Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Coucou les filles!
C’est Lavande1008. J’ai débuté une nouvelle histoire, pas du tout sur le même thème que « Derrière l’armoire »! J’espère que vous ne vous mélangerez pas!
Introduction
C’était un froid matin d’hiver, et je me dirigeais vers mon arrêt de bus. Ma rue était illuminée par les lampadaire, et, bien emmitouflée dans ma doudoune, je marchais d’un bon pas pour me réchauffer. A côté de moi, mon frère, Matteo. Il est en 6°,dans le même collège que moi, mais il est très fragile. Moi, je suis en 5°. Donc, nous marchions vers notre arrêt de bus et tout à coup, les lampadaires se sont éteints. Matteo, frissonnant, s’est rapproché de moi. Il n’y avait plus aucune lumière dans le quartier. Les habitants sortaient de leur maisons, eux aussi touchés par cette panne d’électricité.
– Matteo, avance. Le bus arrive dans exactement 4 minutes et 17 secondes, dis-je à mon frère.
Je suis quelqu’un de très précis. J’aime que les choses se passent comme elles doivent se passer. Nous accélérâmes donc, et, trois minutes plus tard, nous étions arrivés à notre arrêt, toujours dans le noir le plus complet. J’avais un mauvais pressentiment, mais n’ai pas fait part de mes craintes à Matteo, pour ne pas l’effrayer davantage. Soudain, un grand trou bleu et lumineux s’ouvrit devant nos yeux. Mon frère poussa un cri de peur, et moi, je le plaqua à terre et m’allongea sur lui. Notre mère nous avait appris à nous protéger des attaques terroristes, et il était de mon devoir de protéger Matteo. Nous entendîmes des cris de guerre, de rage, et ensuite, il me semble que la boulangère, Mme Carmilai, nous entraîna dans sa boulangerie, la porte fermée à clé. Sans prononcer un mot, elle nous entraîna au sous sol de sa boutique, décala un grosse bibliothèque, s’ouvrant sur un couloir étroit. Elle nous poussa dedans, et nous donna un panier et une chandelle. Elle referma la porte, et nous courûmes dans le couloir. Une fois hors de danger, nous nous assîmes par terre, et observâmes le contenu du panier. Il y avait de la nourriture, et une petite lettre. Je la lus à voix basse :
Mes chers enfants,
Les SangPourpres sont arrivés dans notre paisible petit village, vont bouleverser notre paisible petite vie. Ce sont des hommes sans pitié, qui vous battrons jusqu’au sang si ils vous trouvent. Je ne me suis jamais fait repérer jusque là, mais ce qui vous arrive après la capture est horrible. Écoutez bien les conseils de Mme Carmilai. Si elle se fait tuer, ne sortez SURTOUT pas de là où elle vous à caché, sinon…
Avec tout mon amour,
Maman.
Avec, il y avait une autre lettre, cette fois-ci adressée uniquement à moi. La voici :
Ma chère Olivia,
Quoi qu’il arrive, protège Matteo. Ils sont sans pitié : ils le tuerons si ils le trouvent. Oli, c’est toi qui a hérité de mes dons de magicienne : sers-toi-en pour faire le bien et non le mal.
Bonne chance ma petite, ma toute petite fille,
Adieu,
Maman.
PS : à l’heure où je t’écris, je suis morte, et Père aussi. Fais très attention, et ne parle de rien à Matteo avant qu’il atteigne la majorité.
Ensuite, je me suis endormie, et ne me suis réveillée que depuis le début de mon récit. Nous sommes encore dans le tunnel, mais nous entendons des pas. Et si c’était les SangsPourpres…
Chapitre 1.
Je m’appelle Olivia, et je suis chasseuse de dragons. Je sais, ce n’est pas commun. Mais il en est ainsi, et cela ne changera jamais. Nous sommes en 3025, fin janvier. Nous venons d’arriver dans le camp de borzalom , en Hongrie.
Borzalom signifie « horreur » en hongrois, alors imaginez ma vie…
Je vais vous expliquer comment fonctionne le camp :
La première chose que vous devez savoir est que le camp mélange 3 styles de vies : celle du passé ( vers le XIIIeme siècle), celle de l’ancien temps ( en 2025) et celle de maintenant ( 3025).
La deuxième est que ce camp est réservé au personnes de 11 à 15 ans.
Voici comment se déroule la vie au camp pour les garçons :
Le matin : le matin, les garçons partent dans la forêt étudier les méthodes de défense de 6 heure à 12 heures
Le midi : ils mangent dans la Grande Salle
L’après-midi : ils s’occupent à leur métier ( chasseur de dragons, soldat, etc)
Le soir : ils mangent de nouveau dans la Grande Salle et ensuite, ils vont travailler leur logique avec un vieux sage, M. Garmisan.
Pour leur style vestimentaire, ils portent un pantalon en toile avec une chemise et ils sont chaussés de bottes en cuir.
Le fonctionnement est très différent pour les filles :
Le matin : elles étudient les bonnes manière d’une future mariée et également le français, l’anglais et la musique de 7 heure à 12 heure
Le midi : elles mangent dans les cuisines
L’après-midi : elles s’occupent à leur métier ( chasseuse de dragons, couturière, etc)
Le soir : elles mangent toujours dans les cuisines et ont cours de maintien de 20 heures à 21 heure.
Pour le style vestimentaire, on porte généralement un corset avec par dessus une robe aux grands jupons. Mais pour celles qui ont un métier qui s’exerce dehors, elles enfilent une jupe moins épaisse accompagnée d’une chemise. La plupart du temps, elles sont en escarpins mais pour ces métiers-là, nous portons des bottes hautes. Le jour de repos des filles est le jeudi, celui des garçons le mardi et le dimanche, nous avons nos leçons diverses, comme le catéchisme et le piano. Je précise que l’apprentissage d’un instrument est obligatoire, et les cours de catéchisme aussi. La nuit, nous dormons dans des dortoirs séparés. Il est interdit d’avoir un portable, ou n’importe quel objet électronique, et les relations amoureuses aussi. Quand nous aurons 15 ans, ils nous enverrons dans un autre camp, fájdalom ( cela signifie douleur) qui accepte les enfants de 15 à 17 ans. Nos ravisseurs, le clan des SangPourpres, insistent pour que nous les appelions les Pères. Nous, les filles, devons présenter nos intention 6 mois après nos treize ans :
– soit nous nous marions avec un garçon du clan (les liaisons de filles sont interdites, et cela m’énerve!)
– Soit nous rejoignons l’Ordre des Mères, la version féminine de l’Ordre des Pères.
Cette vie est horrible, surtout que je ne vois jamais Matteo… Son métier à lui, c’est cueilleur : il va ramasser de la nourriture en forêt. Il voudrait être chasseur, mais il n’a pas la majorité…
Donc, je suis arrivée à borzalom hier soir, apportée par je ne sais qui. Oh, et, je ne vous ai pas dit, mais les Pères sont âgés de 13 à 15 ans ; ils ont presque le même âge que tous les habitants, ou plutôt dirais-je, prisonniers du camp. La sorcellerie est fortement punie. Les Pères n’hésitent pas à faire enfermer leurs propres frères et sœurs dans ce trou à rats. Dans mon dortoir, le dortoir Jacinthe, nous sommes quatre : Coraline Duchamp, Camille Laresse, Lilou Carmilai (la fille de la boulangère de mon village) et moi. Je n’ai fais plus ample connaissance avec personne, là, il n’est que 6 heures et demi et je dois aller me préparer. Coraline s’étire, Camille baille et Lilou dort encore. Je m’approche doucement du lit en bois d’acacia sur lequel je dors, et récupère mes affaires. Ensuite, je vais réveiller Lilou, car si elle ne se réveille pas, cela sera un saut d’eau glacée par Père Ferus.
– Hey, Lilou, réveille toi ! Lui chuchotais-je dans l’oreille.
Elle commence à émerger de son long et profond sommeil et me répond :
– Salut, la nouvelle ! Bien dormi ?
J’acquiesce, lui sourit et sort dehors. Nous sommes en période d’hiver, et il fait froid : malgré tout, nous faisons notre toilette dans des rivières. Il y a des centaines de sources individuelles : nous nous lavons dedans comme si nous prenions un bain. Le travaille des laveurs est de nettoyer et de filtrer l’eau afin qu’elle soit propre pour notre prochain passage. A mon arrivée, Père Garsefian m’a remis une trousse contenant des serviettes, un savon, de des draps, deux tenues et une bourse contenant vingt euros. Cela me permettra d’acheter le nécessaire pour travailler, et chaque mois, nous avons un salaire de 150 euros.
Je fais donc ma toilette, et enfile mes vêtements : aujourd’hui, enfin du moins ce matin, je porte mon corset ( serré au maximum par Camille), des collants blancs, un chemiser rose dragée avec les jupons assortis. Je ressemble à la femme de Louis XIV dedans…
Quelques minutes plus tard, un carillon sonne pour réunir tout le monde là où il mange. Je me dirige donc vers les cuisines pour prendre mon premier repas dans ce lieu de torture. La cuisine embaume le pain grillé et la lavande, un délicieux fumet qui me fais penser à chez moi. Je n’ai pas très faim,mais me force à avaler un bout de pain pour ne pas rien avoir dans le ventre jusqu’à midi. La cloche sonne de nouveau, et Mère Samony vient nous chercher pour aller dans nos salles de classes. Elle est la directrice de cette école. Tout d’abord, nous nous réunissons dans une grande cour, où elle nous appelle par niveau ( âge). Voici ma classe :
– Coraline Duchamp
– Camille Laresse
– Lilou Carmilai
– Violette Hugues
– Pénélope Lorbette
– Olivia Darbek
– Tania Kelliene
– Fanny Majiu
Et c’est partit pour ma première matinée de cours…
Voilà! Juste, est ce que vous auriez des idées de titre pour mon histoire?
Gros bisous 🙂
Elle est géniale ton histoire je veux tellement la suite en plus ton style d’écriture et super tu as beaucoup de talent
Saluuuut 🤪🙃
Chapitre 3 :
Jour et nuit,
Pour une de ces fois rares, je me suis exprimer. J’ai dit quelque chose d’assez incroyable en fait ! Mais après que cette phrase sois sortie de ma bouche, on m’a fait les yeux noires. J’ai dit :
– Elle n’aura qu’a bien se tenir cette « Luna » ! Car si elle est aussi collante et barbant que son père, ça ne vas pas le faire.
