Plusieurs lectrices écrivaines en herbe partagent leurs histoires sur le site. Voici donc un sujet dédié, afin de retrouver toutes les histoires. Voici quelques règles avant de poster la tienne :
-Pour s’y retrouver, commence ton chapitre par NOM DE TON HISTOIRE/NUMÉRO DU CHAPITRE. De cette façon, les autres Julienautes pourront s’y retrouver plus facilement.
-Le texte doit bien évidement être de toi. Interdit, les copiés-collés sur Internet.
-Essaie de surveiller ton orthographe. Un texte bourré de fautes est souvent illisible.
-En postant ton texte, tu acceptes de lire les critiques (positives ou négatives) des autres lectrices.
-Ne poste ton chapitre qu’une seule fois, et sur ce sujet seulement. Les textes postés ailleurs ou en double seront supprimés.
-Si tu postes une critique, n’oublie pas qu’il y a un être humain derrière l’écran : veille à ne pas être blessante ou méchante. Les critiques négatives doivent avant tout être constructives (les commentaires du type « trop nul » seront supprimés).
Et voilà, à vos claviers, les filles !
Mon compte Wattpad est le même qu’ ici. N’hésitez pas y jeter un coup d’oeuil.
J’ai presque terminée une histoire qui s’appelle Lola Malefoy.
Voici mon compte Wattpad: PatteDeChatte
Chapitre 5 Alice
Lundi 17 juin 2024, 19h38
-Non! hurla Clémence au bord des larmes.
Je ne put m’empêcher de pleurer. Depuis la fenêtre du train, je la vit tomber, évanouie.
Du noir.
Du noir.
Du noir.
Le train est entré dans un tunnel.
-Ne t’inquiète pas, tu la reverras, dit Ninon.
-Peut-être… je lui réponds.
Je pose ma tête sur mon sac puis, je m’endors.
Lundi 17 juin, ?h?
Le bruit de la pluie qui tape sur la vitre me réveille.
Ninon parle avec Lisa. Je fouille dans mon sac, à la recherche de mon livre. Je crois qu’il est tout au fond. Trouvé!
Je commence ma lecture.
Ça parle d’une fille qui s’appelle Olivia et qui peut parler aux animaux. Sauf que les gens de son village n’aiment pas les personnes possédant un don. Elle doit se cacher dans la forêt. Un jour, elle découvre que des sorciers (comme elle) ont créé un club. Dans ce club, il vont sur des îles invisibles aux yeux des personnes sans pouvoirs pour sauver des créatures fantastiques.
Mon personnage préféré c’est Olivia même si j’adore aussi Adrien et Nina. Par contre je déteste Lilou et Inès.
Je dois arrêter de lire sinon je vais terminer mon livre.
J’espère que Clémence va bien…
Chapitre 4 Clémence
17 juin 2024
On part aujourd’hui. Je regarde l’horloge, accrochée dans le salon. Elle indique 9 heures.
Alice m’attache mes cheveux , blonds m’arrivant jusqu’aux fesses, en une tresse ,longue et épaisse, peut-être pour la dernière fois.
Je me présente:
Nom: Liszeski
Prénoms: Clémence, Rose, Ambre
Date de naissance: 11 mai 2013 à Mont-Saint-Aignan en Normandie
Classe: 6ème C au collège Sainte-Marie à Rouen
Âge: 11 ans
-Clémence tu viens? On va faire une partie de UNO! dit Alice depuis le salon
-J’arrive! lui réponds-je.
Je refais mon lit puis me dirige vers le salon.
-J’ai gagné! dit Timéo
-C’est faux! Parce que j’ai gagné! cria Ninon
-C’est Clémence qui a gagné! dit Alice
-C’est Alice qui a gagné! ai-je hurlé
Finalement, on s’est tous mis d’accord pour inviter Lisa, Lucas, Camille, Félix, Victoria, Jade, Eléonore, Ellana et Antoine pour une partie de Loup Garou.
On a chacun une carte avec un dessin qui correspond à chaque rôle (petite fille, voyante, loup-garou, etc…). Le narrateur va endormir tout le monde puis les réveiller. Le but des villageois est de tuer tous les loups et celui des loups de tuer tous les villageois.
Les rôles:
Clémence: SOEUR 2
Ninon: LOUP GAROU
Alice: SOEUR 1
Timéo: SORCIER
Lisa: LOUP GAROU
Lucas: CUPIDON
Camille: VOYANTE
Félix: RENARD
Victoria: INFECTE PERE DES LOUPS
Jade: PETITE FILLE
Eléonore: NARRATRICE
Antoine: CHASSEUR
Les invités sont partis.
On a rendez-vous à la gare à 19h30. Et il est 10h00 du matin.
Chapitre 3 Timéo
15|06|2024
J’ai légerement la flemme d’écrire là. Non, je reformule ma phrase; j’ai TROP la flemme d’écrire là.
Moi c’est Timéo Liszeski, j’ai 13 ans et j’ai trois soeurs dont deux qui m’obligent à écrire dans ces carnets idiots et qui ne servent à rien.
On part demain et j’aurais Clémence (que j’appelle aussi; Clem, La p’tite, le crampon, la minus, le gnome, le pot de colle…) avec moi.
Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça?
Bonne question.
En plus, quelqu’un frappe à la porte de ma chambre.
-Entrez! dis-je en colère.
-Salut! dit Camille (elle est trop belle) en entrant, un peu timide.
Tout rouge et gêné je lui réponds:
-Salut! Je suis désolé, je croyait que c’était une de mes soeurs.
-C’est pas grave, me répond-t-elle avec un sourire, je suis venue te dire que on serait dans le même train tous les deux et pour ça aussi.
