la suite ^^’
Troopp bien. Vraiment incroyable ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
TROP BIEEEN j’adore !😊
Sympa le pseudo ☺️🐦🔥
Merci, T’as la ref ??? 🐙🦑🎮
Trop bien ! A quand la suite ?
Je suis accro 🙂 !!
xD