Aussitôt ma parole terminée, j’ai couru dans ma chambre pour plus que personne ne me regarde de travers. Je m’en voulais. Quelques minutes plus tard, je suis parti au collège. J’étais heureuse de revoir ma meilleure amie après ce long week-end.
– NOELINE !!!! Ai-je hurler.
– Ah ma besta !
M’a t’elle répondu. Noeline c’est ma vie, ma jumelle, mon sang, mon double. Je ferais tout pour elle. On se connaît depuis nos 3 ans, une amitié ET-ER-NEL ! Elle est rousse, yeux verts, taches de rousseur, une beauté. Mais à peine un mot a voulu sortir de ma bouche, que la sonnerie a retenti et on s’est précipité en cours.
C’était un peu cours mais j’avais pas d’inspi déso 😅
Bisouuuus 🤪
Nan mais c trop bien !! J’ai trop hâte de voir la suite !!
PS: un chapitre n’a pas besoin d’être long pour être de qualité 😉
Derrière l’armoire
Chapitre 5
Je me suis figée, tremblant de la tête aux pieds. Un gloussement a retenti dans la ruelle où je me trouvais. Je me suis retournée, réprimant un cri de peur. Tout à coup, quelque chose m’effleure l’épaule. J’ai a peine le temps de voir une ombre s’enfuir a quelques mètres de moi avant qu’elle ne disparaisse. Suite a cela plane dans l’air une odeur de savon à la pêche. Mon IPhone vibre dans ma poche. Je le sors et consulte l’écran. 1 nouveau message.
Tu n’aurais jamais dû t’aventurer par là, ma belle. Je sais tout.
«K»
Je deviens toute blanche. Je tape sur le clavier a toute vitesse et répond :
Non, tu ne peux pas savoir !
Une seconde après, mon téléphone sonna.
Oh que si. Je la vengerai, ne t’inquiètes pas…
« K »
Vous ne comprenez pas ? Revenons un peu en arrière.
Juin 2023.
Je suis avec mes 3 meilleures amies, Alison,Keylie et Héloïse. Nous sommes les reines du collèges, les plus populaires. Keylie (que l’on appelle souvent Kay) et Alison sont jumelles, elle ont le visage en forme de cœur et de longs cheveux roux bouclés. Héloïse est brune. Nous sommes en train de planifier notre fête, prévue le 5 juillet. Seulement, Kay n’arrête pas de pianoter frénétiquement sur son portable. Quand nous lui demandons à qui écrit-t-elle, elle glousse et nous répond : a mes potes de tennis. Le soir de notre fête, j’avais mis la même robe qu’elle, ce qui la fit entrer dans une colère noire. Elle me lance, haineuse et surtout devant tout les invités :
-Alors, de 1, tu me suis comme un chien, et de 2, tu portes la même robe que moi ? Sale garce ! Je suis sensée être la reine de la soirée, et tu gâches tout ? On fête MON anniversaire, je te signale ! Tu es officiellement désinvitée de ma fête ! Dégage, hurla-t-elle.
Une colère sourde m’aveugle et je m’entend crier :
-Espèce de peste ! Je l’ai acheté bien avant toi, et je pense que tout le monde mérite de savoir que c’est une fausse, ta robe ! Tu ressembles à une baleine dedans ! Va pourrir en enfer !
-C’est sur que ressembler à un cachalot dans la robe cousue par maman, c’est mieux, pas vrai ? Ricana t-elle.Et de toute façon, je ne t’ai jamais aimée, pourriture ! Tu gâches ma beauté, donc maintenant pars !
-Arrête, Kay, supplia Alison.
-Oui, tu vas trop loin là ! Ajouta Héloïse.
-Oh et puis vos gueules vous aussi ! Dégagez, de toutes façon, je vous préfère bien Lauren, Lyna et Clarice ! Rétorqua Keylie.
Emportée par ma colère, je l’ai poussée. Son cou a heurté un petit muret avec un craquement épouvantable. Elle ne s’est pas relevée, et, épouvantée par ce que j’avais fais, je me suis enfuie, Héloïse et Alison sur mes talons. Une semaine après, la nouvelle faisait la une des journaux ; Keylie, qui n’était pas morte, s’était volatilisée. Elle était partie de l’hôpital où elle était retenue. Quand on a appris cela, avec les filles, on a eu super peur qu’elle ne revienne et se venge. Mais elle n’est pas revenue, et on l’a retrouvée morte, dans le Nevada, vers Las Vegas. C’est avec soulagement que l’on a pu retrouver une vie tranquille,Alison,Héloïse et moi. Voilà pourquoi je me suis inquiétée. J’en suis certaine, « K », c’est Kay. Mais elle est censée être morte, non ? Je me mis à sangloter. Je repris mon téléphone et commença à composer le numéro de la police lorsque mon portable vibra à nouveau. 1 nouveau message.
Je te conseille de reposer ce téléphone et de ne rien faire du tout, sinon…
« K »
J’ai, malgré les menaces, appelé la police. Ils m’ont répondu que c’était n’importe quoi, que je devais délirer. Malgré le fait que je rétorquais que je savais ce que je disais, ils m’ont demandé d’aller me reposer et d’arrêter mes « bêtises ». Soudain, j’ai entendu des pas précipités et des chuchotements. J’ai entendu :
-Les mais en l’air, vous êtes en état d’arrestation.
J’ai levé les mains, mon cœur battant la chamade. Ils m’ont ligotée, et malgré l’obscurité, j’ai distingué l’emblème d’Oliste. Comment pouvaient-ils savoir que j’étais là ? Ils m’ont ensuite littéralement jetée dans le coffre d’une Audi noire. D’après ce que j’ai entendu, ils s’appellent Clément et Eliott. Ils ont l’air très contents de leur prise, ricanent sans cesse en me regardant. Je me suis tortillée dans mes liens et ai attrapé mon Iphone. Évidemment. 1 nouveau message.
Je t’avais prévenue, Clara chou. Tu dis tu payes. Bon séjour poupée:)
« K ».
Quelques minutes plus tard,nous arrivons devant un immense palais tout en améthyste. J’ai immédiatement deviné que c’était celui de Axel. On m’a enfermée dans une prison qui sentait l’œuf pourri. J’étais la seule pensionnaire. La cellule contenait juste un lit, une table minuscule, une table de nuit avec une lumière et un paravent révélant un lavabo et un WC. Il y avait un gant de toilette vert qui sentait le citron avec une serviette assortie. Il y avait également un savon à l’amande et à l’avocat. Dans la table de nuit se trouvait un livre et des draps propres. Il y avait aussi un stylo et des feuilles de papier. J’ai entrepris de faire mon lit et ai sortit le livre. C’était Jean de Florette. Je l’avais lu en 6°. Je le reposa et me suis assoupie quelques minutes avant que l’un de mes ravisseurs ne viennent me dire ;
– Ton sort sera décidé demain à neuf heures précises. Voilà ton repas, dit il en me tendant un panier.
Je l’ouvris et regarda ce qu’il contenait. Un thermos avec une soupe de pois cassés, un bout de pain et un yaourt. Un yaourt à la pêche. Le parfum préféré de Kay. Ils le font exprès ou quoi ? Après avoir dégusté mon repas, je déballais mon sac. Plutôt, j’en sortit ma chemise de nuit. Je fis ma toilette, m’allongea sur mon lit et repris Jean de Florette. Je venais à peine d’entamer ma relecture que j’entendis une voix moqueuse :
-Alors, tu te plais dans ta maison provisoire, Clara chou ?
Estomaquée, je le regarda, mes yeux écarquillés de peur.
-T’as dis quoi ? Répondis-je.
-Tu te plais dans ta maison provisoire, Clara chou ? Répéta-il, agacé.
-Vous avez lu mon portable ? Hurlais-je, épouvantée.
-Mais non, rétorqua-t-il, énervé. Je t’appelle Clara chou pour t’énerver, bécasse !
Il partit en tapant des pieds, déçu que son surnom idiot ne m’aie pas fait l’effet voulu. Je m’endormis, le sommeil lourd de cauchemars. Quand je me suis réveillée, il était 8 h 30 et un panier similaire à celui d’hier soir reposait au pied de la table. Je revêtis une longue robe noire Diane von Fürestenberg et noua mes cheveux en une natte retenue par un ruban de satin noir. J’enfilai mes bottines Kate Spade et m’aspergeai de mon parfum Nina Richi l’Air du Temps et m’assit pour déjeuner. Le panier contenait des tartines, un jus d’orange et une pomme. Une fois mon déjeuner fini, Eliott vint me chercher pour mon audience. Je m’installa sur une chaise, surveillée de près par Clément et son accolyte. Axel s’éclaircit la voix et dit :
-Nous sommes aujourd’hui réunis pour l’audience de Clara Delmonge, qui est entrée dans le royaume sans permission. Elle est la reine d’ Avelia , et nous allons décider de son sort ce matin.
Il avait un sourire horrible sur les lèvres, et cela ne présageai rien de bon.
Chapitre 6
Après un long discours sur des règles idiotes, que je n’ai pas écouté, d’ailleurs car j’étais trop occupée à regarder une certaine personne.
Je n’avais jamais remarqué combien Axel ressemble à Alexandre…
-Et donc, repris une voix, Clara va être libérée à une seule condition… dit-il avec un sourire coquin sur les lèvres. Soit elle me lègue son royaume, soit elle…
-Oui, oui, répondis-je, dans mes pensée.
-Quoi ?! Tu acceptes de m’épouser ? Demanda- il, consterné.
-Hein mais pas du tout ! Je n’ai jamais dis ça ! Criais-je, horrifiée. Jamais de la vie !
-Clara, vient donc avec moi, chuchota-il entre ses dents. L’audience est finie, Clara reste en prison !
Une salve d’applaudissements retentit après son annonce. Il m’entraîna dans un couloir peint en rouge pourpre. Il me poussa dans une chambre vide.
-Je suppose que tu viens de le remarquer, dit il en soupirant.
-De quoi tu parles ? Répondis-je en fronçant légèrement les sourcils.