Elle me tend un paquet qu’elle pose sur mon lit avant d’ouvrir la porte et de s’éloigner d’un pas rapide.
Je prends le paquet, rouge, entouré d’un ruban carmin. Je l’ouvre. À l’intérieur, il y a mon stylo bleu que j’ai oublié il y a trois jours ,chez elle, quand on travaillait sur notre exposé et un papier, sur lequel , de l’écriture fine et penchée de Camille, il y avait écrit:
« Je t’aime. »
Chapitre 2 Alice
Dimanche 15 juin 2024, 10h25
J’attache mes cheveux bruns en une queue de cheval puis aide Clémence à faire sa tresse. On doit aller au marché.
Dimanche 15 juin 2024, 10h40
Apparament, je ne suis pas obligée de réécrire à chaque fois la date et l’heure…
Mais je vais le faire quand même!
Dimanche 15 juin, 11h01
-Il nous faut du poulet, des pommes de terre, des fraises, des oignons, des carottes, du fromage, des tomates… dit Clémence.
On a la même robe blanche, sauf qu’elle lui va mieux. Car nous sommes jumelles mais nous ne nous ressemblons pas. Elle est blonde aux cheveux très longs et moi brune aux cheveux jusqu’aux épaules. Elle a la peau clair contrairement à moi ,qui, est assez bronzée. Je ressemble à Timéo et elle à Ninon. Mais par contre, on a les mêmes yeux d’un bleu glacier et profond.
-D’accord, on commence par acheter les pommes de terre puis les fraises, les oignons et les carottes, le fromage et enfin le poulet, lui réponds-je.
Dimanche 15 juin 2024, 12h47
Le repas était super bon!
Entrée : Tomates et mozzarella
Plat principal: poulet rôti
Accompagnement: riz et petits légumes
Fromage
Dessert: fraises et moelleux au chocolat
+Jus de pomme
Dimanche 15 juin 2024, 13h00
On part demain! C’est HO-RI-BLE . Je dois faire mes bagages et j’emporte donc:
-Mon pyjama
-Un short
-2 tee-shirt
-Un gros pull
-Une gourde
-Une robe
-Du pain
-Une pomme
-Du chocolat
-Un livre de 763 pages
Normalement, on nous donnera à manger en plus si on a pas assez.
Dimanche 15 juin 2024, 12h49
Clémence va trop me manquer.
Chapitre 1
Page 3
Dépité, James se releva.
Ambre, elle, riait aux éclats.
-Ah, Ah, Ah! Tu aurais dû te voir! C’était tellement drôle! dit-elle
-J’aurais adoré te voir, moi. lui répondit-il
La dame qui avait dit à James ce qu’il fallait faire pour redescendre commença à parler.
-Tu as mal choisis ton balais, Cléa est une des plus capricieuses. lui dit-elle un regard plein de malice.
-Capricieuse? répéta-il, Comment ça?
-Quand un sorcier meurt, une partie de son âme créé un nouveau balais. Les balais héritent donc de du caractère du sorcier à qui l’âme appartenait. Et Cléa Jones n’était pas un cadeau! lui répondit-elle, Prends plutôt Colin. Il te correspondra plus. En revanche, pour la demoiselle, Cléa sera parfaite.
-Merci! dirent les deux enfants
Ils payèrent et sortirent du magasin. Quelques heures plus tard, toutes les fournitures étaient achetées.
-Maman? Pourquoi tu n’as pas de pouvoirs toi? demanda James
-C’est comme ça, lui répondit-elle avant de presser le pas et s’éloigner.
Mystères et Sortilèges à l’école des sorciers, tome 1 :Chapitre 1, page 2
Le collège\ lycée de La Fontaine d’or était un lieu pour apprendre la magie.
***
En plus de la lettre et des billets, dans l’enveloppe il y avait une liste de fournitures. Il suffisait d’y toucher et de souhaiter très fort d’aller acheter ses fournitures, compter jusqu’à 10 et…
On se retrouvait dans l’allée de la poussière de Lune. Ensuite, il fallait aller dans les bonnes boutiques.
James et Ambre étaient émerveillés. Pour commencer, il fallait un balais volant.
Dès qu’ils furent entrés dans la boutique, James attrapa un balais volant et avant même qu’il ne put comprendre ce qui se passait il fut soulevé dans les airs.
-Descends, descends! dit James au balais.
A la place de faire ce que lui demandait James, il accéléra et continua de zigzaguer entre les différents rayons.
-Dit lui, très calmement, aurais-tu l’amabilité de descendre s’il-te-plait? dit une voix de femme.
-D’accord, aurais-tu l’amabilité de descendre s’il-te-plait? dit James en essayant d’être le plus calme du monde.
Le balais l’écouta. Mais au lieu de descendre calmement comme James l’avait imaginé, le balais le laissa tomber par terre avec un grand boum avant de partir se remettre à sa place.
La Fontaine d’or, Le secret du 6ème étage, tome 1 :Chapitre 1, page 1
Tout le monde savait bien que les jumeaux de Garden Street (c’était comme ça qu’on les appelait) étaient très différents. Ambre était posée et intelligente tandis que James, lui, était tout le contraire. De 7 minutes son aîné, il préférait courir et jouer dehors du matin jusqu’au soir. Ils avaient les cheveux châtains et les yeux noisettes, le regard pétillant et ils étaient de taille moyenne.
George avait 8 frères, tous plus grands, et une sœur, plus petite. Il était courageux, mais sans plus, intelligent, mais sans plus. Il était blond aux yeux bleus, assez grand en taille.
Ambre et James étaient nés le 31 juillet et George le 9 mars. Ils avaient 11 ans. Tout semblait les opposer mais pourtant tout changea.
***
Assise sur le canapé, Ambre n’en pouvait plus. Cela faisait presque une demie heure qu’il sautait partout en criant.