-Bah, t’as toujours pas capté ? Souffla-il, excédé. Le fait que je ressemble à quelqu’un de ta connaissance ?
-Tu parles d’Alexandre, là ? Murmurais-je, stupéfiée.
-C’est mon… mes… bon, mon jumeau. Dit-il en détournant les yeux.
Alors là…
-Tu l’aimes, pas vrai ? Il est plus gentil, plus beau, plus classe que moi et que tout autre garçon d’ailleurs.
-Oui, chuchotais-je en rougissant. Mais, tu m’aimes, euh, vraiment ? Ce n’étais pas des rumeurs ?
-Non, je t’aime vraiment, depuis toujours, depuis le jour où je connais ton prénom, et toi, tu me préfères mon frère ! Cria-t-il.
-Arrête, tu vas alarmer tout le palais ! Rétorquais-je.
-Je m’en fous ! Hurla-t-il. Espèce de garce ! Il m’a pris ma place, m’a volé ma vie parfaite ! Il devait gouverner Oliste, devait trouver l’épouse parfaite, toi ! Mais il a préféré partir avant, pour me prendre ma vie et user sur toi d’un charme d’Amour ! Tu ne l’aimes pas vraiment ! Tu es ensorcelée, finit il, essoufflé.
-Mais pauvre idiot, la seule personne que j’aime, c’est…
Il ne me laissa pas finir ma phrase et m’attira contre lui. Il sentait l’eau micellaire à la lavande, et l’esquimau à la vanille. Il pressa doucement ses lèvres contre les miennes, et me dit ensuite :
-Pars, et dépêche toi avant que je t’en vole un autre.
Ébahie, et les joues rouges, je sortis de la chambre très rapidement. Je filais vers ma cellule et fourra toutes mes affaires dans mon sac à dos. Je courus vers la sortie et partis sans demander mon reste. Je ne savais absolument pas où aller, alors je me suis mise à marcher dans l’espoir de trouver un abri pour la nuit. Quelques heures plus tard, je vis enfin une auberge appelée «La rose écarlate». Je rentrais dedans. Il faisait chaud. Une cheminée en marbre blanche trônait sur un des murs peints en turquoise. Des canapés roses pastels avec l’air moelleux étaient disposés astucieusement autour de la cheminée et un tapis turquoise donnait une allure cocon à la pièce. Des tableaux ornaient les murs. Un bar en bois d’acacia avec des tiroirs de rangements rose fushia à l’intérieur reposait contre le dernier mur. Une hôtesse avec de longs cheveux roux m’accueillit. Elle me dit :
-Bonjour et bienvenue à la Rose Écarlate ! Souhaitez vous une chambre ?
-Oui, s’il vous plaît, répondis-je.
-Parfais, dit-elle.
Elle farfouilla dans un des tiroirs et sortit une clé dorée.
-Vous êtes chambre 15, au 2ème étage, dans le 12ème couloir.
Étais-ce fait exprès ? Cloé, comme l’indiquait son badge, avait donné l’exacte date de naissance de Kay, le 15 février 2012. Bizarre… Une fois l’ascenseur pris, je rentre dans la chambre, pose mon sac et m’allonge sur mon lit. Je saisis mon téléphone et le consulte.2 nouveaux messages.
Si tu veux mon avis, méfie-toi de cet endroit. Va regarder cette page Facebook et lis le journal qui se trouve dans ta table de nuit…
« K »
Il y avait ensuite une adresse Web.
fr-fr.facebook.laroseécarlate.com
Je clique sur la page et découvre les commentaires. Estomaquée et les yeux écarquillés, je lis les avis.
Jasmine
N’allez surtout pas dans cet endroit ! C’est l’auberge la plus dangereuse d’Oliste : ils conservent du sang en cuisine !
Marc.
Endroit hostile, horrible, hôtesse sanguinaire, j’ai faillis mourir là-bas !
Eleanor
Ma fille est morte. Ils conservent son sang en cuisine. Plus jamais je n’irai dans cet endroit de tueurs en série.
Léon.
Cet hôtel est sincèrement le pire dans lequel je suis allé. Je vous explique leur technique cannibale:
Les soirs de pleine lune, à minuit, ils se faufilent dans votre chambre, vous tue en vous coupant la gorge, récupèrent votre sang et certains de vos organes pour en faire de la viande et de la sauce. Armez vous très vite car vous ne pourrez pas sortir, la fenêtre et la porte sont verrouillées à double tour !!
Oh mon dieu. J’ouvre ensuite ma table de nuit à l’aide d’une épingle, et sors le journal. Le gros titre est :
De nouveaux morts à la Rose Écarlate
Je fais une recherche Google pour voir le calendrier des pleines lunes, le voici ci dessous :
Mois
Dates des pleines lunes
Heures.
Janvier
11/01
19h26
Février
10/02
15h48
Mars
12/03
07h52
Avril
10/04
10h14
Mai
11/05
21h57
Juin
12/06
00h56
Juillet
10/07
1h18
Août
12/08
00h00
Septembre
11/09
05h59
Octobre
10/10
14h30
Novembre
11/11
11h53
Décembre
12/12
12h46
Oh non non non non non. Il est 23 h, et j’ai moins d’une heure pour réfléchir.
Chapitre 7.
Évidemment, nous sommes le 12 août. Je secoue frénétiquement la poignée de la porte. Fermée. J’essaye d’ouvrir les fenêtres. Fermées. J’ai peur. Très très peur. En regardant par la fenêtre qui donne sur le couloir, je vois Cloé qui entre dans une pièce. Je suis quasiment sûre qu’elle s’apprête à commettre un crime… Bingo. Elle sort de la chambre dans laquelle elle vient d’entrer avec un bocal rempli d’un liquide rouge. Du sang. Mon Dieu. Et dire que je vais subir la même chose. Soudain, j’entends un cliquetis. Ma porte s’ouvre silencieusement. Une adolescente apparaît. Ouf, j’ai cru que c’était l’hôtesse. Elle me dit :
– Komdu fljótt. Hún ætlar að drepa þig.
-Quoi ? Chuchotais-je .
Sans me répondre, elle me mit mon sac dans les mains et m’attrapa le poignet. Elle m’entraîna hors de la chambre et la referma à une vitesse ahurissante.
-Við verðum að hlaupa. Eins fljótt og hægt er, annars erum við dauð, chuchota t-elle.
Elle se mit alors à courir. Je fis de même. Une fois sorties, elle me dit :
– La première fois que je t’ai parlé, je t’ai dis : Viens vite, elle va te tuer. La deuxième, je t’ai dis de courir le plus vite que tu pouvais, car sinon on étais mortes. Et c’est du finnois, pour ta gouverne.
– Euh, d’accord. Mais, comment t-appelles tu ? Demandais-je.
– Je m’appelle Alison. Ali, pour les intimes.
-Ok. Pourquoi es tu ici ? Questionnais-je.
– On devais faire un voyage, moi et ma famille. J’ai perdu ma jumelle récemment, et on devait se reposer. Et…
Elle se mordit la lèvre, et commença a pleuré.
– J’étais enfermée dans les toilettes, et quand je suis sortie, j’ai vu mes parents morts dans leur lit. Par terre, un morceau de papier. Je l’ai pris, et ai vu ceci : en guise de titre, Mort. Il y avait plein de numéros de chambre. Les rares qui survivent sont ceux qui se sont enfuis, ou ont été sauvés.
-Mais quelle horreur ! Je te dois une fière chandelle, Alison. Mais dis-moi, j’ai un mauvais pressentiment… Ta jumelle, elle ne s’appellerait pas Keylie ?
– Si… Tu la connaissais ? Dit elle.
– Je…je crois bien que oui. Où habitais-tu avant ?
– A Santa Monica.
-Moi aussi…
– Attends. Comment tu t’appelles ? Demanda-t-elle.
– Je m’appelle Clara…
-Oh mon Dieu mais c’est toi !
Elle se jeta dans mes bras.
-Ali… chuchotais-je. Tu m’as manqué.
-Oh toi aussi ma Clara. Je te cherchais. J’ai une mauvaise, très mauvaise nouvelle. A propos de Kay.
Elle commença à raconter :
-On était tous persuadés qu’elle étais morte. Ce que tu ne savais pas, c’est qu’on était en fait des triplettes. Notre sœur s’appelait Léonie. Elle était dans une école spécialisée pour la danse. Kay avait tout manigancé. Elle a tué Léonie, en faisant croire que c’était elle qui était morte. Quelques semaines auparavant, elle avait supplié les parents de l’inscrire à des cours de danse, et ils ont accepté. Après son meurtre commis, elle a prit la place de Léonie dans son école, et était en contact avec Cloé. Cette dernière lui a demandé de tuer les parents, ce qu’elle a fait. Ce que je ne comprends pas, c’est POURQUOI elle a fait ça.
– Comment a tu appris cela ? Lui demandais-je.
– Elle m’a envoyé un mail il y a deux jours, répondit-elle.
– Est-ce qu’elle t’as dis où elle se trouve ? Interrogeais-je.
– Oui. Elle est à Santa Monica. Elle m’a dit vouloir expliquer la situation aux parents, puis trouver une petite ville pour y vivre.
Oh non… Cela va compliquer mes plans. Je voulais continuer à chercher Mélina ici car c’est dans cette ville… Attendez, je vais vous expliquer une chose essentielle. Avelia est un État, divisé en plusieurs villes comme Oliste et Aquavelia. C’est qu’on appelle une abrégée. Une abrégée est un pays dont les humains n’ont pas connaissance. Seule les personnes dotées de pouvoirs magiques peuvent découvrir un passage spécial, pour accéder à la cité qu’il devra diriger ( moi, je dirige Avelia). Cela peut être de famille (comme moi) ou juste sur une personne. Donc je vais devoir remonter jusqu’au passage pour empêcher Kay de faire n’importe quoi puis redescendre pour sauver Mélyna ? Mais comment vais-je faire ?
– Je peux aller diriger Kay à ta place, dit soudain Alison.
-Mais j’y pense, si tu es là, c’est que tu as des pouvoirs magiques ! Hurlais-je.
Tout de suite, je saisis mon téléphone. 1 nouveau message.
Ni rien ni personne ne m’empêchera de faire des bêtise… Oups, j’en ai déjà fais une 🙂
« K »
-Est ce que toi aussi, tu reçois des messages comme ça ? Questionnais-je.
– Non, répondit Alison.
J’ai peur. Je ne sais pas ce que signifie ce message. Tilt ! « K » m’a envoyé une photo. Je lâche mon téléphone, et m’évanouis.
Quelques heures plus tard.
J’ouvre doucement les yeux, et sursaute en voyant Ali penchée au dessus de moi. Je ne reconnais pas l’endroit où nous sommes.
– Eh, dit mon amie. Ça va ?
– Oui, ai-je soupiré. Mais où sommes- nous ?
– A Avelia, répondit-elle. Je t’ai transportée jusqu’ici avec une brouette abandonnée.
Elle se mordit la lèvre en grimaçant.
-J’espère que tu ne m’en veux pas pour le confort de mauvaise qualité !
Elle explosa de rire, et moi aussi.
-Donc, ai-je repris, nous sommes au château.
-Oui, confirma t-elle. Il faut à tout prix que l’on retourne à Santa Monica. Je crois que Kay a fait du mal à ta famille.
Une servante s’approcha de moi et dit :
– Je suppose que vous cherchez un moyen de transport très rapide ?
– Oui, répondit Ali.
– Il se trouve que mon arrière-grand-père était un occloteur, c’est à dire un vendeur d’objets magiques. Et il se trouve qu’il est toujours en vie…
-Il me faut absolument le rencontrer, la coupais-je.
– Pas de problème, conclus t-elle. Il arrive.
Un nuage de fumée envahit la pièce, et un homme avec une barbe d’une longueur incroyable apparut.
– Bonjours, mesdames. Vous m’avez demandé ? Questionna t-il d’une voix rauque.
– Absolument. Nous avons besoin de l’un de vos objets magiques qui pourrait nous transporter dans une contrée lointaine rapidement, dit Alison.
– Mais je peux vous offrir cela, en échange d’une petite faveur, affirma l’occloteur.
-Tout ce que vous voulez, criais-je, excédée.
-Je voudrais un emploi au palais, majesté, demanda t-il alors.
– Bien sûr, dis-je. Que voulez-vous faire ?
-Je voudrais être cuisinier mais pouvoir donner des spectacles de magie, répondit t-il.
-Pas de problème. Mélissa, apporte donc une fiche de contrat s’il te plaît, conclus-je.
– D’accord, répondit ma gentille servante.
Elle revint quelques minutes plus tard avec une fiche de contrat et deux petits pots. Le premier pot, gravé à mes initiales, contenait l’encre sacrée. On ne pouvait signer les contrats qu’avec cette encre spéciale. Le deuxième, fait en diamants, contenait une poudre que l’on devait répandre sur le contrat une fois celui-ci signé pour l’enclencher. Nous fîmes donc le rituel, et l’occulteur, qui se nommait Claude, nous tendit un sablier.
– Vous avez juste à le secouer pendant une minute, prononcer le nom de l’endroit ou l’adresse où vous souhaitez vous rendre et vous y serez en cinq secondes chrono, expliqua t-il.
– Merci beaucoup. Votre service commence à 18 heures précises au restaurant de la Grande Salle, le remerciais-je.
Je commençais à fureter dans ma chambre pour réunir le nécessaire pour un voyage à Santa Monica. Ali fronça les sourcils en me voyant enfourner des maillots de bain et deux queues de sirènes dans le sac.
– Qu’est ce que tu fais ? Nous n’aurons pas le temps de nous baigner une fois en Californie, me dit-elle.
-Non, c’est pour retourner à Avelia une fois que nous aurons terminé notre quête. Il y a un passage sous-marin, lui expliquais-je.
– Ah, d’accord, souffla t-elle.
Elle m’aida à réunir de la nourriture, des vêtements, etc. Je lui demandas :
-Maîtrises-tu tes pouvoirs ?
-Non, pas encore,s’excusa-t-elle.
-Mais comment-vas-tu faire si Kay a des pouvoirs ? M’exclamais-je, énervée.
– Je ne sais pas… chuchota-t-elle.
Je sais ! Je fis un rituel magique pour appeler Lassie. Elle apparut un instant plus tard.
-Hello Clara ! Comment vas-tu ? Couina la petite chienne.
-Ça va et toi ? Répondis-je à mon amie.
-Très bien ! Pourquoi m’as tu appelée ? Demanda Lassie.
-J’ai besoin que tu aides mon amie à découvrir et à contrôler ses pouvoirs, lui dis-je.
– Pas de problème, commença t-elle. Eh, dit t-elle à l’attention d’Alison. Lève tes mains vers le ciel et concentre toi au maximum, continua t-elle en utilisant le même discours que pour moi.
Alison obéit et une lueur argentée surgit de ses mains.
– Tu as le pouvoir du voyage, du choix et de la vérité.
Lassie expliqua à mon amie comment utiliser ses pouvoirs et une heure plus tard, nous étions prêtes à partir. Je pris la main d’Ali et je sentis qu’elle tremblait.
-Eh, lui murmurais-je. Ça va aller, hein ?
-Oui, me répondis-t-elle en réprimant un sanglot.
Je secouais le sablier et nous clamâmes en choeur :
– La Californie, Santa Monica, allée des Jonquilles, n°563.
Quelques instants plus tard, nous nous sentîmes aspirées par un tourbillon, et une minutes après, nous atterrîmes dans la chambre des parents d’Ali.
Elle me dit :
– Il faut que l’on découvre immédiatement où elle se trouve, car si elle est dans la maison, nous sommes en danger ! Mais, j’y pense, ma mère -elle prit les larmes aux yeux- nous avait mis des traceurs sur la peau, ce qui fait que nous pouvons savoir où elle est.
Elle ouvrit un tiroir et en sortit un ordinateur Apple.
– Machin, application, traceur, marmonna t-elle. Viens voir, on peut enfin voir où elle est.
Soudain, avant même que je n’ai pu la rejoindre, elle devint blanche comme un linge.
-Oh mon Dieu, chuchota t-elle, la gorge nouée.
– Qu’est ce qu’il y a ? m’inquiétais-je.
-Elle est bien dans la maison. Pire, elle est…
-Dans la chambre où nous sommes, répondit une voix bien trop familière.
Chapitre 8
Nous nous retournâmes en chœur, le cœur battant la chamade.
– Kay ? Chuchota Ali.
Personne ne répondit.
-Il faut qu’on s’enfuie d’ici, dis-je. TOUT DE SUITE.
Je portais ma main à mon cou. Mon estomac fit un looping.
-Ali, murmurais-je en sanglotant. Le sablier n’est plus autour de mon cou.Elle écarquilla les yeux, transie de peur.
– Mais… Où est il, alors ? Demanda mon amie.
– Il faut que l’on fouille la chambre de fond en comble avant que Keylie ne se manifeste à nouveau, ordonnais-je. Sinon… on est coincées ici. Avec une meurtrière.
Nous fouillâmes la chambre, mais nous n’avons rien trouvé. Soudain, Alison poussa un cri.
– Clara ! Il est là ! Le sablier !
Elle disait vrai : le petit objet doré dépassait d’un rideau. Elle tendis alors la main pour l ‘attraper mais je cria :
– Ali, nooooooon !
Surprise par mon cri, elle retira précipitamment sa main et me dis :
-Que se passe t-il ? Tu ne veux plus rentrer à la maison ?
– Non, ce n’est pas ça… Regarde, lui répondis-je en désignant le bas du rideau.
Une paire de Nikes dépassait en dessous du rideau. Elles étaient rose flashy.
– Je suis sûre que Kay se cache là dessous, affirmais-je.
– Oh… Heureusement que tu m’as prévenue…
En retenant notre souffle, chacune armées d’un volume épais, nous tirâmes le rideau et découvrîmes sans surprise…
– Rien ?! S’exclama Alison.
-Mais si elle n’est pas ici, où est elle ? Demandais-je en tremblant comme une feuille.
-Ici, chantonna la voix doucereuse… de Kay.
Elle s’extirpa du lit de ses parents, et nous dit :
-Heureuse de vous revoir, chère sœur et chère ex-meilleure amie!
Waaaaa elle est incroyable ton histoire !!! Digne d’une histoire d’épouvante !! J’ai tellement hâte de voir la suite je suis accro !
Oh merci ♥️♥️♥️♥️♥️
Arranger les choses…
Chapitre 1, samedi 18 janvier 2025
Salut ! Nous sommes le lundi 6 janvier 2025, je m’appelle Emma, j’ai 12 ans et demi et je suis en 5 ème 7. Je viens de commencer ce journal que j’ai eu comme cadeau pour Noël. C’est mon père qui m’a offert ça, sans que je lui demande : je dois admettre qu’il a tapé dans le mille. Sans le savoir, ça doit être ce dont j’ai besoin. Je ne suis pas trop du genre à me confier facilement, j’ai une meilleure amie, quelques amies proches et mes parents (mais je ne me confie presque jamais à eux). En plus, depuis ces derniers temps, je suis de moins en moins proche d’eux : depuis que je suis entrée en 5 ème, ils disent que j’ai changée, que je m’amuse trop, que je ne suis plus motivée pour les cours… J’avoue qu’il y a une partie de vraie, mais de là à me le rappeler tout le temps… C’est quand même excessif, non !?
En même temps, ce n’est pas ma faute si j’ai la pire classe des 5 ème du collège (sur sept classes), je n’ai rien choisi !
Bon là c’est la rentrée de 2025, trop flemme de reprendre les cours… mais pas le choix. Je me prépare rapidement, prend mon sac et file en cours de maths, qui commence à 8h30. Oh et flemme…
Je marche rapidement, vu que je suis en retard (comme d’habitude). En arrivant à la grille, je tombe sur Thomas, quelqu’un dans ma classe de pas très sérieux…
» Eh ! Salut Emma ! me salua-t-il. T’a passé de bonnes vacances !?
– Ouaip, tranquille et toi ?
– Ah incroyable ! Ta fais le truc de math, le devoir hors classe !
– Euh, non, j’ai zappé. Je le rendrai en retard, au pire elle me mettra quelques points en moins, ça ira.
– Euh t’es sérieuse !? Je le fais pas ! De toute façon j’y arriverai pas, même si je m’applique ! »
Toujours drôle, Thomas ! C’est un bon camarade.