-James! Arrête s’îl-te-plait! lâcha-t-elle.
-Pourquoi? Je suis content! lui répondit-il.
-Moi aussi mais je ne réveille pas tout le quartier, lui dit-elle sur un ton de reproche.
– JE suis le plus grand donc tu n’as pas à me donner d’ordres.
-Et moi je suis plus mature que toi!
-Et moi…
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase.
-Stop! dit leur mère, arrêtez de vous disputer!
Ambre foudroya James du regard et partit s’asseoir à table.
Ils avaient reçu une lettre pas comme les autres un peu plus tôt dans la matinée.
Elle disait:
« Chers James et Ambre Delacour,
Vous êtes inscrits au collège\ lycée de La Fontaine d’or. Nous vous prions de nous rejoindre le 3 septembre grâce aux billets de train dans l’enveloppe, pour accéder au train vous prendrez un chêne passeur (c’est le 3ème à gauche de la gare de Londres).
A bientôt,
Olympe McFeen »
Voilà ce qui expliquait toute leur excitation.
Je vais changer le titre de mon livre, maintenant c’est: Mystères et Sortilèges à l’école des sorciers
Coucou voici le chapitre 1 de mon histoire, c’est la première fois que j’écris ici 😅 je sais pas si ça va être bien ou pas mais voilà.
Cœur de verre
– Chapitre 1
J’essaye tant bien que mal de me concentrer sur le cours de Mme. Jones, mais c’est complètement impossible avec le groupe d’élèves à côté de moi qui n’arrête pas de bavarder. Je soupire pour l’énième fois.
« Vous pouvez arrêter de discuter un peu, au moins une minute ? leur demandais je.
– Oh c’est bon, Cassie, arrêté de faire ta reloue. Tout le monde sait que le cours de Mme. Jones est le plus ennuyeux de la Terre… lance l’un d’eux.
Je lui lance un regard noir.
– C’est bon, je fais mon maximum pour me concentrer pour remonter ma moyenne et vous me lancez ça ! je leur dis, dépitée de leur attitude. »
Je respire un bon coup. Je m’étais promise de remonter ma moyenne, et mes parents m’ont suggéré que d’écouter en cours serait déjà une bonne chose. Bon, ce n’était pas si simple que prévu…
C’est le troisième cours de la journée et je suis déjà épuisée.
Heureusement, la cloche sonne peu de temps après. Je me lève d’un bond pour ranger mes affaires et rejoindre Kate.
« Il était super nul ce cours…. Blablabla, gnagnagna les gens ont fait patati, patata… Franchement, je suis contente que la matinée s’est passée vite, aujourd’hui ! lance mon amie Kate à la sortie de la salle.
J’ai beau ne pas aimer la prof, mais j’aime quand même un peu l’histoire. Si le collège Sainte-Mary n’aurait pas choisi une dame pareille, je crois que ce serait en histoire que je serais la plus forte. Évidemment, ce n’est pas le cas.
– Ouais, je lui réponds. »
On se dirige vers le self, déjà plein à craquer. Difficile de se frayer un chemin dans les couloirs bondés de collégiens et de profs. Kate et moi arrivons tant bien que mal à entrer dans le self sans trop de bousculades.
« Alors, qu’est-ce que t’attends pour te servir ? me demande Kate, impatiente, dans la file.
Je secoue la tête.
– Ah oui, mince, désolée. Tu veux que je prenne des trucs pour toi ? j’ajoute.
– Non merci, ça ira.
Une fois que nous avons fini de choisir, nous devons trouver une table. Je cherche des yeux une table à laquelle on pourrait s’installer mais Kate est plus rapide que moi.
– Viens, Cassie, j’en ai vu une au fond ! »
Je me mets à la suivre.
Une fois assises, installées, on peut enfin manger tranquille.
« Alors ? Rien de prévu pour la semaine ? je demande à Kate.
– Non, il n’y a rien qui se passe. C’est déprimant, me répond-elle entre deux bouchées de salade.
– J’ai tellement envie qu’on fasse un truc ensemble, ce week-end. Ça te dit ? je lui propose.
– Ouais, comme quoi ?
– Je sais pas,… On pourrait peut-être sortir dehors, se voir…
– Ouais, pourquoi pas… Je veux tellement sortir ! Mais…
– Moi aussi. Mais faudrait que je demande à mes parents pour sortir… Tu sais bien qu’ils sont super stricts.
Je peux voir le regard de mon amie ciller.
Kate soupire.
– Écoute, Cassie. Ce n’est pas la première fois que tes parents t’interdisent de me voir. Il faut que tu apprenne à lâcher un peu le morceau. Que tes parents te laissent un peu de liberté. Je m’ennuie tellement, tu le sais bien… J’aimerais tellement qu’on passe plus de temps ensemble. Même toi, tu sais que les rendez-vous à la bibliothèque pour travailler ça ne te suffit pas ! Vis un peu ta vie. Même si ça te demande de mentir je suis sûre qu’on va passer un bon moment, sans que tes parents soient au courant.
Je regarde mon assiette. La proposition de mon amie me semble dubitative. Mais je sais que Kate a raison.
Depuis je ne sais combien de temps, mes parents semblent ultras protecteurs envers moi. Ils sont tout le temps dans les parages, à vérifier que je fasse mes devoirs et que je ne passe pas de temps sur mon téléphone à regarder « n’importe quoi » comme ils le disent. En ce moment, je ne sais pas pourquoi mais c’est encore pire. Mon père et ma mère se mettent subitement à contrôler tout ce que je fais et à parler de crise d’adolescence. Bref, de quoi bien m’agacer.
Ça fait un nombre incalculable de fois que mon père, surtout, refuse toutes les invitations aux anniversaires de Kate. Je sais qu’il y a un temps où ma mère ne refusait pas que j’aille chez ma meilleure amie, mais mon père semble vraiment… Fort pour influencer ma mère. Parce que maintenant, je ne peux plus aller voir mon amie chez elle. Et toujours, mon père invente des excuses sur tout et n’importe quoi. Je ne sais vraiment pas ce qui cloche avec Kate, mais je sais que Kate en a aussi marre que moi.
Je n’arrive même plus à aligner deux mots face à ce que vient de me dire Kate. Ce n’est pas que ce qu’elle vient de me dire est blessant, mais c’est qu’elle vient de me faire voir que peut-être qu’il faudrait que je profite de ma vie.
Au moins pour une fois. Sans avoir sur le dos l’obligation de rentrer le plus tôt possible par mes parents.
Je relève la tête. Je vois que Kate attend une réponse.
– OK. Mes parents me gavent, tu le sais. Je sais que tu as raison, mais…
– NON ! Pas de mais. Si tu sais que j’ai raison, alors j’ai raison. »
Le débat est clos. Nous passons les cinq minutes qui suivent à manger en silence, jusqu’à ce qu’elle reprenne.
« Je sais que tes parents sont vraiment très stricts. Mais ce n’est pas une raison pour te priver de ce qui te rend heureuse, Cassie. Regarde un peu tous les élèves de 4ème ! Tout le monde sort, s’amuse, est en bande. Je suis sûre que tu te plairais à sortir pour boire un café au centre-ville…
– Tu n’as pas tort. Mais c’est pas ma faute. J’ai tout essayé. Et chaque fois que j’entends des filles parler de leurs derniers dates, qu’ils soient affreux ou non, je les envie dans tous les cas ? J’aimerais tellement être libre.
Kate sort de sa poche un petit objet. Un badge rouge, précisément.
– Tu te souviens de ça ? me demande-t-elle.
Je souris en voyant l’objet. Il me rappelle quelque chose. J’examine le badge rouge. Il y a une phrase en coréen, dessus. Ça me revient.
– Ah oui ! Ce badge que t’avais fabriqué en 6ème ! Pour lutter contre l’injustice…
Moi aussi, j’avais eu droit à un exemplaire de ce badge. Kate était vraiment fan d’un dessin animé qui s’appelait Les aventures d’Angelo et c’est encore le cas aujourd’hui. Moi aussi j’adorais ce dessin animé. Je le trouvais réaliste. Quand nous avions 10 ans, on a regardé tous les épisodes, toutes les saisons en à peine quelques mois… Kate avait créé des badges pour qu’on joue à notre jeu de rôle favori. On s’appelait les « Dark ». On adorait jouer à ça, plus jeunes.
La phrase du badge, c’était un truc du genre « À bas les injustices » ou un truc du genre. Kate avait probablement cherché la phrase sur Google Traduction. Elle m’avait offert le badge en me disant que je faisais partie de l’Organisation de Lutte Contre l’Injustice. J’ai explosé de rire, et elle aussi.
– Viens, il faut qu’on fasse un plan. Ou que tu ailles chez moi en secret.
Je secoue la tête.
– Kate… Je ne peux pas.
Cette fois-ci, c’est à son tour de secouer la tête.
– Allez Cassie. Où est passé ton sens de l’action ? On refait des plans… Comme en 6ème. Ce sera génial. En plus de l’excitation, on pourra sortie tranquillement. Dis, en vrai, tu t’en fiches de te faire griller ? L’espace d’un instant, au moins, tu seras super contente de sortir !
Dans ma tête, mon esprit réfléchit à cette idée que, l’espace d’un instant, au moins, je serais super contente.
– Qu’est-ce-que tu prévois ?
Kate prend une cuillerée de son yaourt, fait mine de réfléchir puis reprend.
– On va d’abord réfléchir à un plan. (Nouvelle cuillerée) Il faut qu’on soit prête. Si tu veux, on peut prendre beaucoup de temps pour le préparer, histoire que tu travailles ton texte…
– Quel texte ?
Je le sens mal.
– Bah, celui que tu vas dire à tes parents pour sortir. Ou si tu veux, ton « texte mensonger ».
Je m’assombris à l’idée de mentir à mes parents.
– T’inquiète, ils ne se douteront de rien ! Puis c’est dans longtemps, on n’a encore rien fait ! Le but, c’est que tu sortes de chez toi. Et la sortie sera de courte durée. Je ne supporte plus de te voir bloquée, coincée là.
OK, c’est là qu’il va falloir que je fasse un effort pour ne pas prendre la remarque de ma meilleure amie comme un reproche.
– D’accord, mais je te préviens : je me fais griller, je serais capable de t’accuser, Kate.
Kate se rembrunit face à ce que je viens de lui dire, mais ne perd pas espoir. Du Kate tout craché.
– De toute façon, il ne se passera rien ! Tout va bien se dérouler, Cassie !
Elle me sourit.
– Alors, on va faire ce plan ! »
On quitta le self, tout sourires. Clairement, j’avais envie de bousculer un peu mes habitudes. J’ai décidé de pleinement vivre. Je m’en fiche de recevoir des punitions ou quoi que ce soit… J’ai besoin de Kate. De la voir ailleurs qu’au collège. Les rendez-vous à la bibliothèque pour travailler ne me suffisent pas, comme l’a bien dit mon amie. Même si ce fameux plan demandait à mentir, en vrai, ce n’est peut-être pas si grave, si ça n’arrive qu’une fois.
Kate a le don de convaincre les gens à faire des choses qu’ils n’ont jamais faites. Mais cette fois-ci, j’ai l’impression d’être complètement d’accord avec elle. Je la crois, je sais que tout ce qu’elle a dit était vrai.