Je traverse la grille à 8 heures 37.
Penser à moins rêvasser dans mon lit le matin.
J’entre en cours en compagnie de mon camarade et m’étale sur ma chaise en fermant les yeux.
Voilà ! J’espère que ça vous a plu et n’hésitez pas à dire ce que vous en pensez !😉 Bisous 🥰
Bon debut hâte de voir le déroulement de l’histoire !
C’est super, j’ai hâte de voir la suite !!!!
Derrière l’armoire.
Chapitre 2
Reprenons. Ma mère m’a acheté une nouvelle armoire. Je me suis directement mise à déplacer mon ancienne armoire pour faire de la place à la nouvelle. C’est alors que j’ai entendu un «clic!» et que mon armoire s’est retournée toute seule! J’ai alors découvert un énorme trou dans mon mur. Je songe à appeler Gabin mais je me ravise. Qu’est ce qu’il peut bien y avoir au fond de ce trou? J’avoue que cela m’inquiète un peu. En plus, je ne sais même pas comment refermer le passage! J’ouvre ma fenêtre et pousse un cri de rage. Mon père, qui passait par là, me dit:
-¿Estás bien, cariño?
Il est d’origine espagnole. Il m’a dit: tout va bien, ma chérie?
Je lui réponds:
-Pero sí, no te preocupes. Sólo estoy enfadado.
(Je lui ai dis: Mais oui, ne t’inquiètes pas. Je suis juste en colère.) Je referme ma fenêtre et j’entends:
-¿Por qué gritas, Clara?
Oh oh. C’est mon frère, et quand il parle espagnol, c’est qu’il est en colère. Il vient de me demander pourquoi j’ai crié. Je lui répond:
-¡Gritaré si quiero! (je crie si je veux!)
Coline vient de rentrer de l’école, je suis sûre qu’elle va me demander de jouer au barbies. Vite, je vais dans mon passage et souhaite qu’il se referme. Miracle! Il se ferme! Comme je l’avais prévu, Coline entre dans ma chambre (sans frapper évidemment) et hurle :
-Hermana! Viens jouer avec moi ! (Hermana veut dire sœur)
-Clara ? répéta-elle.
Vu que je ne répondais pas, elle partit. Maintenant, j’ai très envie de visiter le passage…
J’attrape mon portable et appelle Élise pour lui demander de me couvrir et de faire comme si je dormais chez elle. Elle accepte. Je prend mon sac à dos et met 2 ou 3 pantalons, 4 tee-shirts, quelques sous-vêtements, des couvertures, ma gourde, un peu d’argent et un peu de nourriture dedans. J’entrouvre ma fenêtre et lance à ma mère:
-Je vais chez Élise, on fait une soirée pyjama. A demain!
Je sors de la maison, la contourne et pousse ma fenêtre. Je rentre dans ma chambre, prend une grande inspiration et pénètre dans le trou en veillant à bien refermer la porte de mon armoire. Il fait froid et humide dans ce passage. Je descend l’escalier et m’aperçois avec surprise que le passage n’est pas poussiéreux. Je m’avance, hésitante. Il y a deux choix possibles. Je ne sais pas lequel prendre. Tout à coup, l’un des tunnels s’allume. Je pense que je dois prendre celui-là. Je marche de plus en plus vite, et quand je consulte ma montre, il est déjà dix-neuf heures trente. Cela fait une heure et demi que je suis partie! Je déboule dans un espace très grand. Je décide de me poser là. Je sors une des couvertures et l’étale sur le sol. Je sors un bout de pain, un morceau de fromage et du chocolat. J’allume ma lampe torche et déguste mon repas. Je sors mes autres couvertures et m’allonge. Je m’endors immédiatement. Quand je me réveille, j’entends un bruit d’eau. Je le suis et découvre une cascade. Je me rince rapidement et enfile des vêtements propres. Je continue mon chemin, et, au bout de trente minutes, j’aperçois un rayon de lumière. Il y a un trou! Je m’avance, et alors je découvre un pays merveilleux. Pleins de maisons blanches, un grand soleil et surtout un magnifique palais.Je passe par le trou et rentre. Une pancarte indique que ce pays s’appelle « Avelia ». Une fille attire mon attention. J’ai l’impression de l’avoir déjà vue… Je l’aborde, et lui dis:
-Excuse-moi, mais j’ai l’impression de t’avoir déjà vue. On se connaît?
-Clara, c’est toi?
-Euh, oui, je m’appelle Clara, mais toi, qui es-tu? je lui demande.
-Bah je suis Sofia! Ta meilleure amie d’enfance! Répond-elle.
-Ah oui, je me sou…
Avant que j’ai pu dire quoi que ce soit, elle se mit à hurler:
-Notre reine! Notre reine est revenue!
Hein? Notre reine? Comment ça?
Pleins de gens accourent vers moi…
Chapitre 3
1 heure plus tard
Je suis désormais dans mon palais, bien que je ne sache pas ce que j’y fais. Sofia m’explique :
-En fait, les parents du roi Axel, le souverain du royaume d’Oliste, ont effacé la mémoire de tes parents pour avoir le trône d’Avelia pour Axel, mais comme le trône devait être pour toi, ils se sont débrouillés pour que tes parents te ramènent sur Terre. Jusqu’à aujourd’hui, c’était Axel qui régnait.
-C’est pour ça que le passage secret n’était pas poussiéreux, mes parents y sont passés récemment!
-Oui.
Une servante me fait visiter le palais. Ma chambre est magnifique, mon placard est plein de robes. Je décide alors de m’habiller et de faire une réunion. Une libellule magnifique se charge de distribuer le message. Je choisis une belle robe bleue courte. Une autre servante nommée Mélissa me maquille. Je sors et monte sur une estrade. Je prend un micro. Tout Avelia est réuni. Voici les mots que je prononce:
– Bonjour habitants et habitantes d’Avelia. Je suis Clara, apparemment votre reine. Je voulais tout d’abord vous dire que ceux qui sont avec le roi Axel sont priés de se lever.
4 personnes se lèvent.
-Désolée, messieurs dames, mais je vais vous demander de quitter Avelia et de rejoindre Oliste. Et désormais, tous ceux qui seront avec le roi Axel le rejoindrons. Ensuite, je voudrais diviser le royaume en plusieurs parties : rues, avenues, allées et villages.
Ensemble, nous répartissons Avelia en dix parts :
-Avenue beauté
-Rue divertissement
-Allée plage
-Village travail
-3 villages de maisons
-Avenue eau
-Village boutiques
-Village balade
Une fois la réunion finie, Sofia me raccompagne au palais.
-Tu peux me donner des précisions sur Axel? Lui demandais-je.
-Oui. Il est blond, il a les cheveux bouclés, il a les yeux verts et il t’aime.
Elle me montre une photo de lui. Il est pas mal… Mais je ne dois pas oublier que c’est mon ennemi.
Le lendemain matin.
J’émerge doucement. Mon lit est très confortable et j’ai du mal à le quitter. Je fais ma toilette et m’habille d’une combinaison rose avec une ceinture vert anis. Je met une veste en jean puis me dirige vers la porte pour aller acheter des croissants à la boulangerie « Au délice des anges». J’ouvre la porte mais je trébuche sur quelque chose. C’est un paquet qui remue, et une lettre. Je me demande ce que cela peut bien être… Les croissants attendront. Je pris le paquet et rentra à l’intérieur de la maison. Je défis l’emballage et découvrit… Un chiot!? Quelle surprise!
-Bonjour, dit le chien.
Je faillit m’étrangler et me mis à tousser.
-Mais tu parles??
-Bah oui. Et pour ton information, je suis une femelle, hein.
Mais en plus, elle peut lire dans les pensées!
-Comment t’appelles tu?
-Je m’appelle Lassie. Je vais t’aider à découvrir ton/tes pouvoirs.
Parce que j’ai des pouvoirs? Non mais c’est pas possible!
-Ah d’accord. Et comment puis-je découvrir mes pouvoirs?
-Tu dois te concentrer au maximum, puis lever tes paumes vers le ciel. Selon la couleur qui s’en dégagera, je te dirai tes pouvoirs. D’après moi, tu auras le pouvoir de la vérité et celui du voyage.
OK. Je tendis mes paumes vers le ciel et me concentra. Un grand frisson me parcouru et une lueur dorée se dégagea de mes mains.
-Waouh! La lueur dorée signifie que tu as tous les pouvoirs! Tu es drôlement puissante! Je vais t’entraîner.
Une petite heure plus tard, je maîtrisais mes pouvoirs.
-Mais, Lassie, lui dis, soudain prise d’angoisse. Comment vais-je faire si mes pouvoirs ne fonctionnent pas au moment où j’en ai besoin ?
-Cela ne risque pas d’arriver, tu es une reine très puissante.
Maintenant, passons à la transformation. Voici une tiare que tu dois porter, bien entendu, sur le front. Tu dois dire:
Clara, reine d’Avelia!
Et ta transformation démarre. Vas-y; teste!
-Okay, répondis-je.
Clara, reine d’Avelia!
Tout tournait autour de moi, et quand je repris mes esprits, j’étais vêtue d’une longue combinaison rose pastel sertie de pierres précieuses, mes long cheveux étaient devenus violet lilas, et je portais de magnifiques sandales dorée. Je portais également ma tiare et une longue flûte rose incrustée d’ambres et d’améthystes. J’étais tout simplement splendide. Tout à coup, un cri m’alerta. Une femme, dehors, était enlevée par des policiers! Vu comment Sofia m’avait renseignée, je reconnu tout de suite l’emblème d’Oliste: un lion violet, cousu sur l’ensemble des acolytes d’Axel. La femme (qui s’appelle Lila) hurlait:
-Clara, à l’aide!
Je réagit au quart de tour. Je sortis à toute vitesse du palais, et commença à tabasser les policiers. Quand, épuisée, je me suis relevée, j’étais nez à nez avec…
-Axel?!
– Eh ouais, c’est le ROI Axel en personne.
-Tu n’es pas le roi ici!
-Moi aussi je suis content de te voir!
-Bah pas moi!
-Pff, toujours aussi colérique! Mais, que-vois je, tu es donc revenue !
-Oui, mais c’était pas pour voir ta tête de con !