Pour le coup, je ne sais pas du tout si c’était une bonne idée d’accepter. Mais j’ai bien l’intention de pimenter un peu mon quotidien, juste cette fois-ci…
J’ai récemment posté le résumé de mon livre et maintenant je vais écrire le premier chapitre. N’hésitez pas à commenter ce que j’écris de manière positive ou négative. Et si vous pouvez m’aider à trouver un titre se serait super gentil à vous. Merci!🙂
Partie 1: Ninon
Chapitre 1
Nous sommes le 15 Juin 2024. J’ai eu ce petit lot de carnets hier. Je les ai trouvé, sous mon lit, avec écrit:
« Prends en soin ma chérie. »
Et c’est tout. D’abord, je vais me présenter. Je m’appelle Ninon, Ninon Liszeski et j’ai 12 ans. Je suis née d’un père français et une mère polonaise le terme exacte est franco-polonaise, enfin je crois.
Je m’assois sur une pile de carton. Non, nous ne déménageons pas et nous ne venons pas d’emménager. Nous partons, à cause de la guerre, les ennemis arrivent bientôt à Rouen et la mairie a décidé que tous les enfants de 0 à 15 ans seraient transportés quelque part dans les Alpes ou dans les Pyrénées et pour les enfants de moins de 3 ans
leur mère les accompagnera. J’ai besoin de me changer les idées, j’entre dans la salle de bain et prends une bombe de bain à la lavande. Je commence à faire couler l’eau et prends un livre « Harry Potter et les Reliques de la Mort » je jette ma bombe de bain dans l’eau chaude. J’entre dans la baignoire, l’eau bleutée sent super bon, je commence le chapitre 19 du livre. Mais, quelque chose me coupe de ma lecture. Une pensée, une pensée tout simplement horrible. Du sang, des cris déchirants et autres traversent mon esprit. Cela fait une heure que je suis dans mon bain mais je n’en sors pas détendue, j’en sors totalement stressée. Je me regarde dans le miroir, mes longs cheveux blonds ondulés qui me tombent jusqu’à la taille sont trempés et mes yeux bleus ont l’air triste. Je me mets en pyjama, le mien est rose avec des taches blanches, puis entre dans ma chambre. Je regarde mon lit, les murs couleur lavande, mon bureau, mes cahiers éparpillés dessus… Une brusque sonnerie de téléphone me coupe de mon observation c’est Lisa qui m’appelle. Comme c’est ma meilleure amie je réponds:
-Salut ça va? me demande Lisa
-En vrai pas trop, et toi? je lui réponds la gorge nouée
-Pareil, on part dans deux jours, t’es avec qui dans ton groupe?
Une petite pause marque notre conversation pour regarder je suis avec qui.
-Je suis avec toi!! je lui réponds en hurlant presque de joie
-Je sais, comme mon père travaille à la mairie il a pu nous mettre ensemble! Bon, je dois faire mes devoirs parce que je ne les ai pas encore fait.
Elle raccroche. Je me sens soulagée mais je reregarde la liste et je me rends compte que je suis seulement avec Alice, il n’y a ni Timéo ni Clémence dans mon groupe. Et apparemment je ne suis pas la seule à m’en être rendue compte puisque Timéo arrive en trombe dans ma chambre pour m’annoncer la même chose. Ce n’est pas possible, il doit forcement avoir un problème c’est impossible! Je m’écroule sur mon lit et quelques larmes perlent sur mes joues Timéo tente de me rassurer.
– Ne t’inquiète pas, nous ne partons pas ensemble mais nous nous retrouverons quand nous serons arrivés.
-Tu crois?
-J’en suis sur.
Timéo est parfois l’être le plus saoulant de la terre mais d’autres fois c’est le plus gentil et le plus protecteur du monde. Les jumelles Alice et Clémence entrent à leur tour et je les serre dans mes bras. Timéo a sûrement raison, nous nous retrouverons là-bas.
Coucou !
Voici la suite de La fille de la nature ; Ce n’est que le début du chapitre 2.
Dites moi ce que vous en pensez, et si vous avez des critiques à faire sur certaines choses, que je puisse les améliorer.
Merci !
Chapitre 2
« Lya ! Ça va ? Tu m’as fait une de ces frayeurs ma chérie. Manon, ta sœur ,est à la maison ! Elle va être ravie de savoir que ton cœur s’est remis à battre, comme moi , d’ailleurs !
-Euh…Maman ? Tu dis quoi là ? C’est MOI Manon ! Tu… tu as tout oublié ou quoi ? Lya est… enfin, tu sais bien.
Qu’est-ce que ma mère raconte ? Elle a perdu la tête ?
Je la vois, comme si j’étais en transe, appelé un infirmier, et lui dire : « Je crois que ma fille est encore en état de choc. Voulez vous bien l’examinez, s’il vous plaît ?
-Tout de suite madame, tout de suite.
Quoi ? je comprends vraiment rien. Une fois l’infirmier reparti, je lui glisse : « c’est quoi ce sketch, là maman, c’est moi, Manon, OK, je me suis fait mal, mais pas à ce point, quand même ?
– Je crois qu’il y a un gros malentendu mon cœur », soupire- t’elle, comme si c’était moi, et pas elle, qui était en plein délire, « tu te souviens des imbéciles qui se battaient, dans la rue, tu sortais du bar, et là, tu as vu qu’ils allaient se tuer. Tu as voulu les séparer, et c’est là que ça a dégénérer et qu’ils t’ont tous frapper. C’est la patronne du bar qui vous as vu. »
– Mais oui maman, je sais…Mais ça, c’est l’histoire de Lya, pas la mienne. »
Je m’exclame. Puis, maman sort, prétendant que je n’ai pas dû me remettre entièrement.
Vu que, contrairement à ce que maman pensait, je vais très bien, je me lève et me dirige vers un grand miroir devant la porte de ma chambre. C’est seulement en me dirigeant vers la glace que je m’ aperçois être relié à une multitude de machines différentes. Je tire un peu sur les fils. C’est bon. Devant le miroir, je m’aperçois de 2 choses : 1) J’ai beau être presque comme je suis d’habitude, je ne suis pas come d’habitude :je suis Lya, 2) c’est impossible, donc là je comprend pas, 3)Même si c’était possible d’échanger sa vie avec sa grande sœur, elle serait censée être morte, donc je crois que je vient de modifier le passé.
*
OK. Revenir du monde des morts c’est …spécial. Déjà qu’avoir pu communiquer avec Manon, c’est compliqué, là c’est complétement ouf.
Je me relève. La rue ne ressemble pas, mais alors pas du tout à Paris.
Comme j’est toujours étais plutôt maligne,(sans me vanter) je comprends qu’on a du déménager. Seulement…Je ne vais pas me repérer du tout, et faire semblant d’être Manon, ça va être beaucoup plus compliqué. Bon. Du coup, là je vais devoir tout expliquer à Manon. Comme je suis Lya, que je suis morte, à cause d’une affaire, qui n’a absolument RIEN à voir avec des bagarreurs de rue, mais plutôt à des forces maléfiques, pour je ne sais plus quoi ( car avant de me tuer, ils m’ont rendu amnésique) . Tout ce dont je me souviens, c’est que Manon allait me ressusciter, si elle s’évanouissait, et qu’elle allait basculer dans mon passé et continuer ma vie. Mais pour vraiment me faire revenir, il faut qu’elle éteigne les forces maléfiques. Mais je n’ai aucune idée de où elles sont, qui elles sont, et toutes les choses pratiques dont Manon et moi nous aurions besoin. Elle, Papa et Maman m’ont beaucoup manqué, pendant ces deux ans passé avec d’autres spectres. Mais je guettais tout. Le moindre mouvement , le moindre geste. Pour pouvoir intervenir dés que Manon s’évanouirait. Et là aujourd’hui, je vais devoir faire semblant d’avoir treize ans, d’être une fille de quatrième normal ( alors qu’en vérité, j’ai dix-sept ans), pendant qu’elle affrontera de nombreux danger, et qu’elle devra franchir les embuches que les forces du mal lui laisseront.
Je m’en veux de la laisser seule face à ça, mais elle ne pourra pas mourir : c’est comme si elle était moi, et pour le moment je suis encore morte.
Bon.
Bon.
Bon.
Et bon.
J’attends la nuit. Au risque d’inquiéter maman car je ne suis pas rentré (ou plutôt car Manon n’est pas rentré) je reste là, assise sur les pavés jaunâtre .
Pourquoi attendais-je la nuit ? Parce que ça aussi, ça fait partie des choses dont je me souviens : La nuit, Manon et moi pourront entré en communication.
Et c’est là que j’entend : « Lyaaaaa ». Une main crochue s’agrippe à ma gorge.
Tu as une très belle plume ! Bravo !
Merci
Voici le résumé de mon livre:
Nous sommes en Juin 2024 à Rouen en Normandie. La guerre en Ukraine s’est agrandie et est arrivée en France. Timéo 13 ans, Ninon 12 ans, Alice 11 ans et Clémence 11 ans, tous les 4 frères et sœurs, doivent être transférés avec d’autres enfants dans une zone non occupé. Mais lorsqu’ils sont séparés, ils se sont jurés deux choses:
Se retrouver et écrire dans leurs petits cahiers tout ce qui se passe.
Il y a longtemps, deux jeunes femmes virent le jour et le médecin annonça qu’une d’entre elles serait aveugle. Les deux sœurs ouvrirent les yeux et il y avait une qui avait des yeux marron tandis que l’autre avait des yeux blancs. On les désignait donc sous le nom de Blanche et Marrone. Les parents s’occupaient de Blanche pendant plusieurs années en raison de son handicap visuel. Les parents rejetaient toujours la faute sur marron lorsque Blanche se blessait. Un jour, blanche, demanda à ses parents pourquoi ils ne s’occupaient jamais de marron. Les parents ont répondu : « Car tu es aveugle. » Blanche a rétorqué : « Mais chers parents, je ne suis pas aveugle. C’est ma sœur qui est atteinte de cette maladie. »
Chapitre 5
-Zoé! Zoé!
-Hmm…
-Réveille-toi!
-Pfff… J’arrive!
Mon frère et ma soeur m’énervent, mais m’énervent parfois! Ils n’ont pas compris que je suis encore boulversée de ce qui est arrivé Lundi?!
Léo, le beau Léo est mort!
Et ils me réveillent super brutalement! Nan mais!
Je descends les escaliers et va dans la cuisine, je me sers un verre de lait chaud puis vois ma petite soeur, Lucie, grimacer, du jus d’orange partout sur son visage. Elle n’aime pas le lait et moi le jus d’orange, sur mes tartines j’aime la confiture et elle le miel. Si je citais tous ce qui nous oppose j’en aurais pour très longtemps. Mais on s’aime très fort toute les deux. J’ouvre le frigo pour prendre un yaourt à l’ananas . Je les adore.
Chapitre 4
Léo n’est plus là.
Pourquoi lui et non pas un autre?
Ces 2 phrases tournent dans ma tête. Je regarde l’heure sur mon téléphone: 19 h 47, ça fait six heures que je suis dans cet état là.
C’était ce matin, Mme Maillard, la prof de français est arrivée en classe et a dit:
-Bonjour! Vous avez passé un bon week-end?