-Arrête un peu de râler, et donne moi plutôt le trône d’Avelia! Gronda-t-il.
-Hahaha, tu peux toujours rêver!
-PARDON !!!!!! hurla t-il.
-Hé oui, tu peux encore courir, t’es pas près de l’avoir! Rétorquais-je.
-Grrrrrr !
Il me lança une boule de feu, mais, je l’esquiva de justesse. Puis, je riposte et lui envoie une boule de glace, qui l’atteignit en pleine poitrine.
-Argh, c’est gelé ! De toute façon, je t’ai volé ton cœur.
Puisque tu m’aime.
-Alors là, MPER !
-Ça veut dire quoi ça ?
-Même Pas En Rêve ! Je t’aime pas, imbécile !
-Oui eh ben ça va vite arriver, tu vas voir ! Dit il en repartant avec un air démoniaque.
Quelques heures après.
Après avoir enfilé un survêtement Addidas rose pastel par dessus mon maillot de bain Chanel vert, je sortis du château et m’élança vers le village plage. Tout allait beaucoup trop vite a mon goût. Je n’étais arrivée a Avelia que depuis une nuit, et je devais déjà affronter cet abruti d’Axel ! Une longue baie bordée d’une eau limpide et scintillante apparue dans mon champ de vision. Je me mis a accélérer pour gagner la plage plus vite. Une fois arrivée, épuisée par mon changement d’allure brutal, je m’affala sur le sable doux et chaud. Il faisait une température étouffante ! Je retira mon survêtement et pris une grande inspiration. L’air iodé de la mer Malunielle vint me chatouiller les narines. Je courus jusqu’à l’eau. Les petites vagues vinrent lécher mes orteils fraîchement manucurés. Je remonta vers ma serviette Louis Vuitton (ne me prenez pas pour une gosse de riche SVP, tout ça était dans le palais) et trottina en direction de la mer. Je m’écrasa dans les vagues. L’eau était légèrement trop fraîche, mais par ce temps, cela ne pouvais que me détendre. Il y avait du vent, aujourd’hui. D’énormes vagues agitaient la mer de partout. J’en pris quelques unes, comme j’avais appris à le faire lors d’un séjour au Croisic. Soudain, je me suis retournée et m’aperçus que j’étais à une bonne centaine de mètre de la plage. Oh oh… Je reçu une grosse vague dans la poitrine qui me coupa le souffle. J’avalai une grosse goulée d’eau. Je me mis as tousser,de plus que le courant m’emmenait au large. Je commence a vraiment paniquer là… Je poussait un hurlement. Quelque chose m’a effleuré le pied ! J’enfonce ma tête dans l’eau pour voir qui ou quoi m’a terrifié. J’ouvre tant bien que mal mes yeux. Aïe, ça pique ! Je me raidis. Oh non. Tout mais pas ça. Un requin blanc s’étalait sous mes pieds, en ouvrant la gueule, prêt(e) à m’avaler.Je ressortis et hurla a m’en casser la voix. Je me suis mise a nager a toute vitesse. Mais je n’avais aucune chance contre cet horrible requin ! Soudain, ma vue se brouilla et un gros nuage pris la place de mon cerveau. Je ne sentais plus mes jambes, mais je réalisa que je coulais, impuissante… Ça y est, c’en en finit de moi.
Chapitre 4
Quand je me suis réveillée, je pense que j’étais au Paradis. Ça sent les cookie encore chauds et le thym. J’entends une voix mélodieuse qui demande certainement à un dieu ;
-Tu as vérifié si elle n’a pas froid ?
-Oui Cherry, elle ne tremblote plus, lui répondis une voix bien plus grave.
Je voulus respirer, mais de l’eau me rentra dans le nez. J’ouvris grand les yeux en hurlant de peur.
-Oups, j’ai oublié de lui mettre la bulle d’air, s’écria une voix qui devait être celle de Cherry.
-Fais gaffe, elle va nous faire une attaque ! Sérieux, oublier un truc si important !
– Dis donc Marlic, j’te fais des remarques, moi, quand tu oublies d’arroser nos algues?répliqua Cherry tout en me lançant une bulle d’air. Dès lors, je m’aperçut que Marlic et Cherry n’étaient en fait pas des dieux mais des sirènes…
Après de loooongues explications…
-S’il te plaît,accepte, supplia Cherry.
-On a besoin de toi, si seulement on pouvais revoir Melyna, ajouta Marlic.
Vous avez décroché ? Je vous explique. Apparemment, Marlic et Cherry m’ont recueillie, car leur requin blanc Chocos m’avait ramené ici. Je ne suis pas au Paradis mais a Aquavelia, la version aquatique d’Avelia. Mais qui est Melyna ? C’est la toute petite fille des deux sirènes. Alex l’a kidnappée et ramenée a Oliste. Il est de mon devoir de reine de la sauver (d’après Marlic). Cherry file me préparer un baluchon. Quelques minutes plus tard, quand elle reviens, j’observe son contenu. Il y a de la nourriture, de l’eau, des lingettes nettoyantes et plusieurs queues de sirène.
-Comme ça, tu pourras atteindre Oliste clandestinement, par le passage sous marin, ajouta Marlic.
Bon, il me semble que je n’ai pas trop le choix, de toute façon. Cherry me propose de passer la nuit à Aquavelia, ce que j’accepte. Marlic me propose d’aller chercher mes affaires restées sur la plage. A peine a-t-il prononcé ces mots que j’aperçois mon survêtement et ma serviette qui flottent pas loin de là.
– Pas la peine, a pouffé Cherry.
-Ah, visiblement ils ont retrouvé le chemin tout seuls ! Ai-je rajouté en éclatant de rire.
J’ai donc pu récupérer mes affaires. J’ai dormi dans une belle bulle moelleuse et confortable. A mon réveil ce matin, Cherry me propose un délicieux déjeuner composé d’algues.
– Nous avons là des algues Wakamé, des algues Nori et et du thé de laminaria.
-Merci Cherry, dis-je.
Marlic me proposa ensuite de me mener à une source d’eau pure pour que je puisse y faire ma toilette. Il m’y laissa en me promettant de venir me chercher dans 30 minutes. Cherry m’a passé du savon à la lavande et une serviette blanche et douce. Une fois propre de la tête aux pieds, la femme de Marlic, revenue me chercher, me passe une queue de sirène doré avec un petit haut rose pâle. Je coiffe mes cheveux avec une broche en perles de nacre. Je suis juste splendide. Allez, quand il faut y aller il faut y aller. Je parie que je vais avoir pleins de soucis pendant ce voyage, et ce pressentiment n’indique rien de bon…
Je pars donc sur le chemin souterrain d’Oliste, après avoir fait mes adieux a aux sirènes qui m’ont accueillit. Le trajet se passe sans aucun problème. Mon pressentiment était-il juste une pensée idiote ? J’émerge lentement de l’eau. C’est quand j’ai entendue une sirène stridente m’exploser les tympans que j’ai su que mon pressentiment n’étais pas une quelconque pensée et que mon calvaire venait juste de commencer…
J’adoooooooore ton histoire j’attends avec impatience le prochain chapitre 🥳🥳🥳🥳
Merci ♥️
Océane & Solarya
Chapitre 1 Océane
4 ans plus tôt
Novembre 2024
– Océane j’en ai marre de toi ! Tu ne fais jamais attention à rien! Tu as 14ans tu devrais être capable de ne pas perdre tes affaires ! Qu’est ce que j’ai fait pour mériter une fille comme toi !
J’ai l’habitude que ma mère me dispute normalement j’encaisse sans rien dire mais cette fois c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
Le pire c’est que ce n’est même pas ma faute on m’a volé mon short!
Je monte l’escalier pour aller dans ma chambre une fois dans celle-ci j’attrape ma valise je pose dedans une pile de livre, des vêtements, des affaires de toilette, quelques peluches et de la nourriture pour moi et pour ma tortue, Océan. Je boucle ma valise, j’attrape la cage d’Ocean et je descends dans l’entrée je prend ma planche de surf. Il y a quelques années, quand j’ai fait ma première fugue j’ai attaché à la cage de ma tortue, une bande de tissu noir pour pouvoir passer cette lanière autour de mon cou et être en capacité de courir facilement.
Je claque la porte d’entrée et je sort en courant. Je sent rapidement le sol changer d’aspect sous mes pieds. Je suis sur la plage. Je me dirige sans hésiter vers des buissons épais. On dirait qu’il sont sans fin mais en vérité il n’y en a que sur un mètre. J’ai aménagé cet endroit quand je devais avoir 10 ou 11 ans. J’ai toujours été très débrouillarde j’ai construit un bateau seule. Il doit faire 4 mètres de long sur 2 mètres de large avec une coque de 2 mètres de profondeur et en comptant la voile 3 de hauteur ( en partent du pont )
J’ai appelé ce bateau SOLARYA je ne sais pas pourquoi juste que c’est ce nom qui m’est venu en tête en premier.
Je me retourne personne ne m’a suivie pourtant tout le monde a la maison ( mes parents et mes deux frères) sait que je vais toujours à la plage qu’en je ne suis pas bien. Je me retourne et regarde ma maison. Je vois par la vais vitrée du salon que mes parents ouvre une bouteille d’alcool. Je sais à ce moment précis que je ne reviendrai pas.
Je laisse une lettre bien en évidence sur la plage. Je me suis entaillé le doigt sur des ronces tout à l’heure, ce qui me donne une idée. Je dépose une goutte de sang écarlate sur le papier.
Je sors mon bateau de sa cachette et je grimpe dessus je balance ma valise et ma planche dans la coque que j’ai aménagé et garde océan près de moi en attendant de mettre assez éloigné du rivage pour passer en pilote automatique.
Une fois le pilote automatique enclenché je descends dans la coque et commence à ranger mes affaires. J’aime cet endroit : j’y aie fabriquer un lit double en bois recyclé qui prend un peu de place. J’ai également aménagé une petite cuisine avec gazière, four et four à micro-ondes, un évier et un mini frigo américain.
Près de celui-ci il y a une petite table en bois de chêne. J’ai aussi une toute petite pièce fermée de deux mètres carré où il y a des toilettes et une douche écologique qui réutilise l’eau en la filtrant. Un de mes amis qui six ans de plus que moi, est devenu ingénieur, l’a conçu pour mon bateau. Il y’a des étagère et des placards partout pour du rangement ( des livres, de la vaisselle, des vêtements….).
Il y a une fenêtre avec des rideaux bleus turquoises, qui permet d’avoir un peu de lumière devant celle-ci j’installe un petit tabouret sur lequel je pose la cage d’Ocean.
L’intérieur de la coque est dans les tons bleus, du bleu que l’on peut trouver sur la glace à la patinoire jusqu’au bleu nuit en passant par le bleu océan.
Je vérifie que ma tortue a bien à manger et à boire avant de remonter sur le pont en fermant bien la trappe pour éviter que l’eau ne rentre dans ma « maison ».
Je dépasse sans hésiter l’île sur laquelle je me réfugie d’habitude, quand je fugue pour continuer vers le large. Je n’ai aucune idée d’où je vais, je sais juste que je veux partir le plus loin possible de ma famille.
Chapitre 2 Solarya
Aujourd’hui
Novembre 2028
Aujourd’hui on est le 27 novembre le jour de mon anniversaire. C’est la date butoir, ma date de péremption. Je fais ma valise la mort dans l’âme sans savoir où je vais aller.
Aujourd’hui c’est le jour de mes 18 ans et je dois partir de l’orphelinat. Je suis majeure et personne n’a voulu adopter cette gamine rousse isolée des autres. Je suis ici depuis mes huit ans et aujourd’hui dix ans plus tard, je suis toujours là.
Je passe devant l’accueil et fais mes adieux à ma seule amie: la concierge. Elle m’aime bien je crois, mais on ne pouvait pas tellement se voir car elle a beaucoup de travail.
Je passe la porte en soupirant. Une fois dehors je prend une grande inspiration et respire l’air marin et commence à marcher.
Instinctivement mes pieds m’emmène sur la plage. Je vois un petit bateau: un voilier, avec une coque bleu, s’arrimer au port et une jeune femme d’à peu près mon âge sauter du pont.
Je ne l’ai jamais vu ici. Elle dois être de passage.
Je m’avance vers elle dans l’espoir qu’elle veuille bien m’embaucher sur son voilier. En m’approchant je peut mieux l’observer: elle n’est pas très grande, environ 1m65, une peau métisse, elle a des cheveux noir de jais très raides et des grand yeux violet au reflet dorés. Je n’ai jamais vu d’yeux d’une telle couleur. Je songe à renoncer mais j’aperçois le nom du bateau « SOLARYA ». Je souris. C’est un signe! Elle est en train de finir un nœud pour bien attacher son bateau.
Je prend mon courage à deux mains et m’approche d’elle.
– Bonjour
Elle se retourne vers moi :
– Bonjour, qu’est ce que je peux faire pour toi?
Je prend une grande inspiration et me lance :
– J’aimerais travailler pour vous sur votre bateau.
– D’accord.
Je cligne deux ou trois fois des yeux pas certaine d’y croire
– Mais il y a quelques conditions, dit-elle en les énumérant sur ses doigts,
Premièrement : tu me tutoies. Deuxièmement : on vit ensemble et on s’entraide.
Troisièmement : je ne peux pas te payer donc tu n’as pas à travailler mais tu dois participer pour acheter la nourriture. Ça te va ?
– Ok c’est parfait pour moi
– Je m’appelle Océane et toi ?
Je pointe le nom de son bateau et dis :
– Solarya
Elle rigole et me dis de m’installer pendant qu’elle va chercher à manger. Je lui donne un billet et grimpe sur le bateau. Elle enfile un sweat-shirt noir. Elle rabat la capuche sur sa tête et part. Je vois une trappe. Je l’ouvre et entre. Je reste bouche bée devant la beauté des lieux.
Quand Oceane revient je suis toujours là à contempler l’intérieur de la coque du bateau.
– C’est toi qui as fait tout ça ?
– Oui répond elle gênée.
– C’est magnifique la complimentai-je sincèrement.
– Merci et je te présente Océan dit-elle en me montrant une tortue qui prend le soleil dans sa cage, posée sur un tabouret, devant une petite fenêtre.
Je pose ma petite valise sur le grand lit et lui demande où poser mes affaires et ce que je peux faire pour l’aider.
– tu peux mettre tes affaires sur l’étagère là ou dans le placard ici. Quand tu auras finis tu pourras monter m’aider à repartir ?
– Bien sûr ! Ne t’inquiète surtout pas j’en ai pas pour longtemps ! Lui assurais-je.
Quelques minutes plus tard je monte sur le pont et la vois sur le quai en train de défaire les nœuds, qui retiennent le bateau à la terre ferme.
– Génial tu es là! Tu peux prendre la pagaie et me la tendre en la tenant fermement ?
– Ok
Elle finit de défaire le dernier nœud et en poussant fort sur ses jambes, elle s’agrippe à la pagaie et se propulse sur le bateau. D’un signe de tête elle m’indique de commencer à ramer.
Chapitre 3 Océane
Aujourd’hui
Novembre 2028
Maintenant que l’on ai parties je peux enfin observer correctement cette jeune femme qui a fait irruption dans ma vie il y a quelques heures à peine.
Elle grande 1m75 je pense, une peau très pâle et des yeux noirs profond. Au vue de sa silhouette je dirais que c’est une patineuse j’ai d’ailleurs vus quand elle à poser son sac sur le lit une paire de patins blancs. Elle a également une belle chevelure rousse et bouclée qui lui tombe jusqu’aux hanches. Elle est d’ailleurs en train de se débattre avec celle ci en essayant de se faire une queue de cheval
Je ris et en enclenchant le pilote automatique je m’approche d’elle, lui prend sa brosse et son élastique et lui fait une longue tresse qui va jusqu’au niveau de ses reins.
– Merci je ne pensais pas que tu était si douée en coiffure.
– Quand je m’ennuie je teste de nouvelle choses comme la menuiserie, la pêche, la coiffure…
– Tu pêche ?!
– Oui mais ce que je veux c’est attraper un poisson pour le domestiquer mais j’ai jamais réussie à en attraper un ! Surtout pas pour les manger! Je suis végétarienne donc si tu veux de la viande il faudra me le dire. Dis-je pendant qu’elle hoche la tête.
Je regarde au loin et je vois des gros nuages noirs annonciateur d’une tempête. Solarya suit mon regard et se tourne vers moi l’air inquiet.
– Alors tu vas absolument devoir m’écouter là ! Dis-je inquiète quand la pluie commence à tomber.
– J’ai une peur panique des tempêtes et des orages donc je ne ferais jamais rien qui nous mettrais en danger.
– Tu vas aller dans la cale, tu prend la cage d’Ocean et tu l’attaches solidement en t’aidant de la sangle en dessous du tabouret et de celle sur sa cage. Ensuite tu verras qu’il y a des lanières partout tu en attaches un maximum pour avoir le moins de dégât possible. Moi je vais lancer le pilotage automatique en cas de tempête et je te rejoins. J’en ai pour deux minutes.
– À vos ordres capitaine !
Après ça elle descend précipitamment, au bord de la crise de panique
Je me jette sur les commandes et commence à pianoter sur les touches, en surveillant la tempête du coin de l’œil.
Au bout de deux minutes et demi la pluie devient déluge et je redouble d’efforts pour finir de paramétrer le pilotage. Quelques secondes plus tard, je descends en vérifiant de n’avoir rien oublier sur le pont. Rien. Je verrouille la trappe, la barricade, puis j’attrape une grande planche en bois pour recouvrir la fenêtre. Une fois en sécurité je me retourne et aide ma nouvelle amie à finir de tout attacher. Quand nous avons terminer, je vérifie la sangle d’Ocean et vais rejoindre Solarya qui s’est réfugiée sur le lit.
On a finit de tout attacher juste à temps car déjà la mer se déchaîne et on entend la pluie battante sur le plancher au dessus de nous.
Mon amie est roulée en boule sur le lit avec une expression de pure terreur sur le visage. Sans réfléchir je m’approche d’elle et la prend dans les bras. Je sens rapidement ses larmes couler sur mon teeshirt. Je la sert encore plus fort contre moi en essayant de la rassurer:
– Ne t’en fais pas on est en sécurité, tu ne risques rien, je suis là. Lui soufflai-je
– Merci Océane murmure t-elle avant de s’endormir contre moi
Je remarque que dans ses cheveux est remontée une chaîne en argent avec son prénom en pendentif. Je pense que celui ci doit habituellement reposer sur sa clavicule.
Voilà vous en pensez quoi ?
C’est très bien écrit !
Elle est incroyable ton histoire!!! J’adore!!!!!!!!!!!!
Mais c’est trooop bien !!! bien écrit on s’y croirais vraiment !
J’ai quelque conseil a te donnais pour les truc de navigation je sais pas si tu connais le langage des drapeaux maritimes. En gros tu a des drapeau qui on des nom et dans signification ex le drapeau qui veut dire la lettre A mais qui s’appelle Alpha veut dire tout seul « J’ai un scaphandrier ou un plongeur en plongée, gardez vos distances et avancez lentement. »
B (Bravo) : Je charge ou décharge ou je transporte des marchandises dangereuses.
ainsi de suit et ensemble tu peu faire des mots avec les drapeau papa alpha papa alpha tu fait le mots papa et avec plusieurs drapeau tu peu faire par exemple N+C soit November+Charlie sa donne: Je suis en détresse et je demande assistance.
Il y a les flamme aussi (c’est des drapeau) et eu c’est les chiffre.
Avec tout c’est drapeau tu peu dire de J’accoste a j’ai besoin d’un médecin ou La navigation est interdite dans un rayon de 500 mètres autour de cette plate-forme.
OK la j’ai dit beaucoup de chose si sa t’intéresse t’en mieux sinon c’est pas grave (si tu veux en savoir plus cherche sur internet)
mais voila j’espère que sa t’as aidé.
Salut et continue je veut absolument la suite
Silver
Elle est incroyable ton histoire, je veux absolument la suite!!!!