Mme Maillard est la meilleur prof de français du monde! Elle est jeune et archi sympa. Toute la classe s’appretait à répondre lorsque on entendit un bruit de pneus suivit d’un cri étouffé, Mme Maillard dit:
-Ne bougez pas, je vais vérifier.
Quand elle revient en classe elle dit:
-Il est mort sur le coup, on a rien pu faire.
-Qui? demanda toute la classe
-Léo…
Je sentit ma tête tourner et je suis tombée, inconsiante. Je me suis réveillée vers midi puis on a appelé mes parents.
Chapitre 3
Ça fait déjà une semaine que je suis au collège et pourtant, je me sens encore comme une intrue. Pourquoi ? Aucune idée. Mais aujourd’hui c’est samedi et il n’y a pas cours. Je vais à mon cours de patinage artistique. En Février, je veux passer les auditions pour Team Jeanne D’Arc, c’est les patineuses ou les patineurs qui font de la compétition. Julie, celle qui nous fait les cours m’accueille.
-Salut, comment vas-tu Zoé ?
-Très bien et toi ?
– Très bien aussi, vas mettre tes patins.
Je mets mes patins et entre sur la glace. J’ai commencé le patinage très tôt et ça ma tout de suite plu.
Le cours commence, au programme ; citrons, croisés arrières, tours complets, cigognes, petits bonhommes, petites dames…
Chapitre 1
Je m’appelle Zoé, j’ai 11 ans et je suis née le 7 aout 2013 à Rouen. J’ai un frère, Hugo qui a 19 ans et une sœur, Lucie qui a 7 ans. J’ai aussi un chien, un beagle qui s’appelle Jazz et un lapin nain, Caramel. Mais bon, commençons la partie intéressante.
Chapitre 2
Je cherche dans mon armoire pour trouver une tenue convenable. Après une dizaine de minutes je trouve ce qu’il me faut ; un short blanc, un tee-shirt beige et des Converses blanches. J’attrape mon sac à dos et crie :
-A ce soir !
Je descends les escaliers à toute vitesse, traverse la rue, avance un peu, regarde ma montre et, comme d’habitude, je suis en avance. Un quart d’heure plus tard, Lola, ma meilleure amie arrive enfin.
-Ce n’était pas de ma faute, se justifia-t-elle, ma sœur a pris ma brosse !
-Viens, je ne veux pas être en retard !
En passant devant une maison blanche, une voix me fait sursauter.
-Salut !
Je me retourne brusquement, c’est Léo, mon amoureux depuis toujours.
Je lui réponds ;
-Salut, ça va ?
-Ouais, et toi ?
-Ça va.
-Je peux faire le chemin avec vous ?
-OK.
En arrivant devant le collège, je me sens perdue et toute petite.
La vie de Barbara
Chapitre 2 :
Résumé du dernier chapitre : moi c’est Barbara je vis où plutôt je vivais à Toulouse avec mes parents jusqu’au jour où ils m’annoncèrent qu’on allait déménager.
Bonjour moi c’est Barbara, je vais te raconter la suite de l’histoire :
Ma mère voulait m’annoncer quelque chose. Et si c’était que finalement nous ne déménagerions pas, ce serais si bien. Alors je me précipite vers le salon et je dis qu’est qu’il y a ! Mes parents me regardent et disent :
– Écoute ma chérie ta mère et moi voulions déménager à Versailles et tu le sais alors nous allons t’expliquer pourquoi.
Ma mère repris :
– tu le sais ton père est militaire, et son travail l’oblige à aller habiter la bas. Sinon il devra démissionner où ils se fera renvoyer.
Maintenant je comprenais pourquoi nous devions déménager. Car je sais à quel point mon père tiens à son travaille. Je dit alors à mes parents :
– Maman, papa, je pense que je suis en âge d’obéir alors je dois accepté le fait qu’on doit déménager.
– ma chérie il faut que tu sache que….
Si vous voulez savoir que ce qu’il faut que Barbara sache rendez vous au chapitre 3.
Bye mes barbapapas 🍡🍬🍭
Bonjour à tous en ce moment j’écris une histoire alors j’espère qu’elle vous plaira,
La vie de Barbara
Chapitre 1 :
Bonjour je m’appelle Barbara, j’ai douze ans et je viens de déménager à Versailles.
Avant j’habitais à Toulouse. Je m’étais habitué à la ville et tous ça et là j’apprends que je vais partir à l’autre bout de la France dans une ville de riche avec un château qui commence à m’énerver, et tu sais pourquoi car TOUT le monde parle de ce château, je sais pas moi il y a plein de sujet intéressant et tout les monde parle d’un château qui date de y’a mega hyper longtemps quoi, cette histoire commence à me sortir par les trous de nez.
Ma nouvelle maison et quasiment tous près du château ( enfin n’exagérons quand même pas ). Quoi sérieux vous vous préféré faire du shopping avec vos BFF ou allez se promener à côté d’un château à la noix. Désolé mais là je suis hyper furax, vous voulez que je vous raconte ok :
J’entre dans la cuisine et là ma mère m’annonce :
– Ma chérie, ton père et moi avons décidé de partir à Versailles pendant trois ans. Cette annonce m’avais tellement choqué que sans même répondre j’ai couru dans ma chambre en pleurant. Une fois allongée sur mon lit je me répète dans ma tête :
– Pourquoi, pourquoi me font ils ça. Alors ma mère toqua à ma chambre et me dit :
– Écoute ma puce il faut qu’ont te parles avec ton père….
Voilà c’était la fin du chapitre 1 mais bien sûr n’hésitez pas à me donner votre avis.
Je sors. Je me promène. J’attend. J’écoute. Je ne vois rien. En tout cas, rien à faire. Oui, c’est joli ces maisons, alignés, comme des carrés de pierres, chacune différente. Pas de lotissement. Mais pas non plus d’immeubles bien sculptés. Je marche dans les ruelles, et j’attends. Encore. Maman peinds dans le jardin. Moi, je cherche Papa et la tour Eiffel. C’est bête, il n’y a pas 4G.
Je regarde une voiture et son pare-brise, au loin. J’ai envie de les défoncer, ces gens, qui vivent loin de tout, qui sont bourrés d’argents, qui ne sont pas menacés chaque jour par la mort. Ouais c’est ça.
Se composer un repas avec les boîtes fournies par la banque alimentaire, ils connaissent ?
Si on a eu cette maison, c’est parce que la grande tante d’une cousine à ma mère est morte. Et que cette cousine ne voulait pas d’une vie ici. Alors c’est nous qu’avons récupéré.
Depuis que Maman est au chomage, même si elle dit que peindre, c’est son métier, elle n’est pas rémunérée. Et papa, son tuc à chaussettes ? Avec deux clients par jour ? Nan, on roule pas sur l’or. À Rome, Papa va monter une boîte de chaussettes, mais aussi de gant, de pantoufles, et d’écharpes (mon père adore tricoter) Il dit qu’on va « en gagner, de l’argent ». Et Maman… Elle aussi, elle en a des ambitions. Elle va créer des ateliers de peinture, au village, et vendre ses œuvres sur la place publiques. C’est cool, pour elle, elle a un réel talent pour ça, mais bon. Aller. Ne pas se décourager. Ne pas penser à Lya. Surtout pas. Ne pas me dire que je suis sa copie conforme, et que je la rappelle à mes parents. Surtout pas. Des larmes sur les joues, je bute contre une pierre. Et je m’effondre tête la première. Sur les pavés jaunis de la rue. Mes yeux se ferment, je ne sens plus rien, mon corps est paralysé.
« Lya ? » J’appelle dans mon inconscient ma sœur, morte il y a deux ans, dans une horrible bagarre dans la rue, où elle n’a pu s’empêcher d’intervenir.
Je plonge, replonge de mon conscient, à mon inconscient. Jusqu’à ce que j’entende une voix. Un chant. Magnifique, pur et délicat. Lya.
Je la voit ; je me suis réveillée. C’est elle.
« Manon. Je te l’assures, je ne suis pas là où tu crois. Tu es là où tu doit être. Veille bien sur Maman. Il va t’arriver des choses dangereuses, fait attention. »
Du noir. Du noir. Du noir. Du noir. Encore et encore.
J’entrouvre les paupières. Maman est à côté de moi.
Et je re-sombre.
Le fantôme de Lya… j’ai l’impression étrange de sentir son cœur battre la mesure avec le mien.
Trop bien
Merci !
Oui c’est vraie j’adore ton histoire tu écris très bien 😊
J’ai hâte au prochain chapitre et je pense que je ne suis pas la seul.
N’hésite pas à lire la mienne : la vie de Barbara 💗 et aussi tu peux me donner ton avis.
Bye mes barbapapas 🍡🍬🍭
Coucou voici le début d’une histoire (ce n’est même pas le chapitre entier)
Début du chapitre 1
La fille de la Nature , chapitre 1
J’entrouvre la porte de la chambre. Jusque l’a , je trouve que la maison ne vaut pas notre ancienne . Enfin notre ancien appartement. Je déteste la campagne , et j’aurais largement préféré rester avec Papa à Paris. Ça fait bien longtemps que Maman veut vivre à la campagne , et la seule chose qui la retenais, c’était Papa. Papa et son magasin de chaussettes .
Oui, vous avez bien entendu, de chaussettes. Sauf que mon père a décidé de muter en Italie, et en plus à Rome , sa ville maternelle. Maman aussi, elle aurait pu : Papa avait dénicher une mutation pour deux personnes .
Mais il y avait un hic : Maman n’avait pas envie de vendre des chaussettes toute sa vie, et qu’est-ce qu’elle ferait de moi ?
Et donc, voilà comment je suis arrivée dans ce trou pommé où Maman pourrait peindre (son métier) toute la nature environnante. Moi, je me retrouve ici , sans Papa .J’ai bien essayé de l’accompagné …mais Maman tenait à ce que je reste en France .Son argument ?
« Manon, tu sais bien que tu ne parle pas italien. Comment tu ferais, hein , comment tu ferais ? »
C’est ce qu’elle m’a dit à longueur de journée, jusqu’à m’en saturer les oreilles. Moi j’avais la réponse : j’avais passé des soirées entière à chercher des collèges privés françaises à Rome. Mais bien entendu, c’était trop cher.
Donc, après-demain c’est la rentrée de classes. En fait , la plupart des gens aurait passé toute leurs vacances à faire leurs adieux à leurs amies , non ? Pas moi. Tout simplement parce que je n’en ai pas. Je n’en n’ai jamais eu, et c’est sûrement le point positif de mon départ de Paris : je vais pouvoir me faire des copines. J’espère que il y aura des filles chouettes.
Au final, ma chambre me plait . Je sais ce que je vais faire : la peindre en arc-en-ciel, pour la personnaliser. Mon ancienne chambre était vraiment simple , et je n’avais pas eu l’envie de la décorer , aussi était-elle un peu froide.
Autre point positif. J’essaie de récolter les points positifs, parce que je sais que ça ne changera pas : Je ne rentrerais pas à Paris, et l’Italie, je n’irais pas non plus .
Donc voilà.
On va essayer. Aussi, je crois que mes préjugés sur la campagne sont un peu fort .
La maison est immense, on est pas déranger par les voisins, et on a un jardins de quand même deux hectares.
« Pas mal, a dit Papa quand je lui ai parler au téléphone, tout à l’heure. »