Jour et nuit,
Chapitre 2
Au début, je pensais que j’allais vivre une vie paisible et normale comme tout le monde. Mais ce jour là a tout fait basculer…
Voilà pourquoi je dis ça :
Samedi 11 Janvier, 9h00
Je suis descendu dans le salon. Personne, ni dans la cuisine. À cette heure-ci toute ma famille dort, Même ma mère. Je suis remonté dans ma chambre, j’ai ouvert mon journal intime. Mais je n’ai à peine eu le temps de sortir mon stylo que j’entends le réveil de ma sœur, Augustine. Pourquoi un réveil le samedi ? Elle dit qu’il faut se réveiller tôt pour être en forme et avoir plus de temps dans sa journée. Personnellement je trouve que 9h00 ce n’est pas « tôt ». Je fait comme si je dormais et rentre dans mon lit. Elle n’aime pas que des gens Vienne l’embêter le matin, ( c’est aussi pour ça qu’elle se lève tôt )!
Mais je ne peux plus me retenir, je dois aller aux toilettes. Malheureusement, les toilettes du haut sont bouchées. Donc je marche à pas de souris pour me faufiler aux toilettes. Augustine m’a repérée ! C’est toujours pareil avec elle.
-Eh coquine, on essaye d’espionner sa sœur !? Dit-elle d’un air moqueur.
– Non, je voulais aller aux toilettes. Mais je sais que tu aimes être seule le matin, alors je ne voulais pas faire de bruit pour ne pas te déranger.
– Allez, reste avec moi ma patate !
Elle m’appelle toujours « patate ». Mais je ne lui dit pas que ça m’énerve, car sinon elle est déçue.
10h30 tout le monde est levé.
– Nous avons une annonce à vous faire. Dit ma mère et mon beau père.
Quand notre beau père prend la parole, c’est toujours quelque chose de pas intéressant.
– Vous voyez ma fille, Luna. Dit-il.
– Eh bien maintenant elle viendras vivre avec nous tout le temps ! Elle a eu des problèmes avec sa mère et elle préfère vivre avec moi.
– Je vous assure qu’elle est très sympa ! Elle viens ici quand vous êtes chez vos père. Continua ma mère.
Un long soupire sortir de la bouche d’Augustine.
Moi, je ne savais pas quoi dire. Il y avait juste à espérer qu’elle soit sympa.
Et voilà 😄
Vous voulez la suite ?
Savoir si ça va bien se passer avec Luna ?
😘
la suiteeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!, je suis trop impatienteeeeeeeeeeee , c’est trop bien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Cc
Ton histoire est chouette 👍🏻 😄 J’aimerais bien avoir la suite.
Gros bisous 😘😽
J’espère que sa ne va pas être un peste cette Luna ! Continues cette histoire !
Ⓜ📧®©❗
De rien tu le mérites
Merciiiiiii 🤩 ça me touche car je viens de débuter et je trouve ça un peu nul quand je vois vos histoire incroyable💕😍
Salut c’est la première fois que je viens ici c’est trop génial !!!!!! Voilà mon histoire , enjoy !
Titre: Il était une fois …
Chapitre 1 :
Il était une fois dans une contrée lointaine un petit village du nom castellane . Bon cela fait un peu trop princesse car on est au 21ème siècle . Donc ce village existe toujours ,et nous allons voir une petite famille très heureuse, taisez- vous et écoutez . Mamie , tu peux me raconter une histoire s’il te plaît . Oui ma chérie , il y a quelques années dans ce village, une fête , c’était une petite fille qui venait de naître . Mamie est ce que cette petite fille c’était moi ? , Patience ma puce , patience , bref la fête était grandiose , la petite fille magnifique quand soudain quelqu’un apparu il n’ était pas invitée est demanda Tout le monde riait sauf moi, ta mère et ton père car oui la petit fille c’ était toi . Mamie c … c … c’est quoi la malédiction ; eh bien hum … le jour de ton 9ème anniversaire il faudra qu’ on t’ enferme dans ta chambre sinon “il” viendra te chercher pour que tu l’ aides ; Qui “il” Mamie; le .. le .. Le fantôme de Margot . Qui est Margot mamie ? Margot était une petite fille de 9 ans et le jour de son anniversaire elle fit enlever par un homme il lui accroche les mains et la tira sur les rails et Margot à bout de force s’ effondra et mourut de faim de soif et a cause d’ un train , quand on la retrouve morte , ses parents lui firent un grand enterrement et elle èrent et essaie à chaque fille qui est née le même jour qu’elle , pour qu’elles l’aident à retrouver l’ homme qui la tuer . Sauf que à chaque fois cette petite fille de 9 ans ne revenait jamais . Et chaque lendemain on la retrouvait sur le seuil de la porte morte , juste une fille réussie à s’en sortir et cette fille c’est ta mère elle était revenue blessée. Mais mamie demain c’est mon anniversaire je sais juliette , je sais . dit-elle pensive. Juliette était une petite fille brune avec de grands yeux d’un bleu éclatant et des taches de rousseur sur le nez .
Chapitre 2 :
Le matin se lève juliette rêva de Margot et de l’ homme qui l’ avait enlevée , elle n’ avait pas du tout bien dormi . Maman comment c’ était quand tu était avec le fantôme de Margot ?dit t’ elle en buvant son chocolat chaud ; eh bien ma chérie c’ était assez effrayant j’ ausais espérer que ce serait la fin mais non je suis désolée que tu dois vivre ça , ah si seulement on pouvait remonter le temps pour empêcher cet accident de se produire . Maman ce n’est pas grave regarde – moi je suis peut-être petite mais je suis forte et courageuse et je vais réussir ne t’inquiètes pas . Sa mère essuya ses larmes et lui donna un baiser , bon va te changer et je te ferai un entraînement pour que tu reviennes en un seul morceau et non blessée gravement ou morte . Juliette bu son bol et mangea ses tartines , elle fila s’habiller , quand elle descendit sa mère était prête et en tenue de sport . Bon dit-elle pour commencer on pourra pas te suivre mais on pourra te donner un sac avec des affaires , dedans il y aura un couteau suisse , un spray anti-insectes, une trousse de premier secours , des biscuits , de l’ eau et une lampe torche. Après sa mère lui apprit comment se servir du couteaux suisse et de la trousse de premier secours et enfin elle lui montra des attaques contre les gens en se servant des ses pieds ou de ses mains . Tant elle s’était entraînée qu’ à l’ heure du dîner elle était prête . Minuit pile, le fantôme vint la chercher sous l’œil attentif de sa famille . Juliette avait peur il entrèrent dans une forêt lugubre et trop silencieuse à son goût quand soudain un homme bondit du buisson sur elle , Margot ( le fantôme ) l’aida à se décrochée du filet et elle le pourchassa car cet homme était le kidnappeur de Margot , il se retourna et lui fonça dessus mais Juliette elle sortit son spray anti-insectes et le lui mis dans ses yeux , il cria de douleur elle sortit le sparadrap et le lui bandait les yeux et la bouche avec puis elle découpa le filet avec qui il l’avait attaqué hier et lui lia les mains dans le dos et l’emmena de force au villages elle fut acclamé par des pleures et des rires et le kidnappeur fut emmenés au commissariat de police . La malédiction est terminée et Margot voit ses parents pour une dernière fois et elle s’endormit en paix dans les bras de sa famille .
Voilà elle est petite , désolée pour les fautes d’orthographes 🙁
trop bien !
Derrière l’armoire.
Introduction
Je m’appelle Clara et j’ai 12 ans. Je suis brune au yeux verts, et ma passion est chanter. Je prend des cours de chants et je fais du basket. Je suis au collège, en 5°B. J’ai deux sœurs, Lise, 2 ans, et Coline, 5 ans. J’ai un frère jumeau qui a sûrement été crée pour m’embêter, même si il est sympa parfois. Il s’appelle Gabin. Mes parents sont super gentils, et mes sœurs aussi. J’habite en Californie, à Santa Monica.Mes trois meilleures amies s’appellent Louna, Élise et Tifen.
Chapitre 1
Dans le bus, je suis assise à côté de Louna. Demain, c’est mon anniversaire. Je vais avoir 12 ans. Ah tiens, c’est mon arrêt.
Je descend du bus et me dirige vers ma maison. Elle est blanche, avec un grand jardin et une piscine creusée. Quand on rentre, il y a un grand salon avec un canapé blanc, une grande télé, beaucoup de fleurs et de plantes vertes. Il y a une porte coulissante transparente qui donne sur la cuisine. Ensuite, il y a un couloir qui donne sur la chambre de Lise à droite et la chambre de Coline a gauche. Après la chambre de Lise, il y a ma chambre. Après la chambre de Coline, il y a celle de Gabin.
Tout au fond à droite, il y a la chambre de mes parents et tout au fond à gauche, les toilettes et une salle de bain. Ma chambre à les murs blancs et bleu turquoise avec des éclaboussures violettes. Je rentre dans ma chambre et je découvre que mon frère est rentré dans ma chambre SANS ma permission!! Je hurle:
-Gabiiiiiiiiiin!!!!! Pourquoi tu es encore rentré dans ma chambre sans mon accord!!! Tu me…
Je découvre alors que mon journal intime n’est pas à sa place!
-Maman! Gabin m’a piqué mon journal!
Ma mère arrive et dit a Gabin:
-Gabin, rend son journal à ta sœur. Et arrête de lui piquer!
Gabin sort de sa chambre et me tend mon journal. Il me chuchote:
-Alors comme ça tu aimes Alexandre?
-T’en parle à une seule personne, je me venge, répondis-je.
Il rigole, et je lui lance un regard noir. Je rentre dans ma chambre mais avant que j’ai pu fermer la porte, j’entendis un «Claa?». C’est Lise. Je lui dis :
-Oui, Lise ?
-U ma manté (traduction: tu m’as manqué)
-Toi aussi, Lisou.
Je referme doucement la porte et m’affale sur mon lit. J’ouvre mon journal pour vérifier que Gabin ne l’a pas abîmé.
Toc toc.
-Clara, je peux rentrer? demande maman.
-Oui.
-Ça va ma puce?
-Oui et toi?
-Ça va. Je voulais te dire que je t’ai acheté une nouvelle armoire, car la tienne est vraiment pourrie.
-Oh, merci mamounette!!
-De rien.
C’est quand j’ai poussé ma vielle armoire pour faire place à la nouvelle que j’ai découvert cet énorme trou…
c sympa comme début
Merci je mettrais la suite ce soir mais j’en suis déjà au chapitre 7 🙂
g hâte de voir la suite 😉